"Et rappelle car, le rappel profite aux bons croyants"!
Le 18 décembre 1975, le président algérien Houari Boumédiène décide d’exclure d’Algérie tous les ressortissants marocains. Suite à la rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l’Algérie, due aux différends entre les deux pays sur le dossier du Sahara, ce sont plus de 350. 000 Marocains, dont des enfants, des femmes et des vieillards, qui sont exclus manu militari d’Algérie.
Un crime d’une cruauté sans faille décidé par le défunt colonel Houari Boumediene, de son vrai nom Mohamed Boukharrouba, lequel a choisi un jour de Fête chère aux Musulmans, Aid Al Adha, pour déporter (sans frissonner!) des milliers de civils marocains sans défense, l'équivalent des 350.000 Marocains ayant participé à la glorieuse Marche verte pour décoloniser le Sahara marocain.
Qui est alors digne d'excuses : le Maroc ou l'Algérie ?
L'expulsion lâche et épouvantable de ressortissants marocains n'est toutefois pas la seule dérive du régime criminel algérien envers les Marocains. Le pedigree des oligarques algériens regorge d'autres forfaits commis à l'encontre du voisin marocain, à leur tête ce parrainage indigne des hostilités de la "Isaba" de Rabouni, à laquelle ils ont offert non seulement le gîte, mais aussi les armes, des soldats, sans compter les pétro et gazo-dollars (350.000 milliards de dollars!), pour enclencher, 16 ans durant, des hostilités contre le peuple marocain, dont des familles entières ont payé douloureusement les frais du sang des leurs, qui ont laissé des orphelins et des veuves inconsolables.