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Le Système Foncier Marocain : Melk, Jmouâ, Habous, Guich, quelle différence?

Les terres collectives du Maroc dans la première période du protectorat  (1912-1930) - Persée

Le système foncier présente une grande complexité: terres en propriété privée, terres collectives des tribus, terres appartenant à des fondations religieuses (habbous), domaines privés de l'État.

Les terres dites «Melk».

Qu’elles proviennent d’un achat, héritage ou d’un don, elles appartiennent à une ou plusieurs personnes et relèvent du domaine privé.

Les terres collectives ou «Jmouâ» ou (aradi al joumou) appartiennent à la collectivité ethnique
Les terres Jmouâ représentent plus de 12 millions d' hectares. C’est la plus forte concentration foncière dont dispose le pays. Elles ont un statut particulier. L’origine des Jmouâ remonte à l’époque d’avant l’islam. Le régime des Jmouâ est à l’origine de la propriété privée au Maroc. A l’origine, la terre appartenait à une seule famille. Mais l’exploitation se fait de manière collective, impliquant ainsi toute la tribu. L’évolution historique s’est faite au détriment de la famille et la propriété de la terre est revenue finalement et définitivement à la tribu. Ces terres sont dédiées à la collectivité pour en tirer profit à travers une activité agricole ou par la location via les mandataires sous tutelle du ministère de l’Intérieur. L'histoire de ces terres « ethniques» remonte au dahir du 27 avril 1919 décrété pour régir les terres collectives (aradi al joumou). Ce dahir avait rendu ces terrains inaliénables, insaisissables et imprescriptibles grâce à une protection juridique effective par un statut foncier.



Les terres guich, du nom arabe Aljaïch (armée),


Ce sont des terres qui appartenaient au Makhzen dont il a concédé l’exploitation à des tribus guerrières. Les sultans d’avant le protectorat n’avaient pas d’armée au sens moderne du terme. Ils disposaient de troupes régulières de faible effectif. Au moment d’une guerre de grande envergure, ou d’une portée politique très importante, les sultans faisaient appel à des tribus alliées. Celles-ci participaient à la guerre en contrepartie d’une rémunération en nature. Les guerriers disposaient de terres agricoles pour l’exploitation uniquement. La particularité de ces terres est qu’elles ne peuvent être vendues à une personne ou à une société privée. En revanche, la transmission de l’exploitation par voix héréditaire est possible. Ce qui explique que les exploitants de père en fils ne disposent pas d’actes d’immatriculation, des documents nécessaires pour la vente d’un bien foncier ou immobilier. C’est ce que dit la loi. Dans la réalité, les choses se passent autrement. Des terres guich sont vendues par actes adoulaires. La tendance est forte dans les régions agricole rattrapées par le tracé urbain.


Les terres «Habous»,
Ce sont des terr
es léguées par une personne à une institution religieuse. Le régime des habous est strictement religieux. Il repose sur le principe de la donation. Une personne destine une partie de son patrimoine à financer ou à servir une cause de solidarité. Cela peut être une terre, un immeuble ou une machine, le bien en lui-même ne compte pas, c’est la qualité qui lui donne le qualificatif de bien habous. Le mot Habous vient de l’acte légal qui met le bien à la disposition de l’action pieuse.
Le habous public est constitué des terres qui ont été transmises à l’autorité en charge de la solidarité religieuse (ministère des Affaires islamiques actuellement) en guise de solidarité.
Il peut s'agir d'une terre pour la construction d’une mosquée ou d’un orphelinat ou des revenus d’un commerce destinés au financement d’une mosquée…Ces terres ne peuvent être vendues pour des raisons commerciales. Dans l’esprit de la tutelle, il y a toujours le souhait de coller au testament du légataire.



En revanche, le habous privé est une affaire compliquée. Il s’agit en fait de la transmission de patrimoine qui déroge à la règle de l’héritage, mais qui demeure légale du point de vue religieux. Par exemple, une personne peut transmettre une terre à son petit fils. Dans la moudawana, c’est le fils ou la fille qui hérite. Pour sauter un degré de la succession, la personne met le bien sous la tutelle des habous pour que ce dernier le transmette à son héritier testamentaire. Dans cette logique, le tuteur ne peut vendre la terre, ni même intervenir dans son exploitation. Son rôle est la sauvegarde du bien et l’exécution du testament.


Les Domaines de l’Etat :
Les Domaines de l’Etat constituent des terres à v
ocation agricole dont la propriété revient à l’Etat. La tutelle en est assurée par les Services des domaines ou d’autres organismes d’Etat comme la Sodea et la Sogeta… Les domaines de l’état disposent de réserves foncières colossales.Cette entité gère le foncier qui appartient à l’état. Les terrains sur lesquels sont construits des écoles,
,des hôpitaux, les locaux administratifs, les gares de chemins de fer, les stades de foot,


etc … viennent de la réserve des domaines de l’état. Depuis l’indépendance, l’état a récupéré les terrains des colons, puis au début des années 70, les domaines ont repris les terres des étrangers résidant au Maroc.

A Ain défali, il faut signaler comme domaines de l'état : l’ancienne gare de chemins de fer, Douar Lakdim, la caidat, les écoles, le collège, le lycée, etc ……..

La crise financière mondiale sera pire en 2009.


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Son impact sur l’économie marocaine.


2008 sera une année noire pour l’économie internationale, plusieurs symboles du capitalisme tout azimut promulgué par les états unies qu’on croyait intouchable ont fait faillite ou sont en grande difficulté, obligeant les régulateurs à prendre des décisions qui contredisent leurs propres théories économiques, à savoir l’intervention de l’état dans l’économie de marché en nationalisant les banques en difficulté.
La mondialisation ainsi que le grand progrès informatique de ces dix dernières années y sont pour quelque chose aussi, mais c’est sans doute le laxisme politique de la FED et de la BCE qui a eu le plus d’effet sur l’actuelle panorama des finances internationales, permettant à quelques banquiers bandits de jouer malhonnêtement avec les fonds de leurs victimes, souvent leurs propres employeurs. Tout ceci a entraîné l’économie mondiale dans une spirale de méfiance et prudence de tout ce qui bouge, fermant ainsi le robinet du crédit facile et rapide d’on s’était habitué les grandes mais aussi et surtout petites entreprises ainsi que les familles, faute de fonds, ces entreprises ne peuvent plus produire comme avant, ce qui les obligent a réduire leurs prévision de croissance, cette baisse de productivité entraîne malheureusement une augmentation du chômage, les deux principaux secteurs affectés en premier lieu sont le BTP- immobilier et l’industrie, le premier est connu comme étant un secteur très (nerveux) pour la main d’œuvre puisqu’il en absorbe beaucoup quand la courbe de croissance est ascendante mais aussi il s’en sépare facilement quand cette même courbe est descendante, le deuxième est un secteur (rigide) puisqu’il absorbe très peu de mains d’œuvres lors de sa phase ascendante et se débarrasse facilement de beaucoup plus qu’il n’en absorbe lors de sa récession. La réduction du financement aux ménages provoque un effet plus psychologique qu’autre chose, mise a part la réduction d’une partie du pouvoir d’achat des familles, la peur que provoque cette situation pousse les gens a penser deux fois avant de consommer, malgré la baisse continue des prix…c’est la fameuse déflation.



Au Maroc, l’économie c’est plutôt bien comportée pendant toute l’année 2008, le grand contrôle qu’exerce Bank Al Maghrib sur le Dirham limite la fuite des capitaux à l’étranger, quant au système bancaire nationale, son archaïsme le sauve des turbulences internationales, mais le grand problème que devra affronter notre économie c’est la baisse plus que probable du secteur de la construction en 2009, les riches étrangers qui maintiennent une bonne partie de notre offre haut standing ne dépensent plus comme avant, les gros investisseurs ne peuvent pas maintenir leurs rythme financiers vu la baisse de leurs facturation et l’incertitude qui règne sur l’évolution de l’économie mondiale en 2009, ce qui impose un panorama assez délicat pour le secteur dans le court terme. Le timing est très important pour les cycles économiques, notamment pour un pays comme le Maroc, les effets de la crise mondiale tarderont a se percevoir, l’onde expansive se déplace lentement mais sûrement, elle commence a se faire sentir a travers la réduction du transfert d’argent depuis l’étranger qui est en nette baisse dû essentiellement à l’augmentation du chômage au sein des immigrés marocains en Europe qui travaillent principalement dans le BTP et l’industrie, la baisse des recettes en devise augmentera considérablement le déficit commerciale et privera un bon nombres de familles d’une source de revenu très importante, ce qui implique qu’une grande partie des ménages marocains subsiste indirectement grâce a l’activité économique internationale, voici la première faille, la deuxième faille est aussi dangereuse que la première, l’essor économique du Maroc des 4 dernières années y est pour quelques chose, l’immobilier, plus précisément celui dédié aux étrangers, des projets de haut standing qui nécessitent plusieurs millions de dirhams d’investissement, si ces étrangers se retirent, les promoteurs trouveront beaucoup de difficultés à combler ce vide. Les autres secteurs de l’économie se verront aussi affectés, principalement à cause de la baisse de la consommation, cette baisse peut toujours être freinée grâce à la stimulation de cette demande à travers une réduction d’impôts, augmentation des investissements publics… 2009 sera donc une année pleine de défis pour l’économie marocaine.

Le tourisme marocain est en bonne santé.


L’industrie du tourisme marocain est en bonne santé, en dépit de la crise économique mondiale.

Le secteur du tourisme Maroc est la principale source de revenu en devises étrangères et principal employeur de main-d’oeuvre après l’agriculture et l’industrie textile.

Il est également la principale attraction pour les investissements étrangers, avec un haut-profil de l’immobilier et le tourisme avec des projets financés par des investisseurs arabes du Golfe.


La dépression nerveuse, maladie de ce siècle.


Maladie de notre siècle en raison des nombreux stress et contraintes internes provoquées par diverses agressions que nous subissons.
Cette dépression doit être traitée le plus rapidement possible pour éviter l'installation d'un état dont il sera difficile de "sortir".


La dépression nerveuse est une véritable maladie pour laquelle il existe des médicaments efficaces. Associés à un soutien psychologique régulier, ils permettent généralement d'obtenir la guérison. Etre de mauvaise humeur, " broyer du noir ", " avoir le cafard ", être sombre ou découragé, c'est arrivé à chacun d'entre nous. Les occasions ne manquent pas dans le monde moderne. Le plus souvent, il ne s'agit que de troubles transitoires aisément surmontés. Mais chez certaines personnes, l'altération de l'humeur est plus profonde. L'élan vital apparaît comme brisé. La dépression nerveuse s'installe avec son cortège de tristesse, de désarroi, de perte de confiance en soi, d'insomnie... Les troubles dépressifs sont à l'origine de nombreux conflits familiaux et d'arrêts de travail prolongés. Bien souvent, les personnes atteintes s'auto-dévaluent et deviennent incapables d'assumer leurs responsabilités professionnelles.


Comment survient la dépression ? Certaines dépressions dépendent plus particulièrement de facteurs liés à la personnalité. D'autres surgissent à la suite d'événements extérieurs décès d'un proche parent, mésentente conjugale ou surmenage professionnel. D'autres enfin constituent une réaction secondaire à diverses maladies. Quoi qu'il en soit, l'état dépressif peut être caractérisé par un ensemble de symptômes constituant le "syndrome dépressif ".

La fatigue et l'inhibition
La capacité de mobilisation intellectuelle et motrice diminue. Sur le plan physique, les gestes sont rares, lents, la voix monocorde, le visage figé, la silhouette volontiers affaissée. Tous ces signes traduisent une sensation de lassitude extrême. Cet état de grande fatigue (ou asthénie) quasi permanent dont les malades se plaignent est bien différent de la fatigue normale effacée par le repos. Sur le plan intellectuel, on note un ralentissement psychique (concentration, vigilance, mémoire et jugement en baisse).

Les troubles du caractère.
Ils sont avant tout perçus par l'entourage. Ils se manifestent par une impulsivité et une irritabilité inhabituelles. La personne déprimée devient intolérante et supporte mal les petits tracas de la vie quotidienne qui provoquent des colères disproportionnées.

L'anxiété
Crainte de l'avenir, sentiment d'abandon se traduisent fréquemment sur le plan physique par des palpitations, des vertiges, des bouffées de chaleur... L'anxiété est toujours présente à un moment ou à un autre chez le déprimé.


Les troubles physiques
Principal signe : l'insomnie. On note des difficultés d'endormissement ou encore une " insomnie du petit matin "(réveil vers 4 heures, crise d'angoisse). Le sujet fatigué et insomniaque souffre souvent de troubles de l'appétit, pouvant aller jusqu'à l'anorexie avec perte de poids. On observe plus rarement une boulimie avec une prise de poids, accentuant alors "la déprime ", notamment chez la femme. D'autres symptômes peuvent apparaître : troubles de la libido, problèmes digestifs (constipation, maux d'estomac...) céphalées, douleurs dorsales...

Les troubles du caractère
Ils sont avant tout perçus par l'entourage. Ils se manifestent par une impulsivité et une irritabilité inhabituelles. La personne déprimée devient intolérante et supporte mal les petits tracas de la vie quotidienne qui provoquent des colères disproportionnées.

La fatigue et l'inhibition.
La capacité de mobilisation intellectuelle et motrice diminue. Sur le plan physique, les gestes sont rares, lents, la voix monocorde, le visage figé, la silhouette volontiers affaissée. Tous ces signes traduisent une sensation de lassitude extrême. Cet état de grande fatigue (ou asthénie) quasi permanent dont les malades se plaignent est bien différent de la fatigue normale effacée par le repos. Sur le plan intellectuel, on note un ralentissement psychique (concentration, vigilance, mémoire et jugement en baisse).

Des traitements efficaces
La dépression exige une prise en charge médicale. Elle engendre non seulement des conséquences graves dans la vie familiale et professionnelle, mais aussi une souffrance intense qui peut durer des mois, voire des années, si l'on ne fait rien.

A chacun sa dépression.
La dépression se manifeste différemment selon l'âge et le sexe. Certaines périodes de la vie sont particulièrement exposées.

La dépression de l'adolescent.
Période de transition, l'adolescence peut affecter profondément certaines personnalités : impression de ne pas être à la hauteur, refus de son corps, angoisse devant les premières difficultés scolaires... La crise s'estompe en général avec le passage progressif à l'âge adulte. Mais elle peut évoluer vers une véritable dépression avec changement du comportement, agressivité, anxiété, tendances suicidaires à prendre particulièrement au sérieux.

La dépression de la femme
Les femmes connaissent dans la vie des périodes de plus grande vulnérabilité. Après l'accouchement, le retour à la maison est un moment difficile malgré la naissance de l'enfant. L'humeur de la femme devenue mère peut se trouver altérée : c'est le "post-partum blues ". Elle ressent une impression d'incompétence quant aux soins à donner à l'enfant. La situation s'améliore en général au bout de quelques jours. Parfois, elle se prolonge (fatigue tenace, irritabilité, profond sentiment d'incompréhension). Un état dépressif est aussi constaté chez les femmes ménopausées, généré par l'angoisse du nouveau cap à franchir accompagné de la perte d'une certaine image de soi et d'importantes modifications hormonales.

Les antidépresseurs.
Principaux médicaments utilisés. A ne pas confondre avec les tranquillisants qui apaisent l'anxiété sans avoir d'effet sur la dépression proprement dite, ni avec les somnifères qui endorment sans assurer un bon sommeil chez le déprimé. En revanche, ils peuvent être associés à un antidépresseur, surtout en début de traitement. La dose efficace varie selon l'individu. L'effet du traitement par antidépresseur est toujours retardé. Un délai de deux semaines environ est nécessaire. Le manque d'appétit ou l'insomnie peuvent parfois être corrigés plus tôt. Le traitement antidépresseur doit être poursuivi pendant quelques mois. Les doses sont progressivement diminuées par le médecin. On évite ainsi les rechutes. Le traitement doit être compatible avec une vie normale. Mais comme la plupart des médicaments, les antidépresseurs peuvent avoir des effets indésirables et variables selon les individus, généralement constatés très tôt. En cas de problème, le médecin peut prescrire une adaptation des doses ou un nouveau médicament.

La psychothérapie
Complément du traitement médicamenteux, elle doit prendre en compte la nature de la dépression, les antécédents personnels et familiaux du déprimé, son environnement socioculturel, ainsi que les conditions qui ont provoqué la dépression. Des entretiens réguliers, une écoute bienveillante et des recommandations permettent d'affronter les situations difficiles.

L'entourage
Le déprimé a un besoin excessif des autres. L'entourage familial, mais aussi professionnel, doit être persuadé que la dépression est une maladie temporaire et non une faillite de la volonté, sous peine de renforcer le sentiment d'incapacité du déprimé et d'accentuer la vision négative qu'il a de lui-même. A l'entourage de signaler au médecin les modifications de comportement, les discours suicidaires. A lui aussi de s'assurer d'un suivi correct du traitement, de noter l'apparition d'effets secondaires ou des premiers signes de l'efficacité du traitement.

Les conseils pratiques

  • Consulter un médecin en cas d'alerte : troubles du sommeil, fatigue anormale, irritabilité, modifications du comportement alimentaire...
  • Respecter scrupuleusement la prescription des médicaments antidépresseurs : doses, horaires de prise, durée du traitement.
  • Respecter un certain délai pour juger des effets bénéfiques du traitement. Ne pas conclure trop vite à un échec.
  • Suivre le traitement plusieurs mois pour éviter les risques de rechute.
  • Éviter les boissons alcooliques pendant le traitement.
  • Signaler au médecin l'apparition d'éventuels effets secondaires, incompatibles avec une vie normale.