«Haschisch», «psychotropes», «drogues dures», «Maâjoun», «Ghriyba», voilà des spécimen de la panoplie offerte aussi librement qu’impunément par des individus sans scrupule, à nos élèves aux portes de nos établissements scolaires
Ce sont de véritables gangs organisés. Si rien n'est fait, dans quelques années, c'est toute une génération qui va être sacrifiée. Jusqu'à quand l'on va continuer de fermer les yeux sur ce drame. Ces criminels, ces destructeurs de vies et de famille, n'hésitent désormais plus à vendre leurs poisons dissimulés dans des emballages de gâteaux ou autres biscuits anodins.
Les dealers mélangent à présent le fameux (karkoubi) à des ''cafards'' (censés potentialiser les effets euphorisants) et à des «gouttes pour mongoliens» (terme vulgarisé d'un médicament prescrit pour la trisomie 21).
En effet, les enfants et les jeunes les plus vulnérables sont ceux qui «traînent dans les rues». Entre un père souvent absent, exténué par des journées harassantes de travail, et une mère impuissante, qui se retrouve rapidement dépassée par l'attitude désinvolte de ses enfants, ce schéma social idéal pour les dealers offre un vivier, hélas, inépuisable. Pour faire face à ce phénomène qui se développe jour après jour, une campagne de lutte contre ce phénomène s’avère nécessaire. Il faut sensibiliser les élèves et leur parent aux effets néfastes des psychotropes. Non aux psychotropes, stoppons ces criminels vendeurs de poisons.
Ce sont de véritables gangs organisés. Si rien n'est fait, dans quelques années, c'est toute une génération qui va être sacrifiée. Jusqu'à quand l'on va continuer de fermer les yeux sur ce drame. Ces criminels, ces destructeurs de vies et de famille, n'hésitent désormais plus à vendre leurs poisons dissimulés dans des emballages de gâteaux ou autres biscuits anodins.
Les dealers mélangent à présent le fameux (karkoubi) à des ''cafards'' (censés potentialiser les effets euphorisants) et à des «gouttes pour mongoliens» (terme vulgarisé d'un médicament prescrit pour la trisomie 21).
En effet, les enfants et les jeunes les plus vulnérables sont ceux qui «traînent dans les rues». Entre un père souvent absent, exténué par des journées harassantes de travail, et une mère impuissante, qui se retrouve rapidement dépassée par l'attitude désinvolte de ses enfants, ce schéma social idéal pour les dealers offre un vivier, hélas, inépuisable. Pour faire face à ce phénomène qui se développe jour après jour, une campagne de lutte contre ce phénomène s’avère nécessaire. Il faut sensibiliser les élèves et leur parent aux effets néfastes des psychotropes. Non aux psychotropes, stoppons ces criminels vendeurs de poisons.
Il faut dire aux parents que leurs enfants sont livrés en pâture, comme l'est l'agneau aux loups. Le loup est dans la bergerie, ça on le savait depuis longtemps, mais au point de s'attaquer lâchement à des enfants sans défense.