- où vous avez garé votre voiture,
- de rappeler quelqu'un,
- le prénom d'une personne que vous venez de rencontrer,
- où vous avez rangé telle ou telle chose,
- un mot (mais vous l'avez « sur le bout de la langue »).
Ces informations dépendent en effet de la mémoire à court terme. « Votre cerveau sait qu'il ne vous est pas vital de vous souvenir du prénom de la personne que vous venez de rencontrer. Aussi, il fait de la place pour enregistrer d'autres données, plus essentielles à votre vie » explique ainsi le Dr Oliver Cockerell, neurologue.
- vous ne parvenez plus à faire deux choses à la fois (préparer le repas devient très difficile, par exemple),
- vous commencez à vous perdre dans des endroits familiers (vous ne retrouvez plus la route jusqu'à votre maison, par exemple),
- vous oubliez les noms de vos proches ou vous ne reconnaissez plus leur visage,
- vous répétez en boucle les mêmes questions,
- vous oubliez comment faire certaines tâches du quotidien (lancer une machine à laver, par exemple),
- vous vous perdez dans vos liens familiaux (« à qui est cet enfant ? »),
- vous oubliez quelle est la fonction de certains objets,
- vous rangez certains objets dans des lieux insolites sans vous en rendre compte.
« Ces oublis signalent qu'il y a un problème de communication entre la mémoire à court terme et la mémoire à long terme. Cela peut conduire à certaines pathologiques, comme Alzheimer. De manière générale, si l'état de votre mémoire vous inquiète, c'est bon signe. Ouf, nous voilà (un peu) rassurées !