- Le guépard, la formule 1 de la savane
En comparaison avec d'autres animaux rapides et ayant la même morphologie, comme le lévrier, le guépard est capable d'augmenter la fréquence de ses foulées pour progressivement augmenter sa vitesse et atteindre les 100 km/h, voire plus. En outre, 70 % du poids du guépard est concentré dans ses membres postérieurs, ce qui lui donne une grande puissance d'accélération.
Mais le félin ne court pas aussi vite pour le plaisir. Il lui faut une bonne raison pour dépenser autant d'énergie ; le plus souvent, il s'agit d'attraper une proie ou de fuir une menace. Le guépard chasse certaines espèces d'antilopes particulièrement véloces, comme l'impala qui peut courir jusqu'à 90 km/h sur des courtes distances.
- Le pélican à lunettes et son bec imposant.
Le pélican à lunettes (Pelecanus conspicillatus) est un oiseau aquatique de l'hémisphère Sud plutôt imposant. Son envergure dépasse les 2,50 mètres pour environ 1,60 mètre de long. Mais c'est son bec qui bat tous les records. Profilé pour attraper des poissons, le bec rose du pélican à lunettes peut mesurer jusqu'à 50 centimètres. C'est le plus long bec chez les oiseaux. On appelle cette espèce de pélican « à lunettes » à cause de la peau jaune qui entoure ses yeux noirs.
Le faucon pèlerin utilise le piqué pour fondre sur ses proies, qui sont essentiellement d'autres oiseaux et les faucher en plein vol. Mais, à des vitesses si élevées, il arrive fréquemment au rapace de louper sa cible.
- Le springbok, l'antilope montée sur ressorts.
Le springbok (Antidorcas marsupialis) porte bien son surnom de gazelle sauteuse. En Afrikaans, « spring » signifie sauteur ou qui saute, et « boc » signifie bouc. Cette antilope du sud de l'Afrique est traquée par de nombreux prédateurs mais celle-ci ne se laisse pas facilement attraper. Outre sa rapidité, jusqu'à 80 km/h, le springbok est particulièrement doué pour le saut en longueur. Lorsqu'il veut semer un prédateur, il peut bondir sur plus de 15 mètres de distance. Il est aussi capable de bondir sur place à plus de deux mètres de hauteur pour échapper aux griffes de ses assaillants.
- Le faucon pèlerin pointe à plus de 300 km/h.
Le faucon pèlerin utilise le piqué pour fondre sur ses proies, qui sont essentiellement d'autres oiseaux et les faucher en plein vol. Mais, à des vitesses si élevées, il arrive fréquemment au rapace de louper sa cible.
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- Le varan de Komodo, le roi des lézards.
Les varans de Komodo (Varanus komodoensis) n'a pas la réputation d'être un animal pacifique. Avec ses 2,50 mètres de long et ses 70 kg, celui que l'on peut qualifier de « roi des lézards » puisqu'il est le plus grand de tous, n'a pas de concurrent sur les îles indonésiennes où il vit. En plus de sa taille imposante, le varan de Komodo peut courir jusqu'à 20 km/h et plonger à 4,50 mètres de profondeur. Le varan de Komodo n'est pas un chasseur mais plutôt un charognard, même s'il est tout à fait capable de tuer un porc ou un cerf.
- Le puma, un félin spécialiste du bond.
Le cougar ou puma (Puma concolor) est un félidé qui vit sur la côte ouest de l'Amérique du Nord et en Amérique du Sud. On le retrouve dans des environnement très divers, des Montagnes rocheuses aux forêts équatoriales. Mais tous les pumas ont une caractéristique commune. Sans aucun élan, et grâce à des pattes postérieures particulièrement longues, les pumas peuvent bondir à environ 5 mètres de hauteur.
- Le requin-baleine, un poisson aussi gros qu'une baleine.
Avec une taille pouvant atteindre les 20 mètres de long et un poids frôlant la trentaine de tonnes, le requin-baleine (Rhincodon typus) est le plus gros de tous les poissons. Ce gentil géant se nourrit de la même façon que les baleines : il filtre l'eau de mer pour se nourrir de plancton
Il peut aussi avaler des petits poissons de moins de 10 centimètres. Il vit dans les eaux chaudes des océans Atlantique, Pacifique et Indien. Les mœurs de ce poisson géant reste encore largement méconnus.- L'éléphant, un géant plutôt intelligent.
L'éléphant est un animal emblématique de l'Afrique et de l'Asie. Et pour cause, c'est le plus gros animal terrestre actuel. Ce géant qui peut atteindre les 7 tonnes vit dans des groupes sociaux très élaborés, dirigés par une matriarche. Particulièrement intelligent, il est capable d'utiliser des outils grâce à sa trompe. Par exemple, il peut se servir d'un bâton pour se gratter le dos. Son comportement face à un miroir suggère qu'il sait reconnaître son image et qu'il a la conscience de lui-même.
- La baleine bleue, un cétacé qui bat tous les records.
La baleine bleue est l'animal de tous les records. Avec ses 30 mètres et ses 170 tonnes, c'est l'animal le plus imposant vivant actuellement sur Terre, mais elle est aussi bien plus grande que la plupart des dinosaures. Seules, certaines espèces de sauropodes auraient été plus lourds qu'elle.
Une telle taille impose d'avoir des organes tout aussi impressionnants. Ainsi, son coeur, avec ses 600 kilogrammes, est plus gros du règne animal. Tout comme le pénis des mâles qui peut mesurer plus de 2 mètres de long.
Le colibri d'Elena vit dans une région géographique restreinte, on le retrouve sur l'île de Cuba et l'île de la Jeunesse, juste à côté.
Une telle taille impose d'avoir des organes tout aussi impressionnants. Ainsi, son coeur, avec ses 600 kilogrammes, est plus gros du règne animal. Tout comme le pénis des mâles qui peut mesurer plus de 2 mètres de long.
- Le colibri d'Elena, un poids plume parmi les colibris.
Le colibri d'Elena vit dans une région géographique restreinte, on le retrouve sur l'île de Cuba et l'île de la Jeunesse, juste à côté.
- Un oiseau capable de voler au dessus de l'Everest.
L'oie à tête barrée (Anser indicus) est connue pour survoler le mont Everest lors de sa migration bisannuelle. C'est l'oiseau qui peut voler le plus haut, à plus de 10 Km d'altitude. Pour réaliser cet exploit, l'oie à tête barrée dispose de plusieurs adaptations physiologiques. Par exemple, l'hémoglobine de son sang est capable de fixer beaucoup plus d'oxygène que toutes les autres espèces d'oie, ce qui lui permet de respirer et de continuer à voler en altitude malgré un déficit en oxygène.
- Cette mygale est la plus grande de toutes les araignées.
Arachnophobes, la mygale Goliath (Theraphosa blondi) est sûrement votre pire cauchemar ! Ce mastodonte est la plus grande et l'une des plus grosses espèces d'araignées mygalomorphes connue avec ses 30 centimètres de long. Sa taille imposante et surtout ses deux chélicères remplies de venin lui permettent de chasser des oiseaux, des petits mammifères et même des serpents. Et si, par malheur, elle perd une patte dans un combat, elle est capable de la régénérer après plusieurs mues. Une espèce pleine de charmes pour qui sait les apprécier. En effet, cette mygale est recherchée en terrariophilie.
- Le paresseux, un animal qui tourne au ralenti.
Le paresseux porte bien son nom car tout, dans son mode de vie, est au ralenti. Premièrement, son métabolisme est deux fois plus lent que celui des autres mammifères. En conséquence, il se déplace extrêmement lentement, environ 0,25 km/h soit 4 mètres par minute, lorsqu'il est dans les arbres. D'ailleurs, il passe la majorité de sa vie en hauteur, il ne descend des arbres qu'une fois par semaine pour faire ses besoins. À ce moment là, il est particulièrement vulnérable. Malgré ses griffes impressionnantes, il est incapable de se défendre face à ses prédateurs. Pour récupérer, il dort parfois plus de 12 heures par jour. Il existe quatre espèces de paresseux qui vivent toutes en Amérique du Sud, du Brésil au Guatemala.
- Le marlin bleu, le sprinteur des océans.
Le corps du marlin bleu (Makaira nigricans) est taillé pour la vitesse. Grâce à son rostre effilé et sa nageoire dorsale en forme de voile et une peau écailleuse qui augmente son hydrodynamisme, ce poisson imposant peut atteindre des vitesses impressionnantes, parfois de 100 km/h. Ils sont souvent confondus avec les espadons mais ces deux animaux sont bien différents. L'espadon a un rostre beaucoup plus long et au contraire, une voile dorsale plus petite et sa peau est totalement lisse.
- La loutre de mer et son manteau de fourrure.
La loutre de mer (Enhydra lutris) vit dans les eaux froides du Pacifique Nord, du Japon à l'Alaska. C'est la seule espèce de loutre à pouvoir vivre totalement dans l'eau, les autres espèces ont besoin de retourner sur la terre ferme fréquemment. Pour supporter les températures froides, elle peut compter sur sa fourrure particulièrement dense, plus 170.000 poils par centimètres carrés de fourrure. C'est la plus dense de tout le règne animal. Malheureusement, cette fourrure a attiré la convoitise des humains et la loutre de mer a été chassée pour sa peau, vendue aux quatre coins du monde. La chasse est interdite aujourd'hui mais la loutre reste tout de même difficile à observer.