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Les traditions de mariage les plus insolites à travers le monde

Les mariages sont souvent de grands moments d’émotion. Ces cérémonies qui unissent deux êtres amoureux se célèbrent dans le monde entier. Chaque pays possède ses propres traditions et parfois, elles peuvent s’avérer être surprenantes : recouvrir les mariés de mélasse, tirer à l’arc sur sa future épouse ou encore ne pas utiliser la salle de bains pendant 3 jours sont des pratiques que des millions de jeunes mariés ont dû accomplir !
  • Le noircissement des mariés

Dans les Highlands en Écosse se trouve une coutume de mariage séculaire qui plonge nos futurs mariés dans une situation pour le moins embarassante. Le ‘‘noircissement de la mariée‘‘ est un rituel qui implique de jeter de la mélasse, de la suie et de la farine sur notre couple afin d’éloigner les mauvais esprits. Une pratique salissante qui doit ravir les beaux-parents !
  • Le Charivari 


Eh oui, en France aussi nous avons quelques traditions insolites ! Le Charivari est un cortège dans lequel de nombreux musiciens et passants font du bruit avec toutes sortes d’objets comme des casseroles ou autres ustensiles de cuisine pour célébrer le mariage. Cette pratique était également utilisée autrefois pour forcer des couples à se marier.
  • Les flèches de Cupidon


En Chine, une coutume de la culture Yugur remontant à des millénaires demande au marié de tirer à l’arc trois flèches sur sa future compagne. Heureusement, pour le bon déroulement des événements et la mariée, les flèches n’ont pas de pointe. Si cette cérémonie est faite correctement, l’histoire voudrait qu’ils s’aiment pour toujours.
  • La salle de bains interdite

Voilà sans doute l’une des traditions les plus bizarres. Cette coutume, pratiquée par les tribus de Tidong dans le nord de Bornéo, interdit les jeunes mariés d’utiliser la salle de bains pendant trois jours et trois nuits après leur cérémonie de mariage. Si par malheur l’un deux utilise les toilettes ou la salle de bains, la malchance s’abattra sur eux et leur mariage sera condamné. Des personnes doivent surveiller le couple à tour de rôle afin de vérifier qu’ils ont une quantité juste de ce qu’il faut de nourriture et d’eau pour survivre à l’épreuve.
  • Le vol de chaussures 

Les mariages indiens sont connus pour être parmi les plus beaux et colorés au monde. Dans certaines parties du pays, le marié doit enlever ses chaussures avant d’atteindre l’autel. Pour sa future belle-famille, l’objectif est simple : voler les chaussures et les cacher le mieux possible. La famille de l’époux elle, doit parvenir à protéger les souliers, si elle échoue et que le camp de la mariée parvient à mettre la main dessus, ils pourront exiger une rançon en échange de ses chaussures. Étrange certes, mais surement très drôle à faire lors d’un mariage !
  • Une chanson de mariage salée

Bien que les mariages soient généralement accompagnés par des larmes, les épouses et les filles du peuple Tujia en Chine ne font pas les choses à moitié. Un mois avant le mariage, la mariée doit pleurer pendant 1 heure tous les jours. Dix jours plus tard, la maman se joint l’épreuve, puis dix jours de plus et la grand-mère fait de même. À la fin du mois toutes les femmes dans la famille pleurent à côté de la mariée. Pourquoi ? Eh bien, c’est en fait censé être une expression de joie que les femmes pleurent, le tout formant comme une chanson.
  • Fixer une date

Chez les Daur, une population de Mongolie intérieure, afin de fixer une date de mariage les futurs époux doivent tuer un poussin tout en maintenant le couteau ensemble. Ils vident ensuite le poussin et inspectent son foie. Si le foie semble bon ils sont autorisés à trouver une date. Si non, le processus doit se répéter jusqu’à ce qu’ils trouvent un foie satisfaisant.
  • Mariée à un arbre

En Inde, les femmes nées ‘‘Mangliks‘‘, une combinaison astrologique qui causerait la mort précoce de leur futur époux, doivent d’abord se marier à un arbre ! Une fois cela fait, l’arbre est détruit et la malédiction brisée. Et dire que l’arbre n’était même pas consentant !
  • Une histoire de baleine 

Aux Fidji, les hommes qui voudraient se marier ne doivent pas seulement demander à leur beau-père la main de leur fille. Ils sont tenus également de lui rapporter une dent de baleine… Hormis au marché noir, le seul endroit au monde pour obtenir une dent de baleine se trouve dans la bouche du plus grand mammifère terrestre, qui se trouve également passer la plupart de son temps sous l’eau. Pas facile de se marier aux Fidji !
  • Deux bébés sinon rien

Au Sud-Soudan, les gens de la tribu Neur pensent que le mariage n’est pas complet tant que la femme n’aura pas eu deux enfants. Si elle ne le fait pas, le marié est en mesure de demander le divorce. Mesdames, vous savez ce qu’il vous reste à faire maintenant !
  • Le crachat Massai

Lors d’un mariage Massai au Kenya, il n’est pas rare de voir le père de la mariée bénir sa fille en crachant sur ​​sa tête et sa poitrine avant de quitter le village avec son nouveau mari. Une façon comme une autre de lui dire je t’aime et lui souhaiter tous ses voeux de bonheur sans doute.
  • La fête du baiser

En Suède, à chaque fois que la mariée ou le marié quitte sa table pour utiliser la salle de bains par exemple, l’autre restant se fait embrasser par tous les invités. Si le marié s’absente, tous les hommes présents auront la chance d’embrasser la mariée et vice versa !
Attention à ne pas lever le pied !


En Irlande lorsque la mariée danse, ses pieds doivent rester sur le sol. Les Irlandais croient que si elle ne le fait pas, des fées maléfiques viendront et l’emporteront. La logique ? Les fées maléfiques aiment les belles choses et comme la mariée est belle, les fées ne peuvent se rendre à elle que si elle ne touche pas le sol.
  • Les garçons de paille

Dans les comtés irlandais de Leitrim et Mayo, 9 jeunes hommes sont collectivement désignés comme étant ‘‘les garçons de paille‘‘. À la veille du mariage, ils doivent se rendre à la maison de la mariée afin de danser avec elle. S’il y a d’autres femmes de la maison, ils devront également danser avec elles.

Bonjour les dégâts !


Dans certains pays, les invités apportent aux mariés de nouveaux plats en guise de cadeaux. En Allemagne, les invités font la même chose sauf qu’ils les brisent ! Le bruit aurait tendance à faire fuir les mauvais esprits.
  • Amour bestial

Même si aucun pays dans le monde ne reconnaît officiellement les mariages entre Hommes et animaux, cette pratique est courante dans certains pays comme l’Inde afin de prévenir des mauvais esprits.
  • Assistance maternelle

Certains villages d’Afrique exigent qu’une femme plus âgée accompagnent les jeunes mariés lorsque ces derniers consomment leur mariage afin de ‘‘montrer à la mariée‘‘ comment faire. Il arrive même que ce soit la mère de la propre mariée qui s’en charge. Et vous qui pensiez que vos parents étaient curieux.

Une affaire sérieuse


Au Congo, si vous voulez ruiner le mariage de quelqu’un il vous suffit d’engager un comique. Pris très au sérieux là-bas, la mariée et le marié ne sont pas autorisés à sourire durant toute la cérémonie. Mariage sérieux, mariage heureux ?
  • Un sushi 

Quand un mariage est terminé en Corée, les amis de l’époux enlèvent ses chaussettes, attachent une corde autour de ses chevilles et ses pieds et commencent à les frapper avec un poisson afin de le préparer à sa première nuit d’homme marié. N’essayons pas de comprendre et respectons simplement cette drôle de tradition !
  • La beauté est relative

Les femmes vivant en Mauritanie contrairement à celles que l’on a l’habitude de voir en Occident, se font grossir avant de se marier. Pour cela, elles rejoignent des explorations dans lesquelles elles pourront prendre plusieurs kilos avant d’espérer pouvoir se marier. Les femmes rondes sont jugées ainsi plus désirables. N’ayez donc plus peur d’avoir trop mangé mesdames !
  • La robe blanche

Bien que cela nous semble normal, dans plusieurs pays, avoir une robe de mariée blanche est très étrange. Alors d’où vient cette tradition ? Il est dit que la première à avoir commencé serait la reine Victoria en 1840 lorsqu’elle enfila une robe blanche pour son mariage avec le prince Albert. Cela fut extrêmement controversé à l’époque car la couleur blanche était souvent associée au deuil.

Ces traditions de mariage sont vraiment incroyables, on n’imaginait pas qu’il puisse en exister de si insolites ! On adorerait pouvoir participer à une partie de vol de chaussures comme en Inde ou encore de frapper les pieds du futur marié avec un poisson. Et vous, quelle est la tradition qui vous a le plus surpris ?

Attention à l'usage de l'eau de pluie

L'eau de pluie ne doit plus être utilisée pour laver le linge 
des personnes les plus fragiles.


Qui dit eau, dit boisson. Alors, l'eau de pluie est-elle potable ? On s'en doute, mais la réponse est non, car elle ne respecte pas les normes de qualité du Code de la santé publique sur l'eau potable. De par la présence de pesticides et d'hydrocarbures qu'on y trouve, elle représente un risque sanitaire. En ce qui concerne l'utilisation de l'eau de pluie, il est interdit de la boire, de l'utiliser pour cuisiner ou pour faire la vaisselle, sauf après un traitement rigoureux pouvant la rendre potable, ce qui reste rare et complexe pour un particulier.
Concernant les usages intérieurs, comme les toilettes, le lavage du linge, le lavage des sols ou le ménage de façon générale, l'utilisation d'eau de pluie est autorisée. Toutefois, des équipements spécifiques et un traitement de l'eau sont nécessaires pour éviter toute contamination des réseaux publics ou risques sanitaires.  
Enfin, l'eau de pluie peut être utilisée pour un usage extérieur, et ce, sans contrainte. On peut donc l'utiliser de manière illimitée, que ce soit pour arroser le jardin ou pour nettoyer sa voiture. 

LES INSECTES COMESTIBLES

Tour du monde des entomovores

D'après une estimation de la F.A.O. (l'Organisation des Nations-Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture) en 2010, il existerait déjà une centaine de pays dont les populations consomment des insectes comestibles; ce qui représenterait près de 3 milliard de d'êtres humains. Cette pratique étant surtout concentrée autour des continents Asiatique et Africain.
Il existe une raison simple qui explique cela, les peuples qui vivent dans ces deux continents subissent davantage les conséquences de la pauvreté et les problèmes de sous-alimentation qui en découlent. Ainsi, dans ces deux régions, pas moins de huit cents millions de personnes sont touchées de près ou de loin par la malnutrition, d'où une consommation plus élevée d'insectes par rapport au reste du monde car leur consommation est intéressantes sur deux points essentiel : leur prix accessible et leur teneur élevée en protéines.

L'Afrique et les chenilles

Termites et chenilles sont majoritairement présents dans la nourriture des africains. En Afrique Centrale, les Mandjas sont connus pour leur technique de capture et la consommation de termites, qu'ils mangent lors de cérémonies auxquelles participent l'ensemble de la tribu.

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 A la fin de ce rituel rythmé par les tambours, les femmes dévorent la termite-reine remplie d’œufs. 

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 Celle-ci est supposée leur apporter jeunesse et fécondité.
Sur l'île de la Réunion cette fois, ce sont les larves de guêpes maçonnes qui sont très recherchées pendant l'été austral. Elle sont consommées frites ou en rougail avec des tomates et des épices.
En Zambie cette fois-ci, ce sont les chenilles qui représentent la principale source de protéines de certaines ethnies. Celles-ci sont consommées de novembre à février pendant la saison humide et un véritable échange commercial se met alors en place durant cette période. Les termites font également partie des mets préférés d'autres tribus qui les considèrent comme supérieurs à la viande et au poisson.
Au Burkina Faso maintenant, les chenilles sont également très répandues le long des étales de marchés. Elles sont grillées au-dessus d'une couche de braises et sont dégustées comme des cacahuètes en accompagnement du thé vert. Dans les environs de Johannesburg, en Afrique du Sud, il est même fréquent de trouver à la vente des sacs de chenilles séchées ou préparées en conserve avec de la sauce tomate. Et à Madagascar, les larves d'une guêpe locale sont cuisinées au beurre avec ail et persil.
Comme vous pouvez le voir, sur tout le territoire africain, plus souvent en milieu rural qu'en milieu urbain, manger des insectes est une pratique courante et fait partie des traditions culinaires autant pour leur saveur que pour leurs apports nutritifs ou que pour l'avantage économique que ces populations peuvent en retirer. Il faut également noter que la consommation d'insectes comestibles sur le continent africain n'est pas uniquement liée à la recherche de nourriture protéinée bon marché. Les habitants des pays comme le Zimbabwe ou le Botswana, qui ont pourtant une culture traditionnelle incitant aussi à l'élevage de bétail, sont aussi de grands consommateurs d'insectescomestibles alors que certains d'entre eux sont plus chers que la viande !

L'Asie et les insectes comestibles

Essentiellement répandue dans les pays du sud-est du continent, l'entomophagie est en Asie une pratique toujours bien présente dans les habitudes alimentaires et médicinales. Au Laos, on fait frire des sauterelles, bouillir des scorpions d'eau ou rôtir certaines araignées.

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 On réduit la punaise d'eau géante en purée, on la mélange à des légumes et des condiments pour en concevoir une sauce appelée "nam prik mangda", qui sert à accompagner du riz ou des légumes.


Résultat de recherche d'images pour "punaise d'eau comestible" Résultat de recherche d'images pour "punaise d'eau comestible"
Au Cambodge et en Thaïlande, il est ainsi habituel de trouver sur les marchés des étals de spécialités à base d'insectes rampants ou volants, grillés ou cuits à la vapeur.
Et même dans les cuisines plus traditionnelles pratiquées dans certains restaurants japonais et chinois, vous pourrez commander des chrysalides de ver à soie frits dont le goût s'approche de celui de la noix de cajou.


 Séchées, elles sont également consommées en omelette avec de l'oignon et de la sauce. On les trouve ainsi en Corée du Sud, vendues en conserve sur les marchés locaux.
En Indonésie, notamment à Java ou Bali, la consommation de fourmis revêt un caractère médicinal. En effet, celles-ci sont utilisées avec de l'eau bouillante et elles seraient bénéfique dans la lutte contre le diabète.



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L'Océanie

L'entomophagie n'est pas encore très répandue sur le continent océanien (Australie, Nouvelle Zélande, etc..) mais elle conserve un intérêt indéniable pour les populations qui la pratique depuis toujours. Les aborigènes d'Australie sont friands des fourmis "pot de miel" qui renferment du miellat dans leur abdomen, un liquide épais et riche en sucres et acides aminés.
Les aborigènes les consomment comme des friandises. Soucieux de préserver leur biodiversité, ils se nourrissent également de chenilles parasites qui s'attaquent aux acacias Kampeana. En Nouvelle-Calédonie, une fête est même organisée tous les ans, en septembre, dans la ville de Farino pour y célébrer le ver de Bancoule,


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 qui tire son nom du bancoulier, l'arbre dont il se nourrit. Un concours est organisé pour récompenser celui qui mangera le plus de vers (ceux-ci peuvent mesurer jusqu'à 10 cm de long et 2 cm de diamètre).
A cette occasion, les vers de Bancoule sont sautés au pastis et au beurre maître d'hôtel et attirent de nombreux gourmets.

L'Amérique et les grillons

La grande majorité des entomovores se trouvent dans le sud du continent américain. Au Mexique pour être plus précis, ou il n'est pas rare de prendre l'apéritif avec une chenille du papillon ravageur de l'agave Hypopta Agavis que l'on fera frire ou que l'on appréciera avec des œufs de fourmis baignés dans une sauce à l'ail.


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Connus comme le caviar mexicain, les ahuahutle sont des œufs de punaise d'eau qui ravissent les papilles des connaisseurs. Certains restaurants proposent également des tortillas accompagnés d'insectes frits. Mais c'est sans y compter la consommation de sauterelles, très appréciée et également très courante au Mexique.
Les colombiens, quant à eux, restent plus intéressés par les fourmis coupeuses de feuilles et qui est mangé en fo^ret tropicale.

L’Europe et l'entomophagie

Bien que grecs et romains se délectaient de cigales et de larves de scarabées, l'entomophagie ne s'est jamais réellement développée en Europe. Pour des raisons à la fois culturelles et sociologiques.
Les Pays-Bas cependant, ont ouvert la voie en finançant le développement d'élevages d'insectes. Néanmoins, une prise de conscience émerge depuis quelques années, en France comme dans le reste de l'Europe et de nombreuses initiatives voient régulièrement le jour pour initier et informer les consommateurs des bienfaits de ce type d'alimentation. Qui peut devenir complémentaire à nos habitudes culinaires et à notre style de vie occidental.
Nous sommes nombreux à avoir entendu cette remarque de nos parents pour nous rassurer à la vue de certains insectes : "N'aie pas peur, les petites bêtes ne mangent pas les grosses". Le jour où l'entomophagie fera partie de nos habitudes alimentaires, un enfant se verra proposer par ses parents : "Tu viens capturer des sauterelles pour le repas de ce midi ?"
Et bien que ce jour-là ne soit pas pour demain, il arrivera tôt ou tard et c'est ce vers quoi tend notre site internet !

L’histoire de la famille Rotschild

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La Famille Rothschild fut fondée par Meyer Amschel Rothschild (1743-1882) :
Meyer Amschel Bauer acheta la banque de son père à Francfort et troqua son nom pour celui de Rothschild (d’après l’enseigne rouge – traduction littérale du mot Rothschild – qui était accrochée à la porte d’entrée de la banque et qui représentait le signe des Juifs révolutionnaires et vainqueurs dans l’Europe de l’Est).
Mayer se maria. Il eut cinq garçons et cinq filles.
Les prénoms de ses fils étaient Amschel, Salomon, Nathan, Kalmann (Karl) et Jacob (James).
Son ascension s’accéléra lorsqu’il obtint les faveurs du Prince Guillaume IX de Hesse-Hanau.
Il prit part, en sa présence, à des rencontres de francs-maçons en Allemagne.
Ce prince Guillaume, ami de la Dynastie de Hanovre, avait des revenus financiers considérables en louant ses mercenaires de Hesse au roi anglais (de Hanovre).
Ce furent les mêmes troupes qui combattirent, plus tard, contre l’armée de George Washington dans la "Valley Forge ", Rothschild devint le banquier personnel de Guillaume.
Lorsque le prince Guillaume dut s’enfuir au Danemark à cause des troubles politiques, il déposa à la banque Rothschild le salaire des mercenaires, soit 600.000 livres.
Nathan Rothschild (le fils ainé de Mayer Amschel) emporta avec lui cet argent à Londres grâce auquel il put ouvrir aussi une banque.
L’or qui servit de garantie était issu de la East India Company.
Nathan obtint une plus-value de 400% en prêtant de l’argent au Duke of Wellington qui finançait ainsi ses opérations militaires et en vendant aussi, plus tard, de façon illégale l’or qui devait servir de garantie.
Ces transactions furent à l’origine de la fortune gigantesque de la famille Rothschild.
C’est alors que débuta le commerce bancaire international : chaque fils ouvrit une banque dans un pays différent, Anischel à Berlin, Salomon à Vienne, Jacob à Paris et Kalmann à Naples.

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Banquiers d’origine juive allemande, les Rothschild comptent plusieurs « branches » en Europe.

Celle de Paris est créée par le cinquième fils de cette dynastie d’hommes d’affaire : James (1792-1868).
Banquier successif des rois Louis XVIII, Charles X et Louis-Philippe, James parvient à élever la maison parisienne au rang de centre des affaires familiales, alors étendues dans toute l’Europe.
Alphonse (1827-1905), son fils, accède au conseil de régence de la Banque de France en 1855 et parvient à réduire en 1871 l’indemnité de guerre exigée par l’Allemagne.
Salomon Rothschild était membre des francs-maçons.
Meyer Amschel Bauer Rothschild écrivit son testament dans lequel il indiquait comment la fortune de famille devait être gérée à l’avenir.
La fortune serait administrée par les hommes et ce serait l’aîné qui aurait le pouvoir décisif et trancherait en cas de désaccord.
Toutes les tenues de compte devaient rester absolument secrètes, particulièrement pour le gouvernement.
En l773, Meyer Amschel Bauer Rothschild aurait rencontré en secret dans la maison des Rothschild, rue Juive à Francfort, douze bailleurs de fonds juifs aisés et influents (en fait les Sages de Sion) pour mettre à l’étude un projet qui contrôlerait toute la fortune mondiale.
Aux dires de Herbert G. Dorsey, ces bailleurs de fonds auraient souligné, entre autres, le fait que de la fondation de la Banque d’Angleterre avait permis d’exercer une influence considérable sur la fortune anglaise.
Ils déclarèrent aussi qu’il serait nécessaire que cette banque exerce un contrôle absolu afin qu’ils puissent créer les bases qui permettraient de contrôler la fortune mondiale.

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Isaac Elchanan est l’ancêtre qui a donné à la famille Rothschild son nom.
La petite maison étroite dans la « Rue des juifs » à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, où il habitait, avait au dessus du portail une plaque où l’on pouvait lire : Zum Rotem Schild (A l’écusson rouge).
Isaac Elchanan prit ainsi cette enseigne comme nouveau patronyme : « Rothschild ».
Isaac a un modeste commerce de prêt sur gages et c’est son fils Mayer Amschel Rothschild (1744- 1812) qui va transformer ce commerce en une banque reconnue.
Amschel Mayer a 7 enfants dont 5 fils.
Il devient même le gérant de la fortune de Guillaume Ier, électeur de Hesse-Cassel.
Tous deux sont amateurs de pièces de monnaies anciennes, d’objets anciens en argent et en or. Mayer Amschel saura faire fructifier les deux fortunes.
En 1806, Napoléon approche de Francfort et le prince met sa fortune en sécurité chez Mayer Amschel qui, au moment critique, livre aux Français sa propre fortune, mettant ainsi à l’abri celle du prince.
Avant de reconstruire la sienne il dit à ses fils déjà adultes : « Nous travaillerons ensemble avec loyauté, concorde et industrie, mais on rendra au prince ou à ses successeurs jusqu’au dernier centime ».
Il enverra chacun de ses fils créer une filiale de la banque familiale à Londres, Paris, Vienne, Naples et Francfort, ce qui donnera les cinq branches de la famille.
En 1812, Amschel Mayer meurt, et en 1813, Napoléon perd la guerre.
Le prince Guillaume revient de l’exil et retrouve tous ses biens, gardés par la famille et qui ont fructifié.
Le prince donne à la banque familiale toute sa confiance et celle-ci grandit jusqu’à devenir une légende.
L’héritage du père de famille : « Honnêteté, travail, union », devient le symbole familial d’Amschel Mayer et leur blason porte les 5 flèches qui symbolisent les 5 branches de la famille.
Le 29 septembre 1822, l’empereur d’Autriche François Ier élève au rang de baron les 5 fils.
La fille aînée d’Amschel Mayer se marie avec Benedikt Moses Worms de la dynastie banquière de Worms.
Et des mariages entre branches permettent à la famille de garder le contrôle de ses activités, leur donnant même la capacité d’investir.
Le renom de la famille Rothschild parvient très rapidement aux communautés juives, par leurs actions philanthropiques.
Leurs banques de Francfort, Londres et Paris sont souvent sollicitées tant par les particuliers que par les organismes, et la famille est vite devenue « maison royale » pour de nombreux juifs qui la visitent.
Aussi lorsque le rabbin Tsvi Hirsh Kalisher a l’idée de « sauver Israël par son retour au pays », il pense très vite aux familles Rothschild pour la réaliser.
Il écrit son idée à Asher Amshel, le fils aîné à Francfort, en 1836.


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En 1840, les Juifs de Damas en Syrie sont accusés d’avoir assassiné un moine chrétien pour se servir de son sang à la fête de Pâque.
Les chefs de la communauté sont arrêtés et torturés.
Certains en meurent.
Soixante trois enfants juifs sont pris en otage pour faire avouer les parents.
Les communautés juives du monde entier sont au courant des menaces qui pèsent sur celle de Damas et une délégation parvient auprès de Méhémet Ali à Alexandrie en Egypte, qui, à cette époque, a autorité sur cette province.
Parmi cette délégation il y a Moshé Montefiori de Londres et Adolf Crémieux de France.
La famille Rothschild signe la lettre.
James Rothschild, alors consul honoraire d’Autriche à Paris, reçoit du consul d’Egypte un compte-rendu de ce qui se passe à Damas ; il le publie dans les journaux pour que le public français et du monde entier soit au courant.
Il prévient rapidement son frère Salomon à Vienne qui avertit Metternick, le chancelier autrichien, alors très influent, pour pousser Mohamet Ali à supprimer cette légende infamante de Damas.
Tout ceci aboutit à relâcher les Juifs de Damas et à sauver la communauté de cette ville.
Cette affaire impressionne fortement le rabbin Yehuda Haï Alkalaï, sioniste religieux avant l’heure : si des Juifs importants ont réussi à sauver la communauté de Damas, ils peuvent aussi et doivent sauver tout Israël en les faisant venir dans leur pays.
La famille Rothschild, avec (Yaakov) James de Paris en tête, voit comme une obligation et un honneur d’agir pour les Juifs de Palestine et spécialement de Jérusalem.
Cette communauté vivote grâce à l’argent de la diaspora.
En 1853, la guerre éclate entre la Turquie, qui règne sur la Palestine, et la Russie qui veut être le tuteur des chrétiens orthodoxes de tout l’empire ottoman, et qui exige des droits spéciaux pour l’église orthodoxe en Terre d’Israël.
La France et l’Angleterre s’unissent à la Turquie, et c’est la « Guerre de Crimée » qui dure trois ans.
Ceci réduit fortement les dons d’argent pour la communauté locale, et met fin à l’aide venant de Russie.
Les Juifs de Jérusalem en souffrent beaucoup, les chefs des communautés implorent l’aide de leurs frères de la diaspora.
Le baron James Rothschild vient à leur aide et envoie le précepteur de ses propres enfants, également conseiller financier, le docteur Albert Cohen, professeur à l’école rabbinique « Bar Orion », écrivain et l’un des dirigeants du mouvement de Hibat Tsion (Les Amants de Sion).
A son arrivée à Jérusalem en 1854, il découvre que de nombreux juifs souffrent de diverses maladies et qu’ils doivent se faire aider par les hôpitaux que les missionnaires chrétiens ont fondés.
Albert Cohen n’hésite pas, avec l’argent de son maître à Paris et avec l’aide des familles Rothschild d’Autriche et d’Italie, il fait construire un hôpital dans la vieille ville, avec le meilleur matériel moderne et il fait venir de l’étranger un médecin juif.
L’hôpital s’appelle « Meïr Rothschild ».
Pendant des dizaines d’années, la maison Rothschild survient aux besoins de l’hôpital, pour la communauté juive de Jérusalem.
Cet hôpital préparera le terrain pour les centres hospitaliers Hadassa.
En plus de cela, Albert Cohen fonde, avec l’argent des Rothschild, plusieurs institutions sociales dans la ville : une pour les enterrements, une pour la distribution de 600 pains pour les plus pauvres, les sabbats et les veilles de fête, une caisse d’aide pour les femmes enceintes dans le besoin, et un début d’école professionnelle pour les enfants et les femmes.
Avec l’argent de la famille Rothschild d’Angleterre, il crée l’école pour filles : « Evelyne de Rothschild ».
Durant des années, Albert Cohen s’occupe fidèlement de ces fondations.
Quatre fois, il fut envoyé par la maison Rothschild à Jérusalem, pour veiller à leur développement. Pendant sa visite de 1956, il publie le premier feuillet en hébreu, avec pour titre « nouveau guide ».
L’intervention de la maison de Rothschild, et spécialement de James de Paris, pour la construction et le développement de Jérusalem est de plus en plus importante.
Suite à l’augmentation de la population juive à Jérusalem, naît le besoin de reconstruire une nouvelle synagogue.
Il fut décidé que celle de rabbi Yehuda ha Hassid, qui était en ruines soit reconstruite.
En 1855, Moshé Montéfiori reçoit le permis des autorités, et c’est le baron James qui finance.
La pierre de fondation est posée en présence de son fils aîné Alfonse.
Lors de la dédicace, le bâtiment reçoit le nom de « Maison de Yaacov », du nom du baron Yaacov (James) de Rothschild, qui a lieu en sa présence, en fin d’année 1864.
Ces mêmes années, on construit le quartier d’habitations « Batei Mahassei » à Jérusalem, comprenant deux très grands bâtiments, don du baron Karl Wilhem Wolf Rothschild de Francfort, et qui servent de logement aux meilleurs élèves.
Ces bâtisses existent encore aujourd’hui et sur l’une d’entre elles les armoiries de la famille Rothschild sont gravées dans la pierre.

Le blason de la famille Rothschild

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L’écusson est maintenu d’un côté par une licorne, de l’autre par un lion.
Dans le blason divisé en quatre parties, des symboles de force : en haut à gauche, un aigle, symbole de la principauté autrichienne qui a ennobli la famille Rothschild.
En bas à droite, de nouveau le lion.
En bas à gauche, le bras qui porte les 5 flèches, des 5 branches de la famille, en haut à droite, la main qui resserre l’unité.
Au centre, un chapeau que les Juifs de Francfort devaient porter dans le ghetto.
En dessous la devise de la famille inscrite en latin : Concordia- Integritas-Industria (Harmonie, intégrité, industrie).











Sa maladie la plonge dans le sommeil 20 h par jour





Nul ne sait si, comme pour la Belle au Bois Dormant, un prince charmant viendra délivrer un jour Delanie Weyer de ses longs sommeils. Toujours est-il que cette Américaine de 23 ans est atteinte du rarissime syndrome de Kleine-Levin, un trouble récurrent du sommeil, qui la fait dormir durant de longues périodes de plus de vingt heures d’affilée.
À 23 ans, Delanie Weyer est une jeune femme qui aime profiter de chaque instant de la vie. Originaire de l’État du Minnesota, aux États-Unis, elle aime partir pêcher en famille, s’essayer au saut en parachute à l’occasion ou voyager dès qu’elle le peut.
Une vie bien remplie, comme la plupart des filles de son âge. À cette différence près que, parfois, tous ces petits plaisirs, Delanie les vit seulement… dans ses rêves !

Le syndrome de la Belle au Bois Dormant 
Depuis qu’elle est âgée de 18 ans, il arrive qu’elle s’endorme longtemps. Très longtemps. Trop longtemps… « La première fois que cela m’est arrivé, c’était lors d’un voyage scolaire, j’avais dormi beaucoup plus longtemps que d’habitude et personne n’avait réussi à me réveiller », a révélé Delanie à la chaîne locale de télévision CBS.
Après de nombreuses analyses, les médecins lui diagnostiquent une maladie extrêmement rare, le syndrome de Kleine-Levin (KLS), plus connu sous le nom explicite du syndrome de la Belle au Bois Dormant. « C’est une maladie orpheline caractérisée par des épisodes récurrents de sommeil excessif, associés à une altération du comportement », explique la sophrologue Caroline Rome, spécialiste du sommeil et animatrice d’ateliers au Centre du sommeil et de la vigilance à l’hôpital l’Hôtel-Dieu, à Paris.
Durant ces épisodes de sommeil excessif, appelé plus scientifiquement « hypersomnie », Delanie se lève seulement pour s’alimenter et faire ses besoins. Le dernier épisode, débuté en décembre, a duré cinq semaines… « Chaque période peut durer des jours, des semaines ou des mois durant lesquels l’ensemble des activités quotidiennes s’arrête. Les malades ne sont pas capables de s’occuper d’eux-mêmes », rappelle Caroline Rome.

« Je croyais qu’elle prenait de la drogue »

« Je suis le genre de maman à forcer ses enfants à sortir du lit. Mais lorsque je réussissais enfin à lever ma fille, elle était très irritable et avait le regard vide. Je me suis posé des questions. Je croyais qu’elle me mentait, qu’elle prenait de la drogue », s’est affolé sa mère, dans un premier temps.
Mais à la suite du diagnostic des médecins, la seule solution fut finalement de laisser Delanie dans les bras de Morphée. « Cette maladie est extrêmement rare. Il n’existe actuellement aucun traitement miracle », révèle la sophrologue. En effet, seulement deux personnes sur un million seraient touchées. On compte une centaine de cas au Royaume-Uni et en France, mais l’origine de cette étrange maladie est encore obscure.




Pour Caroline Rome, il faut bien distinguer le syndrome de Kleine-Levin et la narcolepsie : Chaque épisode de KLS est marqué par une atteinte des fonctions cognitives et une modification du comportement. Ce qui est différenciable des narcoleptiques qui ne sont pas touchés par des problèmes psychologiques.

Elle n’a pas pu fêter son anniversaire

Ce trouble qui affecte principalement les adolescents et les jeunes adultes, modifie le comportement des sujets qui manifestent de l’irritabilité, un manque d’énergie et d’émotions ainsi qu’un repli sur soi. Quand je me réveille, je suis vraiment rêveuse, délirante, je ne suis pas encore totalement connectée à la réalité », raconte Delanie qui se sent, de fait, frustrée d’avoir oublié ce qu’il lui est arrivé tout au long de son profond sommeil.
Comble de l’histoire, pour son 21e anniversaire, Delanie n’a pas pu souffler ses bougies. Elle était profondément endormie, tout comme lors des vacances de Pâques, de l’important repas de Thanksgiving ou à l’anniversaire de son grand-père… Une chose est sûre, pour sortir de ce cauchemar et profiter pleinement de sa vie, Delanie Weyer attend définitivement que son prince charmant vienne la délivrer.