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Les 13 aliments les plus dangereux du monde.

Comme le fait de dormir, de respirer ou de boire, se nourrir est une fonction essentielle à la survie de la plupart des êtres vivants. Mais parmi les aliments considérés comme nocifs pour l’Homme, certains sont tout de même consommés.
  • Le fugu


Le fugu, ou poisson-ballon, est devenu un plat prisé du fait que sa préparation doit être parfaitement maitrisée sous peine de mourir. Le foie, les ovaires et la peau du poisson contiennent de grandes quantités de tétrodotoxine, un poison dont il n’existe aucun antidote.
  • Le ouaouaron


La grenouille-taureau, ou ouaouaron, est une grenouille du nord de l’Amérique introduite dans de nombreuses régions du monde. En Namibie, au sud de l’Afrique, cet amphibien est particulièrement prisé. Mais sa consommation est risquée : sa peau et ses organes contiennent une toxine qui peut entrainer une insuffisance rénale, voire la mort. Les jeunes spécimens sont encore plus toxiques que les autres.
  • La méduse echizen kurage


Nemopilema nomurai, ou echizen kurage en japonais, est une méduse géante qui peut atteindre 2 mètres et 220 kg. On la trouve notamment en mer du Japon où elle pullule particulièrement depuis 2005. Cuite correctement, elle est un délice pour les Japonais, mais ses parties toxiques doivent être enlevées et ne doivent pas être consommées crues. Le pays a même une crème glacée saveur vanille et méduse.
  • Le sannakji

Le sannakji est une variété de petite pieuvre essentiellement prisée en Corée. Elle se déguste alors qu’elle vient d’être découpée et qu’elle frétille encore. C’est d’ailleurs cet état des tentacules, qui gesticulent au moment où ils sont mangés, qui rend le sannakji dangereux : chaque année, environ six personnes meurent étouffées par les tentacules encore frétillants de la pieuvre.
  • La palourde de sang


La palourde de sang, ou Tegillarca granosa, est un crustacé de la région indo-pacifique. Très prisé des Chinois, il contient un certain nombre de virus et de bactéries et doit être parfaitement cuit à l’eau bouillante pour être mangé. Sans cela, ce coquillage peut causer l’hépatite A et E, la typhoïde ou encore la dysenterie. Ainsi, à Shanghai, en 1988, plus de 300 000 personnes sont tombées malades après avoir mangé ces palourdes et 31 personnes en sont mortes. On estime même que près de 15 % des gens qui consomment ces palourdes sont infectés.
  • Le casu marzu


Le casu marzu est un fromage italien de Sardaigne. Il est notamment fabriqué grâce à des mouches à fromage qui y pondent leurs oeufs. Une fois nés, les asticots se nourrissent du fromage, aident à sa fermentation et produisent une odeur putride. Officiellement interdits par l’Union européenne, les vers sont mangés vivants avec le fromage. Mais ces asticots, qui peuvent faire des sauts de 15 cm, sont également capables de percer la paroi intestinale des amateurs de casu marzu.
  • Les feuilles de rhubarbe


En elle-même, la rhubarbe ne présente pas de risque à la consommation. Mais ses feuilles sont bien plus nocives : elles contiennent de l’acide oxalique, une toxine qui forme des cristaux nuisibles dans le rein qui peuvent provoquer une insuffisance rénale. Les symptômes vont de difficultés à respirer, à une sensation de brûlure dans la bouche et la gorge en passant pas des diarrhées, une urine rouge, des vomissements ou même des douleurs à l’oeil. De rares décès auraient même été rapportés.
  • Le Pangium edule


Le Pangium edule est un arbre de la mangrove indonésienne, malaisienne et papoue. Le fruit qu’il produit est très populaire dans la culture alimentaire de cette région asiatique. Mais il contient, comme ses graines, du cyanure d’hydrogène, et peut donc être mortel. Pour être comestible, il doit être bouilli puis enfoui dans des feuilles de bananiers sous des cendres pendant 40 jours.
  • Le Fesikh


Le Fesikh est un plat de poisson mangé le jour de la fête égyptienne du printemps : Shem el-Nessim. Préparé à base de mulet fermenté (voire pourri), salé et séché, il est laissé au soleil avant sa conservation. Et si l’élaboration du Fesikh se transmet de père en fils en Egypte, une erreur dans sa préparation peut avoir de terribles conséquences : en 1991, 18 personnes sont mortes après avoir mangé ce plat traditionnel.
  • Le manioc


Mangée bouillie, frite, cuite à la vapeur, grillée ou en purée, la plante de manioc est un légume-racine d’Amérique du Sud introduit dans plusieurs autres régions du monde. Il contient une forte concentration de linamarine, qui peut produire du cyanure si la plante n’est pas bien cuisinée, et donc être potentiellement mortel. Ainsi, en 2005, plus d’une centaine d’enfants sont tombés malades et 27 autres sont décédés après avoir grignoté du manioc dans une école des Philippines.
  • Le hakarl


Le hakarl est une spécialité islandaise. Ce plat atypique est traditionnellement préparé en éviscérant un requin pèlerin puis en le plaçant dans un trou. Sa carcasse est alors recouverte de gravier et de pierres afin de la laisser fermenter pendant trois mois ou plus. Le requin est ensuite découpé en morceaux qui sont suspendus pendant plusieurs mois supplémentaires. Le processus entraine une émanation d’odeurs répugnantes et le plat peut causer une intoxication alimentaire s’il n’est pas suffisamment fermenté.
  • Le sureau


Présent dans le monde entier, le sureau est une plante à baie. Très utilisés dans la production de différents aliments, comme du vin ou du sirop, les fruits et les feuilles du sureau sont toxiques s’ils ne sont pas cuits. Ils peuvent ainsi provoquer des vomissements, des diarrhées ou des convulsions.
  • L'ackee



Le ackee est un arbre d’Afrique occidentale et cultivé dans les régions tropicales pour son fruit. Celui-ci, comestible, doit être récolté à maturité complète, lorsqu’il s’ouvre naturellement. Trop vert ou trop mûr, il peut causer d’importants vomissements. Mais même cueilli à parfaite maturité, le fruit du ackee doit être bouilli dans de l’eau ou du lait.
Ces ingrédients ont, pour certains, l’air appétissants. C’est d’ailleurs ce qui est le plus surprenant et le plus dangereux. D’autres aliments sont de toute évidence issus de pratiques presque révolues et sont certainement amenés à ne plus être consommés.