Certains sièges offrent-ils plus de chances de survie, en cas d’accident aérien ? Plusieurs études menées ces dernières années ont tenté de répondre à la question.
L’avion reste statistiquement le moyen de transport le plus sûr au monde. Pourtant, à chaque accident aérien, la question ressurgit. Elle a fait l’objet de plusieurs études menées aux États-Unis.
L’arrière de l’appareil statistiquement moins dangereux
Une enquête de 2005, réalisée pour le magazine Popular Mechanics, compilait ainsi les données d’une vingtaine de crashs aériens. L’idée ? Repérer les sièges occupés par les survivants à ces accidents.
D’après les chiffres de cette étude américaine, il serait donc préférable de s’asseoir à l’arrière de l’appareil. Ou alors à proximité des ailes. Selon les statistiques, en moyenne 46 % des passagers en première classe, disposant donc de sièges à l’avant de l’avion, s’en sortent, contre 56 % pour les voyageurs installés au milieu au niveau des ailes et 69 % des passagers placés à l’arrière.
mercredi 5 février 2020, lors de son attérissage à
l'aéroport Sabiha Goksen, à Istanbul en Turquie,
a fait 3 morts et 179 blessés.
L’arrière de l’appareil statistiquement moins dangereux
Une enquête de 2005, réalisée pour le magazine Popular Mechanics, compilait ainsi les données d’une vingtaine de crashs aériens. L’idée ? Repérer les sièges occupés par les survivants à ces accidents.
D’après les chiffres de cette étude américaine, il serait donc préférable de s’asseoir à l’arrière de l’appareil. Ou alors à proximité des ailes. Selon les statistiques, en moyenne 46 % des passagers en première classe, disposant donc de sièges à l’avant de l’avion, s’en sortent, contre 56 % pour les voyageurs installés au milieu au niveau des ailes et 69 % des passagers placés à l’arrière.
Une seconde enquête, plus récente, a été menée par le magazine américain Time en 2015. Elle s’attachait cette fois-ci à établir les rangées de sièges les plus préservées. Une fois encore, les statistiques montrent que les rangées centrales situées à l’arrière de l’avion présenterait en moyenne un risque moindre, avec 72 % de passagers ayant survécu à un crash.