L’expression «une image vaut mille mots» a été inventée par l’éditeur de journal américain Arthur Brisbane en 1911. C’est une notion simple qui s’applique à de nombreux aspects de nos vies, mais surtout à la photographie historique.
Parfois, une simple photo peut vous en dire plus sur l’histoire que ne importe quelle histoire vous pourriez lire ou tout document que vous pourriez analyser. Ces photos du Maroc racontent toutes des histoires sur les Marocains et les villes marocaines d’antan.Des monuments historiques et des personnes célèbres jusqu’à la routine quotidienne d’autrefois, ces photos dépeignent le passé d’une manière que nous pouvons faire preuve d’empathie afin de le comprendre vraiment.
Parfois, une simple photo peut vous en dire plus sur l’histoire que ne importe quelle histoire vous pourriez lire ou tout document que vous pourriez analyser. Ces photos du Maroc racontent toutes des histoires sur les Marocains et les villes marocaines d’antan.Des monuments historiques et des personnes célèbres jusqu’à la routine quotidienne d’autrefois, ces photos dépeignent le passé d’une manière que nous pouvons faire preuve d’empathie afin de le comprendre vraiment.
- La plage de Tanger
Soit elle valait vraiment le détour soit il trouvait bizarre une femme en maillot sur une plage de Tanger….
- Un couple berbère
- Débarquement franco-espagnol à Casablanca en 1907
- La danse, sport national des Marocains depuis belle lurette…
- Une photo royale
Feu Sa Majesté le roi Mohammed V avec ses six enfants : Feu sa majesté le Roi Hassan II, Lalla Aïcha, Lalla Malika, Moulay Abdellah et Lalla Nezha.
- De goumiers marocains en 1943
- Immeuble « Nid d’abeille » à Casablanca en 1952
Plusieurs architectes se sont chargés de l’aménagement de Casablanca. Georges Candilis et Shadrach Woods Candilis ont mis en œuvre l’immeuble nid d’abeille, un logement destiné aux populations arabes en adéquation avec les mœurs et les traditions arabes où les gens vivent les uns à coté des autres en respectant l’intimité familiale. L’expérience nid d’abeille de l’équipe Candilis sur cette photo sera la plus célèbre. Elle servira de modèle à Paris et à Marseille par la suite.
- Des femmes de Tétouan en 1955
Des femmes marocaines à l’époque.
- Une jeune mauresque d’Oujda fumant l’Opium
- Une jeune femme en Haïk
- Quartier Bousbir à Casablanca
Durant le protectorat, Casablanca a eu son bordel à ciel ouvert. Parquées dans cet immense quartier, les prostituées sont soumises à une surveillance draconienne, toujours disponibles pour satisfaire les clients. Les prostituées de Casablanca sont ainsi parquées dans des maisons bâties en vieille médina. Les terrains appartiennent à un certain Prosper Ferrieu qui, bien malgré lui, donne son nom au quartier chaud. Bien trop visible au milieu des grands rêves urbanistiques du maréchal. Bousbir est déplacé loin des regards, à Derb Soltane qui accueille le nouveau quartier réservé.
- L’école coranique en 1940
L’école marocaine type.
- Des femmes marocaines types
- Oum Kaltoum au Maroc
- Le stade “la Casablancaise” en 1960
Le stade et pavillon de l’Éducation physique ex-Parc Lyautey de Casablanca. Il se situait dans l’actuel parc de la Ligue Arabe sur l’ex-avenue d’Amade au centre ville de Casa, tout près de l’ancienne place administrative devenue place des Nations Unies avec sa fontaine lumineuse et musicale.
- Des femmes en classe de broderie
- Une femme marocaine sur une bicyclette
- Olé Casablanca
Les arènes de Casablanca se situaient sur le Boulevard d’Anfa et auraient été construites, au départ, en bois, entre 1910 et 1920. Elles appartenaient alors à une famille espagnole installée au Maroc depuis le 19e siècle. Les arènes ont été détruites au début des années 70 sur l’ordre de Hassan II qui éprouvait du dégoût pour cette discipline qu’il qualifiait de boucherie, selon ses proches. Aujourd’hui, seul reste un terrain vague laissé à l’abandon.
- Le retour des troupes
Après d’âpres combats, on s’en retourne couvert de gloire, et en général tout à fait désargenté ! Ce n’est pas beau, la guerre ? Surtout quand on ne sait pas pourquoi on la fait…
- Les émeutes urbaines de 1965 à Casablanca
Tout d’abord, il faut bien souligner que ce sont des grèves scolaires et non ouvrières et paysannes qui sont à l’origine des émeutes urbaines de 1965. En effet, la cause immédiate qui a fait déborder le vase en provoquant le déclenchement des événements était une circulaire du ministère de l’enseignement qui réduisit l’âge limite pour être admis dans le second cycle de l’enseignement secondaire. Dans une forte proportion, les élèves se voyaient interdire en cours d’année l’accès au second cycle et ne pouvaient plus poursuivre leurs études que dans l’enseignement technique et professionnel.
- La voiture de la sûreté nationale
- La première course automobile
En 1952 la première course automobile eu lieu sur le circuit d’Aïn-Diab. Elle avait pour nom les “12 heures de Casablanca”. De grands pilotes avaient tout de même fait spécialement le déplacement, Maurice Trintignant, Jean-Louis Rosier - fils de Louis Rosier - et Charles Pozzi étaient du groupe.
- L’attentat de 1953
Le marché central de Casablanca devient célèbre, lorsque le résistant Mohamed Zerktouni commet un attentat contre les colons français le 24 décembre 1953. Une bombe a explosé à 11h30 au moment où beaucoup se préparaient aux fêtes de fin d’année. Cachée dans un cabas et déposée près d’une boucherie chevaline de l’allée principale, la bombe avait fait 18 morts et 40 blessés d’après les rapports. Le propriétaire de la boucherie ainsi que son fils ont été protégés par le comptoir de la boutique, mais beaucoup ont perdu un membre de leur famille, marocain ou européen.
- Les Noualas de Casablanca
Vers la fin des années 40, la ville de Casablanca doit faire face à une importante crise du logement. Les populations s’entassent dans des bidonvilles alors que les villas et immeubles font rêver. En effet, ils regroupaient un peu plus de 50% des habitants du Maroc.
- L’élégance n’a pas d’âge !
Allez tant qu’on y est… nostalgie oblige…l’élégance n’a pas d’âge…admirez la démarche des deux dames et leur grâce…C’est la rue qui va du Boulevard Mohamed V à la rue Allal benabdellah à côté de Studio Maradji.
- L’arroseur public
Selon un internaute, il servait à laver les poussières et rafraîchir la rue par canicule. Certainement avant le passage des personnes importantes.
- Des ouvriers à Casablanca
Les jeunes d’aujourd’hui doivent connaitre l’histoire de leurs aïeux qui ont fait de Casablanca qui n’était qu’un petit port et ce sont ces mêmes personnes misérables et pieds nus et tous ceux qui sont venus après qui l’ont bâtie…