L’air de nos habitations ou milieux professionnels est extrêmement pollué : il est 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur. Mais on y rencontre des pollutions très différentes de celles de dehors…
Ces particules sont produites en grande majorité à l’extérieur, et elles pénètrent dans les habitations avec l’aération naturelle : ouverture de fenêtres ou de porte, VMC, …
En outre, notre quotidien produit une quantité importante de particules fines, par la combustion (cigarettes, bougies, graisses de cuisine, etc.) ou par l’abrasion (peau, …). Les poussières sont de grosses particules.
Et puis nous véhiculons des particules, qui s’accrochent aux vêtements. Par exemple, dans une atmosphère enfumée, vous habits vont s’imprégner de particules qui vont “sentir la fumée” chez vous pendant des jours !
Ces particules sont classées selon leurs tailles, exprimée en microns : moins de 10 µm, moins de 2.5 µm, moins de 1 µm.
Ces microbes sont essentiellement portés par des surfaces, mais on en trouve souvent dans l’air : une personne malade peut en émettre en toussant, voire en respirant.
Certaines particules (spores, bactéries) sont aussi tellement légères et volumineuses qu’elles sont emportées dans l’air au moindre souffle.
En outre, les moisissures (qui prolifèrent sous forme de spores) sont de fréquents déclencheurs de crises d’asthme ou d’allergie.
On trouve donc ces molécules dans de nombreux produits quotidiens : peintures, colles, cirages, vernis, parfums, produits ménagers, etc. Les produits naturels libèrent aussi des COV, par exemple le bois. Il y a en conséquence des centaines de molécules différentes dans l’air, avec leurs parfums et leurs dangerosités.
Nous créons nous-mêmes de COV, par exemple par notre sueur. Les animaux domestiques aussi génèrent des molécules de COV, souvent allergisantes.
Souvent, ces molécules se recombinent. Leur dangerosité est souvent liées à leur présence commune : on parle alors d’effet cocktail.
- Particules fines
Ces particules sont produites en grande majorité à l’extérieur, et elles pénètrent dans les habitations avec l’aération naturelle : ouverture de fenêtres ou de porte, VMC, …
En outre, notre quotidien produit une quantité importante de particules fines, par la combustion (cigarettes, bougies, graisses de cuisine, etc.) ou par l’abrasion (peau, …). Les poussières sont de grosses particules.
Et puis nous véhiculons des particules, qui s’accrochent aux vêtements. Par exemple, dans une atmosphère enfumée, vous habits vont s’imprégner de particules qui vont “sentir la fumée” chez vous pendant des jours !
Ces particules sont classées selon leurs tailles, exprimée en microns : moins de 10 µm, moins de 2.5 µm, moins de 1 µm.
- Pollutions microbiennes
Ces microbes sont essentiellement portés par des surfaces, mais on en trouve souvent dans l’air : une personne malade peut en émettre en toussant, voire en respirant.
Certaines particules (spores, bactéries) sont aussi tellement légères et volumineuses qu’elles sont emportées dans l’air au moindre souffle.
En outre, les moisissures (qui prolifèrent sous forme de spores) sont de fréquents déclencheurs de crises d’asthme ou d’allergie.
- Pollutions chimiques
On trouve donc ces molécules dans de nombreux produits quotidiens : peintures, colles, cirages, vernis, parfums, produits ménagers, etc. Les produits naturels libèrent aussi des COV, par exemple le bois. Il y a en conséquence des centaines de molécules différentes dans l’air, avec leurs parfums et leurs dangerosités.
Nous créons nous-mêmes de COV, par exemple par notre sueur. Les animaux domestiques aussi génèrent des molécules de COV, souvent allergisantes.
Souvent, ces molécules se recombinent. Leur dangerosité est souvent liées à leur présence commune : on parle alors d’effet cocktail.