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LE CARNAVAL DE RIO BAT SON PLEIN.


Les festivités du carnaval de la ville de Rio de Janeiro sont ouvertes à compter de ce jour. Dès lors, les rues de la ville brésilienne ont changé de visage. Rio et sa plage d’Ipanema ont été inondés par des personnes déguisées, parfois plus de 20 kilos sur le dos, des chars aux couleurs chatoyantes et bien sur, des rythmes endiablés de samba. En quelques jours, près de 100 000 participants vont venir se déhancher au rythme des percutions et goûter à la folie du carnaval. Un million de touristes sont attendus.
Jusqu’au 17 février, les écoles de samba vont tenter de devenir la meilleure en défilant dans les rues, essayant de toucher le coeur des jurés et du public. Pour cela, les règles sont strictes : le choix de la musique et surtout la «reine de la Bateria», celle qui danse seule devant les percussionnistes.


Les places vont de 20 à 3000 euros pour les loges les plus chics. Pour assurer la sécurité de l’événement, la ville a engagé 15000 policiers. De quoi faire oublier aux Brésiliens, le temps de quatre jours, la crise économique et autres scandales de corruption qui secouent une fois de plus le pays depuis plusieurs mois.

<p>«Je déclare ouvertes les festivités du carnaval de la ville de Rio de Janeiro», a lancé le roi Momo, samedi 14 février. Dès lors, les rues de la ville brésilienne ont changé de visage. Rio et sa plage d’Ipanema ont été inondés par des personnes déguisées, parfois plus de 20 kilos sur le dos, des chars aux couleurs chatoyantes et bien sur, des rythmes endiablés de samba. En quelques jours, près de 100 000 participants vont venir se déhancher au rythme des percutions et goûter à la folie du carnaval. Un million de touristes sont attendus. </p><p>Jusqu’au 17 février, les écoles de samba vont tenter de devenir la meilleure en défilant dans les rues, essayant de toucher le coeur des jurés et du public. Pour cela, les règles sont strictes : le choix de la musique et surtout la «reine de la Bateria», celle qui danse seule devant les percussionnistes. </p><p>Les places vont de 20 à 3000 euros pour les loges les plus chics. Pour assurer la sécurité de l’événement, la ville a engagé 15000 policiers. De quoi faire oublier aux Brésiliens, le temps de quatre jours, la crise économique et autres scandales de corruption qui secouent une fois de plus le pays depuis plusieurs mois. </p>

<p>«Je déclare ouvertes les festivités du carnaval de la ville de Rio de Janeiro», a lancé le roi Momo, samedi 14 février. Dès lors, les rues de la ville brésilienne ont changé de visage. Rio et sa plage d’Ipanema ont été inondés par des personnes déguisées, parfois plus de 20 kilos sur le dos, des chars aux couleurs chatoyantes et bien sur, des rythmes endiablés de samba. En quelques jours, près de 100 000 participants vont venir se déhancher au rythme des percutions et goûter à la folie du carnaval. Un million de touristes sont attendus. </p><p>Jusqu’au 17 février, les écoles de samba vont tenter de devenir la meilleure en défilant dans les rues, essayant de toucher le coeur des jurés et du public. Pour cela, les règles sont strictes : le choix de la musique et surtout la «reine de la Bateria», celle qui danse seule devant les percussionnistes. </p><p>Les places vont de 20 à 3000 euros pour les loges les plus chics. Pour assurer la sécurité de l’événement, la ville a engagé 15000 policiers. De quoi faire oublier aux Brésiliens, le temps de quatre jours, la crise économique et autres scandales de corruption qui secouent une fois de plus le pays depuis plusieurs mois. </p>


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