Des mendiants dans tous les coins des rues qui squattent les feux rouges, les portes des mosquées, les magasins, les souks, traînent sur les boulevards, montent dans les transports publics et parfois même frappent aux portes, le phénomène de la mendicité prend de plus en plus de l’ampleur dans la plupart des grandes villes marocaines.
Devenue ces derniers temps, un réel fléau social mais aussi une activité florissante, la mendicité est une véritable profession lucrative qui rapporte aussi bien, voir même plus, qu’un travail.
Les personnes qui mendient ne sont pas ces indigents qui, en toute humilité, demandent de l’aumône, mais deviennent des réseaux bien organisés, qui n’hésitent pas à malmener tous ceux qui refusent de les secourir.
Les mendiants, dans la plupart des grandes villes, occupent les chemins, parfois sous le regard de la police, et peuvent même s’unir pour s’attaquer à ceux qui, pour une raison ou une autre, ne peuvent leur faire des aumônes.
Selon les statistiques recueillies de part et d’autres, le Maroc compte près de 200.000 mendiants, 62 pour cent d’entre eux en ont fait un métier à part entière.
La mendicité au Maroc touche aussi bien les hommes, les femmes, les enfants, les jeunes, les vieillards, les handicapés mais aussi les enfants. Certains infirmes exposent à la vue des passants leur douleur, d’autres demandent de l’argent pour pouvoir acheter des médicaments. Bien souvent, se sont des femmes que l’on retrouve accompagnées de leurs enfants en bas âge.
Certes, nombreux sont les gens qui ont fait fortune rien qu’avec la mendicité. Mais malheureusement, la plupart des mendiants, surtout les enfants, sont exploités par les mafias de la mendicité.
Ce phénomène gagne aussi de l’ampleur chez les ressortissants subsahariens et les syriens qui se trouvent sur le sol marocain. Pour survivre, ils s’adonnent, à leurs risques et périls, à la mendicité sur les principaux boulevards des grandes villes marocaines, notamment Casablanca, Rabat, Tanger, Fès et Meknès.
Devenue ces derniers temps, un réel fléau social mais aussi une activité florissante, la mendicité est une véritable profession lucrative qui rapporte aussi bien, voir même plus, qu’un travail.
Les personnes qui mendient ne sont pas ces indigents qui, en toute humilité, demandent de l’aumône, mais deviennent des réseaux bien organisés, qui n’hésitent pas à malmener tous ceux qui refusent de les secourir.
Selon les statistiques recueillies de part et d’autres, le Maroc compte près de 200.000 mendiants, 62 pour cent d’entre eux en ont fait un métier à part entière.
La mendicité au Maroc touche aussi bien les hommes, les femmes, les enfants, les jeunes, les vieillards, les handicapés mais aussi les enfants. Certains infirmes exposent à la vue des passants leur douleur, d’autres demandent de l’argent pour pouvoir acheter des médicaments. Bien souvent, se sont des femmes que l’on retrouve accompagnées de leurs enfants en bas âge.
Certes, nombreux sont les gens qui ont fait fortune rien qu’avec la mendicité. Mais malheureusement, la plupart des mendiants, surtout les enfants, sont exploités par les mafias de la mendicité.
Ce phénomène gagne aussi de l’ampleur chez les ressortissants subsahariens et les syriens qui se trouvent sur le sol marocain. Pour survivre, ils s’adonnent, à leurs risques et périls, à la mendicité sur les principaux boulevards des grandes villes marocaines, notamment Casablanca, Rabat, Tanger, Fès et Meknès.
Si l’État a pu prendre quelques mesures pour lutter contre la mendicité en sensibilisant les gens, les réformes engagées depuis quelques années ne sont pas suffisantes et restent inefficaces pour lutter contre ce phénomène désolant.
Une chose est sûre c’est que le chômage et le manque d’aides sociales pour les femmes veuves ou divorcées ont entraîné une pauvreté importante au Maroc et augmenté le nombre de personnes en situation précaire.
Dans de telles conditions, la mendicité draine un grand nombre d’individus en quêtes de gains faciles même si cette activité illégale est punie par la loi marocaine (une peine d’emprisonnement qui peut aller de 1 à 12 mois).
Il est plus qu’impératif pour les autorités marocaines de pendre les mesures adéquates afin de juguler ce phénomène qui nuit à l’image de la société marocaine et à la dignité des citoyens, sape les efforts de développement notamment dans le secteur touristique et consacre une culture de fainéantise et de l’indolence.
Une chose est sûre c’est que le chômage et le manque d’aides sociales pour les femmes veuves ou divorcées ont entraîné une pauvreté importante au Maroc et augmenté le nombre de personnes en situation précaire.
Dans de telles conditions, la mendicité draine un grand nombre d’individus en quêtes de gains faciles même si cette activité illégale est punie par la loi marocaine (une peine d’emprisonnement qui peut aller de 1 à 12 mois).
Il est plus qu’impératif pour les autorités marocaines de pendre les mesures adéquates afin de juguler ce phénomène qui nuit à l’image de la société marocaine et à la dignité des citoyens, sape les efforts de développement notamment dans le secteur touristique et consacre une culture de fainéantise et de l’indolence.