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Il y a plus de trois millions d’apatrides dans le monde, selon l'Onu

Au moins trois millions de personnes dans le monde sont apatrides, selon un rapport du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
Au moins trois millions de personnes dans le monde sont apatrides,
selon un rapport du Haut Commissariat des Nations unies
pour les réfugiés.


Au moins trois millions de personnes dans le monde sont apatrides, un statut qui les prive de droits, et souvent d’emploi, selon un rapport du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).
Le rapport s’intitule « Les minorités apatrides et leur quête de citoyenneté ». Émanant du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et publié ce vendredi, il affirme qu’il y a au moins trois millions de personnes privées de nationalité dans le monde. Et demande aux États de mettre fin à cette pratique discriminatoire d’ici à 2024.
Le HCR recommande de naturaliser les personnes nées sur leur territoire qui seraient sinon susceptibles de se retrouver apatrides.





« Sans identité, sans papiers, sans droits ».

Le HCR souhaite aussi que les gouvernements facilitent la naturalisation des apatrides qui résident de longue date sur leur sol.
Si vous vivez dans ce monde sans nationalité, vous êtes sans identité, sans papiers, sans les droits que nous considérons comme acquis : travailler, recevoir une éducation, savoir que ses enfants ont leur place quelque part.
Si le rapport souligne une évolution positive, avec notamment les naturalisations de 30 000 apatrides en Thaïlande depuis 2012 et les Makondés reconnus comme tribu au Kenya l’an dernier, il estime que ces progrès sont toutefois insuffisants pour atteindre l’objectif de 2024.

600 000 Rohingyas en exil.

Le HCR a identifié trois millions de personnes apatrides, mais estime que le total est certainement plus élevé.
Parmi les apatrides comptabilisés par les Nations Unies, figure la communauté musulmane des Rohingya, dont 600 000 membres ont fui la répression en Birmanie depuis la fin du mois d’août et trouvé refuge au Bangladesh. Cette communauté constitue actuellement la plus importante minorité apatride.
Sont également apatrides de nombreux Kurdes syriens, les Karanes à Madagascar ou encore les Roms en Macédoine (ex-Yougoslavie).








GUERGARATE: LE COUP D’ÉPÉE DANS L’EAU DU POLISARIO



Le Polsario tente par tous les moyens de susciter la sympathie, à l’image de ses vains appels à l’ONU après l’opération d’assainissement menée à la mi-août par les services de sécurité et de la douane marocains dans la région de Guergarate, à la frontière entre le Maroc et la Mauritanie.
Malgré le communiqué publié dimanche 28 août par Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, affirmant que Ban Ki-Moon était « profondément préoccupé » par la situation dans la zone tampon de Guergarate, l’opération d’assainissement était pleinement justifiée.
Non seulement elle est destinée à lutter contre la contrebande dans cette zone sensible, mais l’opération avait aussi pour objectif de nettoyer cette région tampon où prolifèrent toutes sortes de trafics, dont certains sont soupçonnés d’alimenter les groupes terroristes au Sahel.
Le démantèlement par la gendarmerie et la douane marocaines de ce point de rassemblement de véhicules de contrebande et la saisie de quelque 600 voitures, ne sont que la partie visible de cet iceberg dans le désert où s’échangeaient véhicules, hydrocarbures, cigarettes de contrebande, devises, etc.
Ainsi, l’initiative du Maroc de construire un tronçon routier entre dans le cadre de cette opération d’assainissement et de sécurisation de cette région frontalière entre le Maroc et la Mauritanie, devenue une zone à haut risque.
D’ailleurs, les allégations répétées du Polisario accusant le Maroc d’opérations militaires dans la région de Guergarate avaient été clairement démenties par l’ONU. Farhan Haq, le porte-parole de l’ONU avait précisé, en réponse aux plaintes du mouvement séparatiste, que la Minurso a déployé les 16 et 17 août des moyens terrestres et ariens pour vérifier les allégations du Polisario.
Mais en dépit de la mobilisation de ces moyens, la mission onusienne « n’a pas constaté de présence ou d’équipement militaire dans la zone de séparation », avait précisé le porte-parole, opposant ainsi un cinglant démenti au Polisario qui voit ses tentatives de buzz médiatique tomber une nouvelle fois à l’eau.