La prostate est bien connue chez les hommes, identifiable, son existence est attestée scientifiquement. Cependant, qu’entendent certains lorsqu’ils parlent de prostate féminine ? Existe-t-elle vraiment ? Si oui, a-t-elle les mêmes caractéristiques que celle des hommes ?
Qu’est-ce que la prostate chez l’homme ?Très simplement, la prostate chez l’homme est une glande génitale, un peu moins grosse qu’une balle de ping-pong, située au niveau de l’urètre, à la sortie de la vessie.
Qu’est-ce que la prostate chez l’homme ?Très simplement, la prostate chez l’homme est une glande génitale, un peu moins grosse qu’une balle de ping-pong, située au niveau de l’urètre, à la sortie de la vessie.
Si la prostate masculine est connue pour ses propriétés non-négligeables dans le plaisir sexuel des hommes, elle l’est aussi pour des raisons moins réjouissantes, comme le cancer de la prostate. À la suite d’une telle maladie, toute la sexualité du malade peut être changée, transformer son désir sexuel et provoquer des troubles de l’érection.
Les glandes de Skène, c'est quoi ?
Si l’on ne les désigne pas sous le terme de "prostate", les glandes de Skène sont chez la femme, l’équivalent de la prostate masculine. Ces glandes sont bien plus petites, et produisent un liquide qui sort de l’urètre au moment de l’orgasme féminin.
Existe-t-il un cancer de la prostate féminine ?
Les personnes identifiants les glandes de Skène comme la version féminine de la prostate pensent souvent à tort que les femmes, elles aussi, peuvent souffrir d’un cancer de la prostate.
Si le cancer de la prostate est un des cancers les plus communs chez les hommes, cela est totalement faux pour les femmes. La méconnaissance de cette maladie est la cause d’une lacune en termes d’informations.
Bon à savoir
Vous l’aurez compris, si les glandes de Skène sont assimilées à des équivalents de la prostate masculine, les femmes ne peuvent pas avoir de cancer des glandes de Skène. Cela ne vous empêche en aucun cas de faire un suivi préventif régulier chez votre gynécologue.
Il existe, comme vous le savez, ce que l’on appelle communément le Papillomavirus humain, le cancer du col de l’utérus, très courant chez les femmes en activité sexuelle, et si non pris à temps, extrêmement dangereux.
Il ne s’agit absolument pas de la totalité du liquide de "l’éjaculation féminine", mais seulement d’une petite quantité de ce dernier. Ce liquide est translucide et sa fonction est encore inconnue pour les scientifiques. Sa quantité est variable selon les femmes. Les professionnels de la santé estiment que les glandes de Skène se situent à peu près au niveau du point G, lieu de plaisir sexuel supposé maximum pour les femmes.
Les glandes de Skène, c'est quoi ?
Si l’on ne les désigne pas sous le terme de "prostate", les glandes de Skène sont chez la femme, l’équivalent de la prostate masculine. Ces glandes sont bien plus petites, et produisent un liquide qui sort de l’urètre au moment de l’orgasme féminin.
Existe-t-il un cancer de la prostate féminine ?
Les personnes identifiants les glandes de Skène comme la version féminine de la prostate pensent souvent à tort que les femmes, elles aussi, peuvent souffrir d’un cancer de la prostate.
Si le cancer de la prostate est un des cancers les plus communs chez les hommes, cela est totalement faux pour les femmes. La méconnaissance de cette maladie est la cause d’une lacune en termes d’informations.
Bon à savoir
Vous l’aurez compris, si les glandes de Skène sont assimilées à des équivalents de la prostate masculine, les femmes ne peuvent pas avoir de cancer des glandes de Skène. Cela ne vous empêche en aucun cas de faire un suivi préventif régulier chez votre gynécologue.
Il existe, comme vous le savez, ce que l’on appelle communément le Papillomavirus humain, le cancer du col de l’utérus, très courant chez les femmes en activité sexuelle, et si non pris à temps, extrêmement dangereux.
Il ne s’agit absolument pas de la totalité du liquide de "l’éjaculation féminine", mais seulement d’une petite quantité de ce dernier. Ce liquide est translucide et sa fonction est encore inconnue pour les scientifiques. Sa quantité est variable selon les femmes. Les professionnels de la santé estiment que les glandes de Skène se situent à peu près au niveau du point G, lieu de plaisir sexuel supposé maximum pour les femmes.