Au Japon, les exosquelettes permettent aux seniors de travailler de plus en plus vieux.
Ce n’est pas un robot, mais un homme robot. Au Japon, cette création ne relève pas de la science-fiction, mais bien de la réalité. La preuve, à Osaka. Tous les matins, Kenji Takemura s’équipe pendant deux minutes. Il est manutentionnaire et son drôle d’équipement qu’il porte sur son dos s’appelle un exosquelette. Grâce à ce dernier, Kenji Takemura peut continuer à travailler dans le port d’Osaka : charger, décharger et porter des tonnes de cartons ou des tissus chaque jour. Depuis qu’il est équipé, c’est pour lui comme une nouvelle jeunesse qui a débuté.
Les exosquelettes sont une nécessité pour le Japon
Jouant un rôle d’assistance aux tâches pénibles, ces appareils électroniques détectent les mouvements du corps et réduisent d’au moins 15 kg la charge réelle supportée par le dos. Au Japon, les entreprises rivalisent d’ingéniosité pour mettre au point des machines de plus en plus sophistiquées. Pour l’archipel, les exosquelettes sont une nécessité. Ils permettent de soulager les seniors, qui sont 7 millions à continuer à travailler après 65 ans, dans un pays à la faible natalité qui commence à manquer cruellement de main-d’œuvre.
Ce n’est pas un robot, mais un homme robot. Au Japon, cette création ne relève pas de la science-fiction, mais bien de la réalité. La preuve, à Osaka. Tous les matins, Kenji Takemura s’équipe pendant deux minutes. Il est manutentionnaire et son drôle d’équipement qu’il porte sur son dos s’appelle un exosquelette. Grâce à ce dernier, Kenji Takemura peut continuer à travailler dans le port d’Osaka : charger, décharger et porter des tonnes de cartons ou des tissus chaque jour. Depuis qu’il est équipé, c’est pour lui comme une nouvelle jeunesse qui a débuté.
Les exosquelettes sont une nécessité pour le Japon
Jouant un rôle d’assistance aux tâches pénibles, ces appareils électroniques détectent les mouvements du corps et réduisent d’au moins 15 kg la charge réelle supportée par le dos. Au Japon, les entreprises rivalisent d’ingéniosité pour mettre au point des machines de plus en plus sophistiquées. Pour l’archipel, les exosquelettes sont une nécessité. Ils permettent de soulager les seniors, qui sont 7 millions à continuer à travailler après 65 ans, dans un pays à la faible natalité qui commence à manquer cruellement de main-d’œuvre.