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Satan 2, le missile thermonucléaire intercontinental russe capable de pulvériser un pays.


Ce missile a été nommé Sarmat en référence à un peuple ancien dont le territoire, la Sarmatie, longeait en partie la Mer Noire et s'étendait sur les territoires de l'Ukraine et Russie méridionale.
L'étymologie de ce nom proviendrait de "Sauromate" lui-même issu du grec "sauros", un lézard recouvert d'une armure faite d'écailles. Selon la légende, les Sauromates, ancêtres des sarmates, seraient les enfants d'Amazones qui se seraient accouplées avec des Scythes.
Le RS-28 Sarmat est un colosse que la Russie met au point depuis 2009. D'un poids de 200 tonnes, il peut transporter jusqu'à 10 têtes nucléaires, de quoi raser un pays grand comme la France ou un Etat américain comme le Texas. Sa puissance serait de 100 à 200 fois celle de la bombe atomique qui a frappé Hiroshima.
Il s'agit d'un missile balistique intercontinental de cinquième génération.
Il est plus performant que son prédécesseur et "n'a pratiquement pas de limites en matière de portée", selon Vladimir Poutine, qui l'a jugé à même de "viser des cibles en traversant le pôle Nord comme le pôle Sud".
Ce potentiel est d'autant plus crédible qu'il peut atteindre des cibles à plus de 10.000 kilomètres de distance. Certains experts disent que sa portée serait même de 18.000 km de quoi frapper n'importe quel objectif sur la planète avec des sous-munitions capables de viser plusieurs objectifs simultanément.
Selon la Russie, son autonomie lui permettrait d'utiliser des trajectoires en passant par les pôles Nord et Sud pour frapper par surprise partout sur la planète. Mais surtout, il serait équipé d'une technologie capable de "déjouer tous les systèmes anti-aériens modernes".
Le surnom de Satan 2 a été donné par les occidentaux. Il exprime la puissance de destruction du missile thermonucléaire, mais aussi la succession du missile SS-18 surnommé Satan. Développé dans les années 60 et fabriqué dans l'usine d'armement Loujmach, ancien fleuron du complexe militaro-industriel soviétique située à Dnipro, en Ukraine de l’est.



Poutine menace-t-il l'Occident?

L'annonce du test de Sarmat fait partie de la stratégie de dissuasion de la Russie. D'ailleurs les commentaires de Vladimir Poutine ne laisse aucun doute.

"C'est une arme unique qui va renforcer le potentiel militaire de nos forces armées, qui assurera la sécurité de la Russie face aux menaces extérieures et qui fera réfléchir à deux fois ceux qui essayent de menacer notre pays avec une rhétorique déchaînée et agressive", a déclaré le président russe,
Mais pour le Pentagone, ce tir n'est en rien une menace ni pour les Etats-Unis ni leurs alliés. Pour cet essai de "routine", Moscou aurait au préalable "convenablement informé" Washington, conformément à ses obligations relevant des traités sur le nucléaire. Pour John Kirby, porte-parole du ministère américain de la Défense, il ne s'agissait donc pas d'une "surprise".
En effet, l'an dernier, l'agence Tass indiquait que le programme Sarmat était en cours et que cinq essais étaient prévus en 2022. Celui de mercredi serait donc le premier de la série.

Invincibles, hypersoniques et invisibles, le nouvel arsenal russe?

Le Sarmat n'est pas la seule arme de nouvelle génération de la Russie. Depuis plus d'une décennie, Moscou élabore un arsenal de nouvelle génération composée de missiles qualifié d'invincibles.

Avangard, missile "invincible"




Les missiles hypersoniques russes Avangard ("avant-garde" en russe) sont capables de changer de cap et d'altitude à très haute vitesse, les rendant "pratiquement invincibles". Testés avec succès en décembre 2018, leur vitesse a alors atteint Mach 27, soit 27 fois la vitesse du son. Ils ont réussi à toucher une cible située à environ 6000 km. Ils ont été mis en service en décembre 2019.

Kinjal, "poignard" hypersonique




Utilisés pour la première fois vendredi par l'armée russe, les missiles hypersoniques Kinjal ("poignard" en russe) ont permis selon Moscou la destruction d'un entrepôt souterrain d'armements dans l'ouest de l'Ukraine. Ce type de missiles, très manoeuvrable, est censé défier les systèmes de défense anti-aérienne. Ils ont atteint, lors des essais, toutes leurs cibles à une distance pouvant atteindre 1000 à 2000 km. Ils équipent les avions de guerre MiG-31.

Peresvet, laser de combat



Les caractéristiques techniques des systèmes laser de combat Peresvet (du nom d'un moine guerrier du XIVe siècle) sont secrètes. Ils sont prêts au combat depuis décembre 2019, selon le ministère de la Défense.

Poséidon, drone sous-marin


Le Poséidon, drone sous-marin élaboré pour la dissuasion nucléaire russe, sera capable de se déplacer à plus d'un kilomètre de profondeur, à une vitesse de 60 à 70 noeuds, tout en restant invisible pour les systèmes de détection. Des tests du système Poséidon ont eu lieu en 2020.
 

Il équipera à terme le sous-marin nucléaire Belgorod, navire qui a été mis à l'eau en 2019 mais dont la mise en service a été repoussée à l'été 2022.

Bourevestnik, l'oiseau de tempête


D'une "portée illimitée", toujours selon Vladimir Poutine, le Bourevestnik serait capable de surmonter quasiment tous les systèmes d'interception. Ce missile de croisière dont le nom provient d'un oiseau de mer dont l'étymologie russe est le mot "tempête").

Zircon, missile marin "invisible"
Le premier tir officiel du missile hypersonique Zircon (du nom d'un minéral utilisé en joaillerie) date d'octobre 2020. Il vole à Mach 9 pour atteindre des cibles maritimes comme terrestres. Fin décembre 2021, Vladimir Poutine a annoncé un premier tir d'essai réussi d'une salve de Zircon. D'autres essais ont eu lieu depuis octobre 2020 dans l'Arctique russe, notamment à partir de la frégate Amiral Gorchkov et d'un sous-marin immergé.



Satan 2, le missile nucléaire russe capable de détruire un pays de la taille de la France

Le nouveau missile russe aura une capacité de 10.000 kilomètres,
 le mettant en capacité de frapper des villes européennes
 ou des villes de la côte ouest américaine.
 Entrée en service prévue pour 2020
 

Le missile nucléaire «Satan 2»  sera le plus puissant jamais conçu, et aucune technologie de défense antimissile n’est en mesure de l’arrêter. Outre sa puissance, il est équipé d’une technologie furtive pour tromper les systèmes radars ennemis. Son nom officiel est «RS-28 Sarmat». Fabriqué pour remplacer les vieillissants missiles «R-36M»qui étaient surnommés «Satan» par les experts de l’OTAN. C’est donc tout naturellement que son successeur a récupéré le surnom de Satan 2. 

Douze têtes nucléaires

Le missile aura une capacité d’action de 10.000 kilomètres, mettant des villes européennes comme Londres ou Paris, mais aussi des villes de la côte ouest américaine, dans sa ligne de mire. Par ailleurs, le missile pourrait contenir jusqu’à douze têtes nucléaires, lui donnant la capacité de détruire en quelques secondes un territoire «de la taille du Texas ou de la France» selon les informations de la télévision russe. 
La Russie a déclaré souhaiter tester son missile dès cet été, afin qu’ils puissent entrer en service en 2020.