Si tel est le cas, cela peut se ressentir particulièrement chez les personnes âgées, à partir de 70 ans, qui voient apparaître des difficultés d’adaptation, de mémorisation et une diminution de la réactivité, de la rapidité de réflexion et de la résistance au stress.
Pour ralentir l’accroissement d’une perte d’autonomie physique, psychique ou encore sociale, il est important de stimuler les personnes âgées à l’aide d’exercices, de jeux ou encore de simples activités permettant de faire travailler le cerveau et de conserver une autonomie. Ces exercices de stimulation peuvent être réalisés quel que soit l’âge. Voici un éclairage sur la stimulation cognitive de la personne âgée, afin de prévenir les pertes intellectuelles de vos proches.
La stimulation cognitive pour les personnes âgées :
Stimuler son proche âgé, c’est donc essentiel pour qu’il conserve un lien social et qu’il fasse travailler sa santé psychique. Mais il n’est parfois pas simple de trouver de nouvelles idées, sans l’ennuyer. Il existe pourtant de nombreuses activités riches et variées, permettant une stimulation de la personne âgée sur différents plans, tous utiles au travail du cerveau. La stimulation cognitive est d’autant plus utile que l’âge peut affecter les parties du cerveau utilisées lorsque l’on veut se remémorer quelque chose. Elle permet de pouvoir accompagner au mieux les personnes atteintes de pathologies liées à l’âge: telles que celles d’Alzheimer ou de Parkinson qui engendrent des pertes de mémoire.Conseils et objectifs
La stimulation cognitive de la personne âgée a pour objectif principal de ralentir le déclin de la mémoire, qu’elle soit visuelle, spatiale ou encore auditive. En fonction des activités effectuées, elle peut de plus faire progresser la personne âgée sur sa capacité de concentration et d’adaptation.
La stimulation intellectuelle a aussi un effet sur les liens sociaux et la psychologie des personnes stimulées. Ainsi, le progrès cognitif est accompagné d’une amélioration de la qualité de la vie de la personne aidée : elle conserve ou améliore son estime de soi face à ses réussites, et apprend à réagir face à d’autres futurs troubles de mémoire probables.
La stimulation cognitive pour les personnes âgées :
- définition
Stimuler son proche âgé, c’est donc essentiel pour qu’il conserve un lien social et qu’il fasse travailler sa santé psychique. Mais il n’est parfois pas simple de trouver de nouvelles idées, sans l’ennuyer. Il existe pourtant de nombreuses activités riches et variées, permettant une stimulation de la personne âgée sur différents plans, tous utiles au travail du cerveau. La stimulation cognitive est d’autant plus utile que l’âge peut affecter les parties du cerveau utilisées lorsque l’on veut se remémorer quelque chose. Elle permet de pouvoir accompagner au mieux les personnes atteintes de pathologies liées à l’âge: telles que celles d’Alzheimer ou de Parkinson qui engendrent des pertes de mémoire.Conseils et objectifs
La stimulation cognitive de la personne âgée a pour objectif principal de ralentir le déclin de la mémoire, qu’elle soit visuelle, spatiale ou encore auditive. En fonction des activités effectuées, elle peut de plus faire progresser la personne âgée sur sa capacité de concentration et d’adaptation.
La stimulation intellectuelle a aussi un effet sur les liens sociaux et la psychologie des personnes stimulées. Ainsi, le progrès cognitif est accompagné d’une amélioration de la qualité de la vie de la personne aidée : elle conserve ou améliore son estime de soi face à ses réussites, et apprend à réagir face à d’autres futurs troubles de mémoire probables.
- Conseils pour une stimulation cognitive réussie
La stimulation de la personne âgée ne doit pas tomber dans l’infantilisation. Vous pouvez, d’ailleurs, l’inciter à participer aux tâches quotidiennes comme la préparation des repas, si la personne âgée est assistée habituellement par une aide à domicile par exemple.
Si vous constatez une importante perte de mémoire de votre proche, n’hésitez pas à consulter des médecins qui sauront vous guider vers la méthode la plus efficace et personnalisée.
Il est aussi conseillé d’inscrire la personne âgée dans des clubs afin de faire des rencontres et de recréer ou améliorer la vie sociale du senior. Les nouvelles rencontres obligent la mémorisation des informations données par l’interlocuteur dans le but de ne pas reposer des questions déjà évoquées. Le travail de la mémoire se fait donc sans s’en rendre compte, ce qui est bénéfique pour la personne âgée. Dans le cas où vous n’avez pas l’opportunité de stimuler votre proche, il existe des animations de groupe en institutions, telles que les maisons de retraite, les hôpitaux ou encore les centres sociaux. L’état de défiance cognitive est alors premièrement évalué par un médecin, notamment à l’aide du GIR (Groupe iso-ressources), qui permet de déterminer un nombre de séances conseillées. Ces ateliers se font en groupe pendant 1 à 2h30, ce qui favorise le bien-être social. Les aides à domicile peuvent aussi être une solution afin de tenir compagnie en stimulant la personne en perte d’autonomie.
Une bonne hygiène de vie reste indispensable pour limiter les troubles de la mémoire : pratiquer une activité physique et manger sainement sont vivement recommandés.
Si vous constatez une importante perte de mémoire de votre proche, n’hésitez pas à consulter des médecins qui sauront vous guider vers la méthode la plus efficace et personnalisée.
- Pratiques de la stimulation cognitive pour personnes âgées
- Activités de stimulation cognitive
Il est aussi conseillé d’inscrire la personne âgée dans des clubs afin de faire des rencontres et de recréer ou améliorer la vie sociale du senior. Les nouvelles rencontres obligent la mémorisation des informations données par l’interlocuteur dans le but de ne pas reposer des questions déjà évoquées. Le travail de la mémoire se fait donc sans s’en rendre compte, ce qui est bénéfique pour la personne âgée. Dans le cas où vous n’avez pas l’opportunité de stimuler votre proche, il existe des animations de groupe en institutions, telles que les maisons de retraite, les hôpitaux ou encore les centres sociaux. L’état de défiance cognitive est alors premièrement évalué par un médecin, notamment à l’aide du GIR (Groupe iso-ressources), qui permet de déterminer un nombre de séances conseillées. Ces ateliers se font en groupe pendant 1 à 2h30, ce qui favorise le bien-être social. Les aides à domicile peuvent aussi être une solution afin de tenir compagnie en stimulant la personne en perte d’autonomie.
Une bonne hygiène de vie reste indispensable pour limiter les troubles de la mémoire : pratiquer une activité physique et manger sainement sont vivement recommandés.