Découvrez ces photos de l’Algérie trés ancienne, pendant la période coloniale. Ces photos ont été prises dans plusieurs wilayas d’Algérie.
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Deux funambules franchissent les chutes Victoria, hautes de 157 mètres.
Les chutes Victoria se situent à la frontière entre le Zimbabwe et la Zambie. C’est le plus grand rideau d’eau de la planète, plus d’un kilomètre et demi de long sur 157 mètres de haut.
L'allemand Lukas Irmler, 26 ans, et l'Autrichien Reinhard Kleindl, 34 ans, sont les premiers à avoir réussi un tel exploit.
L'un d'eux est tombé à plusieurs reprises.
Ils ont franchi ces chutes vertigineuses, audibles à plus de 40 km, et visibles à plus de 20 km en raison de leur largeur surprenante d'environ 2 km et aux arc-en-ciels créés par la brume. relève Et comme le montrent les images, les deux hommes ont avancé sur leur corde au milieu d'un épais nuage.
Lors de la traversée, qui a demandé deux ans de préparation, Reinhard Kleindl est tombé à plusieurs reprises mais il était heureusement équipé d'un harnais de sécurité, tout comme son compagnon. De son côté, Lukas Irmler n'a pas faibli et a même pris le temps de faire une figure d'équilibre.
25E ANNIVERSAIRE DE LA CHUTE DU MUR DE BERLIN
Les Berlinois ont célébré cette année le 25e anniversaire de la chute du mur de Berlin le 9 novembre. Érigé par les autorités communistes d’Allemagne de l’Est en 1961, le Mur empêchait les Allemands de l’Est de fuir à l’Ouest, devenant un symbole mondial de l’oppression du régime communiste derrière le Rideau de Fer.
Mikhail Gorbatchev, ancien dirigeant soviétique dont les réformes ont directement influencé la fin du communisme, participe aux festivités à la porte de Brandebourg.
Echappées Belles - La Suède
Stockholm est Située au bord de la mer Baltique, construite sur plusieurs îles, la cité mérite son surnom de Venise du Nord. A vélo, en métro ou en ferry, les endroits célèbres de la capitale se dévoilent : le musée Vasa, le quartier de Soderlmann, les jardins Rosendal ou le musée de plein air de Skansen, consacré au mode de vie de la Suède d'antan. Au sommaire : *Le regard tourné vers la mer* La vocation maritime de la Suède expliquée par sa géographie.
Le Mur de Berlin en 10 films
Il y a 25 ans, le 9 novembre 1989, le mur de Berlin tombait, sans violence et dans la liesse. Un symbole et un événement historique, dont on ne mesurait alors pas encore toute la portée.
L'histoire du mur, la vie dans l'ex-RDA, les relations entre les deux blocs, exacerbées à Berlin, le destin souvent tragique de ceux qui ont tenté de passer à l'Ouest... tout cela a alimenté le cinéma et inspiré de nombreux films. De Hitchcock à Wim Wenders, en passant par Wolfgang Becker.
Voici les films des plus emblématiques :- Good bye, Lenin! (2003), chronique de l'Ostalgie
- De l'autre côté du mur (2014), la suspicion continue.
- Barbara (2012), l'amour à l'Est
"Ca ne se passe pas comme une histoire d'amour à l'Ouest (...) les personnages se parlent comme lors d'un interrogatoire, comme un agent de police face à un accusé, car il y a un incroyable climat de méfiance", évoque le réalisateur, qui a grandit en RFA mais dont les parents ont fui la RDA.
- La vie des autres (2007), sur écoute
- Le tunnel (2001), la grande évasion
- Le rideau déchiré (1966), espionnage et guerre froide
- Berlin Blues (2003), le jour J
Les gens intelligents se couchent tard, sont désordonnés et disent de gros mots
Les gens intelligents se couchent tard, sont désordonnés et disent de gros mots... Cela peut paraître surprenant mais c'est scientifiquement prouvé ; les personnes au QI le plus élevé sont des couche-tard chaotiques et grossiers !
En effet, d'après une étude faite au département de psychologie du Marist College aux Etats-Unis, les personnes qui utilisent le plus de gros mots sont celles ayant un vocabulaire étendu et des capacités oratoires meilleures que les autres. Une autre étude, publiée en 2010, a démontré que les individus qui se couchaient tard, tels que Charles Darwin, Winston Churchill ou encore Elvis Presley, avaient tendance à être plus intelligents que les autres.
Des chercheurs de l'université du Minnesota ont, quant à eux, pu conclure que les personnes qui vivent dans le désordre avaient, en fait, l'esprit absorbé par des activités plus importantes que le rangement. De plus, les psychologues sont convaincus qu'un environnement désordonné est le moyen idéal pour stimuler la créativité des gens. Alors, si vous possédez l'une ou l'ensemble de ces caractéristiques, réjouissez-vous ! Vous êtes seulement plus intelligents que les autres !
En effet, d'après une étude faite au département de psychologie du Marist College aux Etats-Unis, les personnes qui utilisent le plus de gros mots sont celles ayant un vocabulaire étendu et des capacités oratoires meilleures que les autres. Une autre étude, publiée en 2010, a démontré que les individus qui se couchaient tard, tels que Charles Darwin, Winston Churchill ou encore Elvis Presley, avaient tendance à être plus intelligents que les autres.
Des chercheurs de l'université du Minnesota ont, quant à eux, pu conclure que les personnes qui vivent dans le désordre avaient, en fait, l'esprit absorbé par des activités plus importantes que le rangement. De plus, les psychologues sont convaincus qu'un environnement désordonné est le moyen idéal pour stimuler la créativité des gens. Alors, si vous possédez l'une ou l'ensemble de ces caractéristiques, réjouissez-vous ! Vous êtes seulement plus intelligents que les autres !
DISCOURS ROYAL DU 6 NOVEMBRE : LE SAHARA EST ET RESTERA MAROCAIN
Le Roi Mohammed VI a adressé, jeudi 6 novembre 2014, un discours à la Nation à l’occasion du 39 ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte. Ci-après le texte intégral du Discours Royal :
Louange à Dieu, Paix et salut sur le Prophète, Sa Famille et Ses Compagnons. Cher peuple,
Nous commémorons aujourd'hui, avec une immense fierté, le trente-neuvième anniversaire de la Marche Verte. C'est l'occasion de faire le point sur l'évolution qu'ont connue nos provinces du Sud, et les défaillances ayant entravé leur marche, ainsi que les défis, internes et externes, auxquels elles sont confrontées. Ces régions qui sont si chères à Notre cœur ont connu, depuis leur récupération, de nombreuses réalisations dans les domaines les plus variés.
Nous commémorons aujourd'hui, avec une immense fierté, le trente-neuvième anniversaire de la Marche Verte. C'est l'occasion de faire le point sur l'évolution qu'ont connue nos provinces du Sud, et les défaillances ayant entravé leur marche, ainsi que les défis, internes et externes, auxquels elles sont confrontées. Ces régions qui sont si chères à Notre cœur ont connu, depuis leur récupération, de nombreuses réalisations dans les domaines les plus variés.
Cependant, les chantiers que nous allons engager, avec l'aide de Dieu, l'année prochaine, devraient être déterminants pour l'avenir de la région, car il s'agit de la mise en œuvre de la régionalisation avancée et du modèle de développement de nos Provinces du Sud.
Mais la régionalisation à laquelle nous aspirons ne se réduit pas à des textes juridiques et au transfert, du centre vers les régions, des ressources matérielles et humaines. Nous voulons plutôt qu'elle soit fondée sur le patriotisme sincère impliquant un attachement sans faille à l'intégrité territoriale de notre pays.
Nous voulons des zones et des régions solidaires, complémentaires, qui s'entraident et se soutiennent mutuellement.
Les Marocains, c'est un brassage civilisationnel authentique entre toutes les composantes constitutives de l'identité marocaine. Pour Nous, Ils sont tous égaux, sans distinction entre le "Jebli" et le Rifain, entre le Sahraoui et le Soussi etc
Par conséquent, les recherches académiques sur les composantes de notre identité sont utiles pour la consolidation de notre unité nationale. Quant au débat fondé sur le sectarisme et tendant à semer la discorde, il est puéril et sans consistance.
Celui qui prétend ne pas appartenir à ce creuset est dans le tort, et quiconque tenterait de démontrer le contraire risquerait de s'y perdre.
La régionalisation que Nous appelons de Nos vœux a donc vocation à valoriser cette richesse et cette diversité humaine et naturelle. Elle est de nature à conforter ce brassage, cette solidarité et cette complémentarité entre les enfants de la Patrie unie et entre toutes ces régions.
Par conséquent, le Maroc uni des régions n'induit aucunement un quelconque sectarisme tribal. Sa diversité ne saurait être un facteur de division et de sécession, laquelle est tout simplement interdite, tant par l'ancienne Constitution du Royaume que par la nouvelle.
Mais la régionalisation à laquelle nous aspirons ne se réduit pas à des textes juridiques et au transfert, du centre vers les régions, des ressources matérielles et humaines. Nous voulons plutôt qu'elle soit fondée sur le patriotisme sincère impliquant un attachement sans faille à l'intégrité territoriale de notre pays.
Nous voulons des zones et des régions solidaires, complémentaires, qui s'entraident et se soutiennent mutuellement.
Les Marocains, c'est un brassage civilisationnel authentique entre toutes les composantes constitutives de l'identité marocaine. Pour Nous, Ils sont tous égaux, sans distinction entre le "Jebli" et le Rifain, entre le Sahraoui et le Soussi etc
Par conséquent, les recherches académiques sur les composantes de notre identité sont utiles pour la consolidation de notre unité nationale. Quant au débat fondé sur le sectarisme et tendant à semer la discorde, il est puéril et sans consistance.
Celui qui prétend ne pas appartenir à ce creuset est dans le tort, et quiconque tenterait de démontrer le contraire risquerait de s'y perdre.
La régionalisation que Nous appelons de Nos vœux a donc vocation à valoriser cette richesse et cette diversité humaine et naturelle. Elle est de nature à conforter ce brassage, cette solidarité et cette complémentarité entre les enfants de la Patrie unie et entre toutes ces régions.
Par conséquent, le Maroc uni des régions n'induit aucunement un quelconque sectarisme tribal. Sa diversité ne saurait être un facteur de division et de sécession, laquelle est tout simplement interdite, tant par l'ancienne Constitution du Royaume que par la nouvelle.
Le Sahara est une question d'existence et non une question de frontières
Cher peuple,
Il s'est écoulé quarante années de sacrifices, pour recouvrer la terre, libérer l'homme, redonner sa dignité au citoyen marocain au Sahara, gagner son cœur et renforcer son attachement à sa Patrie.
Nous avons une pensée émue et reconnaissante pour tous ceux qui ont donné leur vie à la défense du Sahara. Il y a des mères et des pères, de toutes les régions du Maroc, qui ont perdu leurs enfants au Sahara.
Il y a aussi des veuves qui ont supporté seules les fardeaux de la vie, ainsi que des orphelins qui, pour le Sahara, ont été privés de l'affection paternelle, et des jeunes qui, pour le Sahara, ont perdu leur liberté et vécu en détention pendant de longues années.
Car l'affaire du Sahara n'est pas la cause des sahraouis uniquement. Le Sahara est l'affaire de tous les Marocains. Et, comme je l'ai dit dans un Discours précédent : le Sahara est une question d'existence et non une question de frontières.
Le Maroc restera dans son Sahara, et le Sahara demeurera dans son Maroc jusqu'à la fin des temps. Outre le don de soi, les Marocains ont consenti d'autres formes de sacrifices matériels et moraux, n'hésitant pas à partager leurs ressources avec leurs frères du Sud.
Cher peuple,
Il s'est écoulé quarante années de sacrifices, pour recouvrer la terre, libérer l'homme, redonner sa dignité au citoyen marocain au Sahara, gagner son cœur et renforcer son attachement à sa Patrie.
Nous avons une pensée émue et reconnaissante pour tous ceux qui ont donné leur vie à la défense du Sahara. Il y a des mères et des pères, de toutes les régions du Maroc, qui ont perdu leurs enfants au Sahara.
Il y a aussi des veuves qui ont supporté seules les fardeaux de la vie, ainsi que des orphelins qui, pour le Sahara, ont été privés de l'affection paternelle, et des jeunes qui, pour le Sahara, ont perdu leur liberté et vécu en détention pendant de longues années.
Car l'affaire du Sahara n'est pas la cause des sahraouis uniquement. Le Sahara est l'affaire de tous les Marocains. Et, comme je l'ai dit dans un Discours précédent : le Sahara est une question d'existence et non une question de frontières.
Le Maroc restera dans son Sahara, et le Sahara demeurera dans son Maroc jusqu'à la fin des temps. Outre le don de soi, les Marocains ont consenti d'autres formes de sacrifices matériels et moraux, n'hésitant pas à partager leurs ressources avec leurs frères du Sud.
Assez de mystification: pour chaque dirham de recette au Sahara, le Maroc en investit sept
Chacun sait dans quel état se trouvait le Sahara avant 1975. A ceux qui ignorent ou feignent d'ignorer la vérité, je livre ces quelques données :
Depuis la récupération de notre Sahara, pour chaque dirham des recettes de la région, le Maroc investit 7 dirhams dans son Sahara, dans le cadre de la solidarité entre ses régions et entre les enfants de la Patrie unie.
Quant aux indicateurs de développement humain dans la région, ils étaient, en 1975, inférieurs de 6 % par rapport aux régions du Nord du Maroc, et de 51 % par rapport à la moyenne nationale en Espagne.
Aujourd'hui, ces indicateurs dans les Provinces du Sud dépassent de loin la moyenne des autres régions du Royaume. Voilà pourquoi je dis, et en toute responsabilité: Assez de mystification sur une prétendue exploitation par le Maroc des richesses de la région!
Il est un fait que ce que produit le Sahara ne suffit pas à satisfaire les besoins de base de ses populations. Et je le dis en toute franchise: Les Marocains ont supporté les coûts de développement des Provinces du Sud. Ils ont donné de leurs poches, et prélevé sur les moyens de subsistance de leurs enfants, pour que leurs frères du Sud puissent vivre dignement.
Chacun sait également que le Maroc tient à ce que les habitants de la région puissent se prévaloir de ses richesses, dans le respect de l'égalité des chances et de la justice sociale.
Opportunistes, économie de rente et privilèges indus
Chacun sait dans quel état se trouvait le Sahara avant 1975. A ceux qui ignorent ou feignent d'ignorer la vérité, je livre ces quelques données :
Depuis la récupération de notre Sahara, pour chaque dirham des recettes de la région, le Maroc investit 7 dirhams dans son Sahara, dans le cadre de la solidarité entre ses régions et entre les enfants de la Patrie unie.
Quant aux indicateurs de développement humain dans la région, ils étaient, en 1975, inférieurs de 6 % par rapport aux régions du Nord du Maroc, et de 51 % par rapport à la moyenne nationale en Espagne.
Aujourd'hui, ces indicateurs dans les Provinces du Sud dépassent de loin la moyenne des autres régions du Royaume. Voilà pourquoi je dis, et en toute responsabilité: Assez de mystification sur une prétendue exploitation par le Maroc des richesses de la région!
Il est un fait que ce que produit le Sahara ne suffit pas à satisfaire les besoins de base de ses populations. Et je le dis en toute franchise: Les Marocains ont supporté les coûts de développement des Provinces du Sud. Ils ont donné de leurs poches, et prélevé sur les moyens de subsistance de leurs enfants, pour que leurs frères du Sud puissent vivre dignement.
Chacun sait également que le Maroc tient à ce que les habitants de la région puissent se prévaloir de ses richesses, dans le respect de l'égalité des chances et de la justice sociale.
Opportunistes, économie de rente et privilèges indus
Certes, le mode de gestion au Sahara a connu des dysfonctionnements qui en ont fait au fil des ans un terrain propice à l'économie de rente et des privilèges indus.
Cet état de fait a conduit au mécontentement de certains, et suscité un sentiment croissant d'injustice et d'exclusion parmi certaines catégories de citoyens. Nous savons très bien qu'il y a ceux qui servent la Patrie avec dévouement et sincérité, et ceux qui, en revanche, veulent mettre la Patrie au service de leurs intérêts. Ceux-là ont fait de l'extorsion une doctrine immuable. Ils ont érigé la rente et les privilèges en droits imprescriptibles, faisant de la cause nationale un fonds de commerce instrumentalisé au service de leurs intérêts propres.
Nous savons également que certains mettent un pied dans la Patrie tant qu'ils profitent de ses richesses, et l'autre pied chez ses ennemis, s'ils n'en ont pas tiré parti.
Ici je dis : Assez de la politique de rente et de privilèges ! Assez de la mercantilisation de la patrie!
Pour autant, il ne faut pas dramatiser non plus. Car ces opportunistes restent malgré tout une minorité, qui n'a pas sa place parmi les Marocains, pas plus qu'elle n'a d'impact sur l'attachement des sahraouis à leur Patrie.
Pour cette raison, et par souci d'équité à l'égard des fils du Sahara et de la majorité silencieuse qui croit, elle, à l'unité de la Patrie, Nous avons appelé à une révision radicale du mode de gouvernance dans nos Provinces du Sud. Et c'est dans ce cadre que s'inscrit Notre décision de mettre en œuvre la régionalisation avancée et le modèle de développement de nos Provinces du Sud.
Nous entendons ainsi opérer une rupture avec le mode de gouvernance précédant, et permettre aux fils de la région de participer à la gestion de leurs affaires locales, dans un cadre de transparence, de responsabilité et d'égalité des chances.
Dans cette perspective, Nous appelons à l'ouverture d'un dialogue national franc et d'un débat responsable et sérieux sur les différentes idées et conceptions envisageables, en vue d'élaborer des réponses claires à toutes les questions et les préoccupations des populations de la région, et ce, dans le cadre de l'unité nationale et de l'intégrité territoriale du pays. Nous engageons également le secteur privé à s'impliquer davantage dans le développement des provinces du Sud.
Garantir la sécurité dans le cadre de l'Etat de droit
Cher peuple,
Notre attachement à la création des conditions d'une vie digne pour nos citoyens, n'a d'égal que Notre volonté de garantir l'ordre public et la sécurité des citoyens dans le cadre de l'Etat de droit. C'est pourquoi le Maroc refuse tous les agissements visant à porter atteinte à sa sécurité et sa stabilité. Il entend s'y opposer en toute responsabilité et avec toute la fermeté requise, dans le cadre de la loi et sous l'autorité de la justice.
Depuis quand l'intimidation des citoyens et la dégradation des biens qu'ils ont acquis par leur labeur et à la sueur de leurs fronts, figurent-elles parmi les droits de l'Homme ?
Depuis quand les troubles à l'ordre public et la destruction des biens publics relèvent-ils de l'exercice des droits et des libertés ?
En effet, Nous avions déjà exprimé, dans le Discours de la Marche Verte de 2009, Notre refus catégorique de ces agissements et avons alerté que "ou on est patriote ou on est traitre", et qu'"il n'y a pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison".
Par ailleurs, il n'y a pas de degrés en patriotisme ou en trahison. Car, soit on est patriote, soit on est traitre.
Il est vrai que la Patrie est clémente et miséricordieuse, et elle le restera, mais une seule fois et pour celui qui se repent et revient à la raison. Quant à celui qui persiste à trahir la Patrie, toutes les législations nationales et internationales considèrent que l'intelligence avec l'ennemi relève de la haute trahison.
Nous savons que l'erreur est humaine, mais la trahison est impardonnable. Et le Maroc ne sera jamais une fabrique pour les "martyrs de la trahison".
Les vrais martyrs, ce sont ceux qui ont donné leur vie pour la liberté et l'indépendance de la Patrie, et ceux qui ont consenti au martyr pour en défendre la souveraineté et l'intégrité.
C'est pourquoi Je dis : Halte aux surenchères sur le Maroc, et halte à l'instrumentalisation de l'espace des droits et des libertés garantis par le pays pour comploter contre lui.
Le Maroc dispose de ses instruments et de ses institutions propres, dont le sérieux et la crédibilité sont reconnus internationalement, pour prendre à bras le corps toutes les questions liées aux droits de l'Homme.
De plus, le Maroc est le seul pays de la région qui collabore avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l'Homme des Nations unies.
Il est également disposé à s'ouvrir davantage sur les différentes instances et les divers organismes internationaux des droits de l'Homme, qui font preuve d'impartialité et d'objectivité dans le traitement des questions le concernant.
Le Maroc refuse la politique de minimisation de ses initiatives et de dramatisation des événements qui se produisent dans les Provinces du Sud, en échange du silence et de la compromission par rapport à ce qui se passe à Tindouf et dans les pays voisins.
J'ai déja négocié avec des Marocains de Tindouf, mais l'initiative d'autonomie est le maximum que le Maroc peut offrir
Depuis quand l'intimidation des citoyens et la dégradation des biens qu'ils ont acquis par leur labeur et à la sueur de leurs fronts, figurent-elles parmi les droits de l'Homme ?
Depuis quand les troubles à l'ordre public et la destruction des biens publics relèvent-ils de l'exercice des droits et des libertés ?
En effet, Nous avions déjà exprimé, dans le Discours de la Marche Verte de 2009, Notre refus catégorique de ces agissements et avons alerté que "ou on est patriote ou on est traitre", et qu'"il n'y a pas de juste milieu entre le patriotisme et la trahison".
Par ailleurs, il n'y a pas de degrés en patriotisme ou en trahison. Car, soit on est patriote, soit on est traitre.
Il est vrai que la Patrie est clémente et miséricordieuse, et elle le restera, mais une seule fois et pour celui qui se repent et revient à la raison. Quant à celui qui persiste à trahir la Patrie, toutes les législations nationales et internationales considèrent que l'intelligence avec l'ennemi relève de la haute trahison.
Nous savons que l'erreur est humaine, mais la trahison est impardonnable. Et le Maroc ne sera jamais une fabrique pour les "martyrs de la trahison".
Les vrais martyrs, ce sont ceux qui ont donné leur vie pour la liberté et l'indépendance de la Patrie, et ceux qui ont consenti au martyr pour en défendre la souveraineté et l'intégrité.
C'est pourquoi Je dis : Halte aux surenchères sur le Maroc, et halte à l'instrumentalisation de l'espace des droits et des libertés garantis par le pays pour comploter contre lui.
Le Maroc dispose de ses instruments et de ses institutions propres, dont le sérieux et la crédibilité sont reconnus internationalement, pour prendre à bras le corps toutes les questions liées aux droits de l'Homme.
De plus, le Maroc est le seul pays de la région qui collabore avec les procédures spéciales du Conseil des droits de l'Homme des Nations unies.
Il est également disposé à s'ouvrir davantage sur les différentes instances et les divers organismes internationaux des droits de l'Homme, qui font preuve d'impartialité et d'objectivité dans le traitement des questions le concernant.
Le Maroc refuse la politique de minimisation de ses initiatives et de dramatisation des événements qui se produisent dans les Provinces du Sud, en échange du silence et de la compromission par rapport à ce qui se passe à Tindouf et dans les pays voisins.
J'ai déja négocié avec des Marocains de Tindouf, mais l'initiative d'autonomie est le maximum que le Maroc peut offrir
Cher peuple,
Lorsque le Maroc a ouvert la porte à la négociation pour trouver une solution définitive au conflit artificiel suscité autour de son Sahara, ce choix ne portait et ne portera en aucune manière sur sa souveraineté et son intégrité territoriale.
J'ai déjà négocié avec certains Marocains de Tindouf, à l'époque où J'étais Prince Héritier. Je n'ai aucun problème avec cela car Je négociais avec des citoyens marocains, et parce qu'il était question de défendre les droits du Maroc.
Le Maroc n'a aucun complexe pour négocier avec qui que ce soit, aussi bien directement que par le biais de la médiation onusienne. Mais là, il faut insister sur le fait que la souveraineté du Maroc sur l'ensemble de son territoire est immuable, inaliénable et non négociable.
Aussi, le choix fait par le Maroc de coopérer avec toutes les parties, en toute sincérité et bonne foi, ne doit pas être interprété comme une faiblesse ou servir de prétexte pour réclamer plus de concessions.
L'Initiative d'autonomie est le maximum que le Maroc puisse offrir dans le cadre de la négociation pour trouver une solution définitive à ce conflit régional.
En Ma qualité de Garant de l'indépendance et de l'intégrité territoriale du pays, Mon devoir est de définir les concepts et les responsabilités dans le traitement des questions avec les Nations Unies. Il M'incombe aussi d'exprimer le rejet par le Maroc des mystifications et des dérapages que connait cette affaire.
En réaffirmation de la position du Maroc à ce sujet, Je dis :
- Non à la tentative visant à modifier la nature de ce conflit régional en le présentant comme une affaire de décolonisation. En effet, le Maroc dans son Sahara, n'a jamais été une puissance d'occupation ou une puissance administrante. Il exerce plutôt les attributs de sa souveraineté sur sa terre.
- Non à toute tentative de révision des principes et paramètres de négociation, ainsi qu'à toute autre tentative visant à reconsidérer ou élargir le mandat de la Minurso, y compris la question d'observation des droits de l'Homme.
- Non à la complaisance vis-à-vis de la véritable partie à ce conflit et à son exonération de ses responsabilités.
- Non à la tentative de mettre sur un même pied un Etat-membre au sein des Nations Unies et un mouvement séparatiste, et non à la légitimation de l'état de non-droit qui prévaut à Tindouf.
En effet, la souveraineté du Maroc ne peut être l'otage de conceptions idéologiques et d'orientations stéréotypées de certains fonctionnaires internationaux. Et tout dérapage ou toute mystification hypothèquera l'action menée par les Nations Unies dans cette affaire.
L'ONU et les USA doivent adopter une position claire. Il faut faire assumer à l'Algérie sa responsabilité dans le conflit
En revanche, le Maroc est disposé à collaborer avec toutes les parties pour rechercher une solution qui respecte sa souveraineté, qui permette à chacun de garder l'honneur sauf, et qui contribue à consolider la sécurité et la stabilité dans la région et à réaliser l'intégration maghrébine.
A cet égard, Nous exprimons Notre estime au Secrétaire général des Nations Unies et aux grandes puissances internationales, notamment les Etats-Unis d'Amérique, avec, au premier chef, la Maison Blanche, pour leur contribution positive, pendant les différentes étapes, à la recherche d'une solution à cette question.
Si Nous saluons leur soutien aux efforts déployés par le Maroc et au processus de négociation sur la base de l'Initiative d'autonomie, Nous n'en exigeons pas moins aujourd'hui une position claire sur ce conflit.
Alors qu'ils réaffirment que le Maroc est un modèle en matière de progrès démocratique, un pays actif dans l'action menée pour garantir la sécurité et la stabilité dans la région et un partenaire dans la lutte anti-terroriste, ils abordent avec une certaine ambiguïté la cause de l'intégrité territoriale de notre pays.
Faute de faire assumer sa responsabilité à l'Algérie en tant que principale partie dans ce conflit, il n'y aura pas de solution. Et faute d'une perception responsable de la situation sécuritaire tendue qui sévit dans la région, il n'y aura pas de stabilité.
Pour autant, cela n'implique pas de nuire à l'Algérie, à sa direction ou à son peuple, auquel Nous portons la plus haute estime et le plus grand respect. Nos mots sont pesés et leur sens est clair. Mais, Nous parlons de la réalité et de la vérité que tout le monde connaît.
Cette vérité, chaque fois que les Marocains l'évoquent, le gouvernement, les partis et la presse
marocains sont systématiquement accusés de s'attaquer à l'Algérie.
Si le Maroc n'a ni pétrole, ni gaz, alors que l'autre partie possède un ''billet vert'' dont elle croit qu'il lui ouvre les portes, au mépris du droit et de la légalité, nous avons, en revanche, nos principes et la justesse de notre cause. Mieux encore, nous avons l'affection des Marocains et leur attachement à leur Patrie.
Le Sahara n'est pas le Timor Oriental
Il se leurre celui qui croit que la gestion de l'affaire du Sahara se fera au moyen de rapports techniques orientés ou de recommandations ambiguës s'appuyant sur la tentative de concilier les revendications de toutes les parties.
Il se méprend aussi celui qui tente une comparaison entre le Sahara d'une part, et le Timor oriental ou certains litiges territoriaux en Europe de l'Est, d'autre part. Car chaque affaire a ses spécificités. Le lien entre la population du Sahara et le Maroc ne date pas d'hier, mais il plonge ses racines dans l'Histoire la plus lointaine.
Cher peuple,
Nous croyons profondément dans la justesse de notre cause et le triomphe du droit et de la légitimité sur les velléités du séparatisme. C'est avec la plus grande espérance et beaucoup d'optimisme que Nous aspirons à voir les enfants du Sahara réunis dans leur Patrie.
Nous sommes persuadé de leur adhésion à de nouvelles marches dédiées au développement et à la création des conditions d'une vie libre et digne, au profit de tous les citoyens, où qu'ils se trouvent.
C'est le meilleur gage de fidélité à la mémoire de l'artisan de la Marche verte, Notre Illustre Père, Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu ait son âme, et au souvenir des valeureux martyrs de la Patrie.
Par ailleurs, Nous rendons hommage à Nos Forces Armées Royales, dans toutes leurs composantes, et aux forces de sécurité pour leur mobilisation constante afin de préserver la sécurité et la stabilité et défendre l'intégrité de la Patrie.
Wassalamou Alaikoum Warahmatoullahi Wabarakatouh".
Les courses de chameaux à Dubai.
L'un des moments forts de la visite
de Dubai est la course de chameaux. Ce sport traditionnel de course de chameaux
est une affaire sérieuse à Dubai. La course de chameaux est un sport hautement
compétitif avec des chameaux de classe supérieure valant des dizaines de
milliers de dirhams. Les visiteurs peuvent regarder les passionnantes courses
depuis la tribune.
Les courses de chameaux sont prévues
seulement pendant les mois hivernaux entre octobre et avril les mercredis,
jeudis et vendredis matin de 7h à 10h.
Les mille et une nuits de Marrakech
Cette enquête sera entièrement consacrée au charme qu'opère la cité ocre sur quelques 2 millions de touristes par an qui viennent passer un weekend prolongé ou des vacances. Un cadre féérique mais qui cache parfois le fossé qui se creuse entre les us et coutumes et l'engouement festif d'une jeunesse dorée et de touristes fortunés. Un engouement qui ne prend pas toujours en considération le caractère conservateur du pays. L'enquête se poursuivra également sur la vitalité et l'essor de Marrakech qui a causé de nombreux dégâts dans la nature avec en particulier la désertification de la Palmeraie où des milliers de palmiers ancestraux ont été déterrés pour être replantés dans les jardins de riches propriétaires. Plus de 2 millions de visiteurs viennent profiter du soleil, des palmiers, du farniente que ce soit dans des palaces ou dans les ruelles de la Médina. Chaque année c'est plus de 6 milliards d'euros que génère cette manne touristique dont profite l'économie marocaine mais aussi les artisans, les commerces et les ambulants de la mythique place Jemaa El Fna. Le reportage se poursuivra par l'interview de Français venus s'y établir comme Marcel, propriétaire d'un restaurant branché où les danseuses du ventre, partagées entre leur désir de liberté et le poids des traditions sont souvent mises au ban de leur famille. En espérant que ce reportage ne sera pas encore une fois un procès mal intentionné sur Marrakech et qu'il montrera, malgré les dérives que le tourisme entraine, une vision de la "perle de l'Atlas" comme destination touristique où le dépaysement est à 3 heures des principales capitales européennes.
Les drogues MP3, vrai danger ?
Ces fichiers musicaux téléchargeables légalement sur le Net promettent de faire ressentir à leurs "consommateurs" des effets semblables à ceux provoqués par le LSD ou la cocaïne.
Un débat au Liban.
Ce stupéfiant légal, apparu aux Etats-Unis en 2010, est pris très au sérieux au Liban. A la suite d'un reportage sur le sujet faisant état de deux cas d'addiction à ces "drogues MP3", le ministre de la Justice Ashraf Rifi vient de demander au procureur de la République de "prendre des mesures pour freiner l'utilisation de ces "e-drugs", rapporte le site libanais The Daily Star.
Polémiques récurentes.
Le sujet revient régulièrement sur la table. "Il y a quatre ans, il y avait eu exactement la même polémique aux Etats-Unis. Les autorités sanitaires s'étaient emparées du sujet pour demander l'interdiction de ces drogues alors qu'on n'a aucune preuve de leurs effets", rappelle le journaliste Arnaud Aubron, auteur de Drogues Store, premier dictionnaire rock, historique et politique des drogues, contacté par Europe 1. A l'époque, en France, la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Midlt) avait considéré qu'"il n'y avait pas d'inquiétude à avoir" sur ces drogues MP3.
Comment ça marche ?
Sur Internet, plusieurs sites, dont I-doser qui se revendique leader sur le marché des e-drugs, propose de télécharger des morceaux, des "doses" portant le nom de vraies drogues ( LSD, ecstasy, cannabis, kétamine, etc.). Le prix du shoot audio varie entre 5 et 150 euros. Les deux fichiers les plus chers, "Gate of Hades" et "Hand of God" proposent au choix, de vous plonger dans vos pires cauchemars ou d'atteindre la béatitude. "En deux clics, on a accès à ces sites. Ce qui pose problème, c'est ce que ces sons MP3 sont marketés comme des drogues", souligne Arnaud Aubron.
Quel effet ça fait ?
Le "consommateur" est ensuite invité à s'allonger dans le noir et à écouter le fichier pendant 15 à 30 minutes. Il plonge alors dans une symphonie de sons saturés, et plane … ou pas. Le journaliste Arnaud Aubron, qui a testé les e-drugs, se souvient uniquement d'un "mal à la tête".
Sur quoi reposent ces sons ?
La "drogue numérique" repose sur un phénomène découvert en 1839 : le battement binaural. Des sons sont envoyés aux oreilles, à une fréquence différente pour chaque oreille. Cette différence de fréquence aurait un effet sur le rythme des ondes cérébrales, provoquant un état de transe ou d’euphorie, bien qu’aucune étude ne l’ait démontré.
La "drogue numérique" repose sur un phénomène découvert en 1839 : le battement binaural. Des sons sont envoyés aux oreilles, à une fréquence différente pour chaque oreille. Cette différence de fréquence aurait un effet sur le rythme des ondes cérébrales, provoquant un état de transe ou d’euphorie, bien qu’aucune étude ne l’ait démontré.
Mais peut-on vraiment parler de drogue ?
Pour la neuropsychologue Brigitte Forgeot, ces shoots musicaux ne peuvent pas être assimilés à des produits stupéfiants."Il ne s'agit pas d'une drogue dans la mesure où il n'y a pas d'accoutumance au produit, ni de besoin d'augmenter des doses", assure à l'AFP cette spécialiste des sons binauraux.
Pour la neuropsychologue Brigitte Forgeot, ces shoots musicaux ne peuvent pas être assimilés à des produits stupéfiants."Il ne s'agit pas d'une drogue dans la mesure où il n'y a pas d'accoutumance au produit, ni de besoin d'augmenter des doses", assure à l'AFP cette spécialiste des sons binauraux.
Ain Chamia et les douars avoisinants, plaques tournantes d’un important trafic de stupéfiants.
Douar
Ain Chamia, situé aux confins de la commune d’Ain Défali, réputé
pour sa qualité de vie tranquille, cache bien des secrets que bien des gens ont
découvert avec étonnement et amusement qu’il s’agit bien d’une plaque tournante
d’un trafic important de drogue, en l’occurrence le tabac beldia, en raison de sa proximité avec
Ouezzane, Sidi Kacem, Jorf Melha, Had kourt, Souk el Arba.
On se doute que
ça n'aurait plu ni à la Brigade de Gendarmerie d’Ain Défali, ni au Président de
la commune, ni aux autorités locales, ni aux habitants d’Ain Chamia amoureux de
leur village.
Fumer nuit à la santé. Tout
le monde le sait. Mais ce que beaucoup ignorent, c’est que les autres produits
du tabac, comme le tabac à priser ou à chiquer et le narguilé, sont tout aussi
nocifs.
Fumer rend
malade. Et la cigarette est désormais interdite en maints endroits pour
protéger la santé des non-fumeurs. Raison pour laquelle de plus en plus d’amateurs de tabac
cherchent des alternatives aux cigarettes. Mais si les produits comme le tabac à priser, à chiquer ou
à sucer n’empestent pas l’atmosphère, ils contiennent quand même autant, voire
même plus de substances toxiques que les cigarettes
Un nuage très rare apparaît dans le ciel d'Australie.
Cette porte ouverte sur les cieux est un
"fallstreak hole", autrement dit un phénomène nuageux bien connu des
scientifiques. C'est un nuage très rare, connu sous le nom de « trou de
Virga » dans le jargon météorologique. Ce nuage est apparu au-dessus de la
ville australienne de Wonthaggi, située au sud-est de Melbourne. Le
phénomène est aussi rare qu’éblouissant à regarder.
Ce type de nuage se forme lorsque l’eau est inférieure à zéro degré Celsius, mais, à cause de l’absence de particules nécessaires à la formation de la glace, elle n’est pas gelée et reste dans un état physique liquide, mais à la frontière du solide. Un effet domino provoque l’évaporation des gouttelettes autour des cristaux de glace lorsque ceux-ci finissent enfin par se constituer. Il en résulte un immense trou, souvent circulaire, au milieu du nuage.
Un funambule marche les yeux bandés sur une corde entre deux gratte-ciel. .
Nik Wallenda, un acrobate américain de 35 ans, a marché sur un câble tendu entre deux gratte-ciels de Chicago (Etats-Unis), à 180 m au dessus du sol. La performance est historique puisque le funambule s'est adjugé deux records du monde en même temps : la traversé du plus haut câble entre deux édifices et le fait d'avoir accompli cet exploit les yeux bandés.
Photo marquante de l'actualité.
Comme chaque année à la même période, des milliers de moutons ont envahi les rues de Madrid. Les bergers célèbrent ainsi la fête annuelle de la transhumance. Une célébration qui commémore une tradition ancestrale pratiquement disparue.
Un oeil sur la planète - Australie : Le pays de la chance ?
Parce qu'elle se trouve aux antipodes, de l'autre côté du globe, l'Australie fait rarement la Une de nos journaux. A tort mais pourquoi parlerait-on de ce pays de 20 millions d'habitants, 0,3 % de la population mondiale ? On dit que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Et l'Australie affiche une santé insolente. 18 ans de croissance ininterrompue, un taux de chômage ridicule, un budget en excédent et une dette publique inexistante. Selon les Nations Unies, l'Australie est dans le trio de tête des pays les plus agréables, avec l'un des niveaux de vie les plus élevés au monde. Les Australiens surnomment même leur pays "the lucky country", le pays de la chance. Chaque année, des dizaines de milliers d'étrangers demandent à s'y installer.
Si l'on ajoute le soleil, le style de vie, et l'éloignement des zones de trouble dans le monde, on les comprend et on a de quoi être jaloux. Mais tout cela n'est-il pas trop beau pour être crédible ? Quels sont les secrets du succès australien ? le revers de la médaille ? L'Australie est-elle vraiment le pays de la chance ? C'est le 24e numéro d'Un œil sur la planète.
Si l'on ajoute le soleil, le style de vie, et l'éloignement des zones de trouble dans le monde, on les comprend et on a de quoi être jaloux. Mais tout cela n'est-il pas trop beau pour être crédible ? Quels sont les secrets du succès australien ? le revers de la médaille ? L'Australie est-elle vraiment le pays de la chance ? C'est le 24e numéro d'Un œil sur la planète.
Bali. Un paradis en danger
Des vacances de rêve à prix doux : l'ile de Bali, la plus visitée des îles indonésiennes, propose du soleil toute l'année, une population particulièrement accueillante, des plages paradisiaques, spots rêvés des surfeurs, et des sites magnifiques... L'ile des Dieux offre de l'exotisme à petit prix, et fascine toujours plus. Bali ressemble à s'y méprendre au paradis ! Mais derrière la carte postale, se cache un deuxième visage. L'ile est prise d'assaut par de riches étrangers qui font construire de luxueuses villas sans respect pour l'environnement. Bali est au bord de l'étouffement : surpopulation, pollution, embouteillages monstres, bétonnage des côtes, pénurie d'eau, destruction des richesses naturelles et culturelles sont les défis auxquelles l'île est aujourd'hui confrontée. Les Balinais sont en train de perdre leurs terres au profit d'hôtels ou de villas mais ils risquent aussi de perdre leur âme. Tiraillée entre modernité et traditions ancestrales, Bali enchaine ses fous, persuadés qu'il s'agit de sorcellerie, et la jeunesse de l'ile perd pied... Le rêve balinais n'est pas extensible, n'en déplaise aux autorités locales, et l'ile risque bien de devenir un enfer si aucune mesure n'est prise...
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...