13 Animaux hybrides qui existent réellement

• Ligres  (Lion +Tigre)

Les ligres sont le croisement d’un lion et d’une tigresse, et sont les plus gros félins qui existent.

Leur taille plutôt massive pourrait être le résultat de gènes qui ne se seraient pas forcément développés chez leurs parents, mais qui deviendraient actifs lorsque les deux espèces se rencontrent. Certaines femelles ligres peuvent atteindre les 3m de long et peser plus de 317 kilos.

Attention, on distingue les ligres et les tigrons, qui viennent d’un croisement entre un tigre et une lionne. De nombreuses variantes de chats hybrides ont été créées, comme les léopons (le mélange d’un léopard et d’un lion) mais également les jaguleps (mélange d’un jaguar et d’un léopard), et même des lijaguleps, créés à partir d’un croisement entre les lions et les jaguleps.

• Le Chat Savannah (Chat + Serval)

On appelle Savannah les animaux donnés par le croisement entre les chats domestiques et les servals, un chat africain de taille moyenne et aux grandes oreilles.

Ce croisement bizarre est devenu populaire chez les éleveurs à la fin du XXème siècle, et en 2001, l’Association Internationale des Chats l’a enregistré comme une nouvelle race.

Pour l’anecdote, les Savannah sont beaucoup plus sociaux que les chats domestiques normaux et ils sont souvent comparés aux chiens pour leur loyauté. On peut les entraîner à marcher en laisse et ils aiment aussi bien jouer à aller chercher une balle.

• Les Zébroides (zèbres+ chevaux)

Les zébroïdes sont le résultat du croisement entre un zèbre et n’importe quel autre équidé, généralement un cheval ou un âne.

Il existe des « zorses » (aussi appelés « zébrules » en français), des zoneys, et une multitude d’autres déclinaisons du même style.

Ils sont apparus pour la première fois au XIXème siècle, lorsque Charles Darwin a réalisé ses premiers travaux sur les hybrides et existent toujours aujourd’hui mais en très petit nombre car ils sont stériles.

• Les Zébrânes (Zèbres + Anes)

Les zébroïdes sont un exemple assez intéressant d’hybrides entre animaux n’ayant pas le même nombre de chromosomes.

Par exemple, les chevaux ont 64 chromosomes et les zèbres en ont entre 32 et 44 (selon les espèces). Quoiqu’il arrive, la nature trouve toujours un chemin.

Regardez ce petit zébrâne, n’est-il pas mignon ?

• Les Bardots (Etalon + Ânesse)

Les bardots (ou bardeaux) sont les hybrides les plus communs, mais qui ne peuvent pas être trouvés dans la nature car ils sont élevés selon un procédé complexe.

Ils sont le croisement entre un cheval et une ânesse et sont sensiblement plus petits que les chevaux. Ils sont également moins de poils.

A cause de la différence entre le nombre de chromosomes de chaque espèce, les bardots ne peuvent pas se reproduire et sont extrêmement difficiles à obtenir.

• L’Ours Grolar (ours polaire + grizzly)

Croisement entre un ours polaire et un grizzly, l’ours Grolar est l’animal que vous ne voudrez pas rencontrer dans les bois.

Pour l’anecdote, contrairement aux autres hybrides de cette liste, cet ours est connu pour se reproduire de lui-même et vivre à l’état naturel.

Certains experts expliquent que l’essor de la reproduction entre les deux races d’ours est liée au réchauffement climatique, et au fait que les ours polaires aient dû quitter leur habitat naturel sur la banquise.

• Le Wholphin (baleine + dauphin)

Croisement entre un faux orque et un grand dauphin d’Atlantique, les wholphins sont des hybrides qui ont déjà été vus en liberté dans la nature. En réalité, les deux seuls qui sont connus pour être en captivité vivent dans le Sea Life Park à Hawaii.

La taille, la couleur et la forme des dauphins sont à l’exact intermédiaire de celles de l’espèce de leurs parents. Même leur nombre de dents est  parfaitement entre les deux : un grand dauphin en a 44, un faux orque en a 88 et un wholphin a 66 dents.

• Le Cama (ou Chama) (chameau + lama)

Un cama est l’hybride de deux animaux venus de monde différents : un chameau d’Asie et un lama d’Amérique du Sud.

Mais si leur apparence est assez différente, les chameaux et les lamas sont tous les deux des camélidés descendant d’un ancêtre commun qui a vécu en Amérique du Nord durant le Paléolithique. 

Les camas ont été créés via une insémination artificielle qui voulait développer une race de la force et de la taille d’un chameau, mais avec le tempérament plus coopératif d’un lama. La fertilisation entre les deux espèces a été un succès, mais le résultat n’a pas été à la hauteur des espérances des éleveurs.

Les Camas ont bien le même tempérament que les chameaux mais ne sont pas attirés par les lamas femelles (la preuve que les opposés s’attirent vraiment !).

• Beefalo (Buffles + Vache)

Les beefalos sont la progéniture fertile entre les vaches domestiques et les bisons américains.

Les croisements existent aussi entre les vaches et les bisons Européens (zubrons) mais également avec les yaks (dzos). Le nom donné aux beefalos est peut-être le plus suggestif depuis que les éleveurs ont décidé de combiner les meilleures caractéristiques des deux races tout en gardant un œil sur la production de bœuf.

Une étude de l’USDA a montré que la viande de beefalo, comme celle de bison, tend à être moins grasse et amène moins de cholestérol. Les animaux produisent également moins de dégâts dans les prairies que les vaches domestiques.

• Tigron (Tigre + Lion)

Jusqu’où êtes-vous prêts à aller ? Savez-vous par exemple que les ligres et les tigrons se reproduisent également entre eux ? On vous laissera imaginer comment nommer leur progéniture !

En attendant, un tigron est un croisement entre un tigre et une lionne. Les tigrons ne peuvent normalement exister qu’en captivité et sont connus pour être stériles.

Mais en 1943, les scientifiques ont eu la surprise de voir qu’une femelle tigron a réussi à se lier avec un lion mâle au zoo Hellabrunn de Munich et ont réussi à élever leurs petits jusqu’à l’âge adulte.

• Mouchèvre (Mouton + Chèvre)

Et l’un des plus mignons de ce classement, c’est la mouchèvre, aussi connu sous le nom de chabin, le rare croisement d’une chèvre et d’un mouton.

Même si ces deux animaux ont de nombreuses similarités, ils font partie de deux espèces différentes et en général, leurs embryons sont morts-nés.

Il n’y a que deux cas dans le monde entier dans lequel un de leurs bébés est né et a vécu, mais tous les deux ont été stériles à cause du nombre différent de chromosomes entre leurs parents.

• Jaglion (Jaguar + Lion)

Cet hybride particulier est en fait un enfant naturel, né de l’amour entre un jaguar et une lionne.

Ce jaglion vit désormais avec ses parents au Bear Creek Wildlife Sanctuary dans l’Ontario au Canada.

• Dzo (vache + Yak)

Originaires de la Mongolie et du Tibet, les dzos sont le résultat du croisement entre la vache domestique et le yak.

Comme la création de cette race s’est basée sur les atouts génétiques de leurs parents, il semblerait qu’ils soient plus forts et plus larges que leurs parents. Et ils sont fertiles !

Enfin, ils produisent plus de lait et de viande que les vaches et les yaks ordinaires.

• Leopon (Léopard + Lion)

L’apparence du léopon est quasiment comme celle d’un animal mythologique que tout le monde aime dès le premier regard : l’Ammout, cette déesse égyptienne au corps d’hippopotame, à la tête de crocodile et aux pattes de lion.

Comme c’est un croisement très rare entre une lionne et un léopard, il possède une tête quasi identique à celle d’un lion, et un corps ressemblant à celui d’un léopard.

Le premier léopon a été créé en captivité en 1910 en Inde, mais malheureusement, n’a pas survécu longtemps. Aujourd’hui, il y a seulement 100 léopons dans le monde et ils vivent tous en captivité, puisqu’ils sont produits par une fécondation in vitro hybride.

Émirats Arabes Unis. Les restes de nourriture d’hôtels de luxe distribués aux animaux errants

Pour lutter contre le gaspillage alimentaire,

 les restes de nourriture d'hôtels de luxe

 sont collectés et distribués aux chiens errants

 à Abu Dhabi, aux Émirats Arabes Unis. 

Le chef J Gourmet s’est associé à plusieurs établissements de luxe aux Émirats Arabes Unis, pour éviter le gaspillage alimentaire et nourrir les animaux abandonnés.
Nourrir les animaux errants ou abandonnés et réduire le gaspillage alimentaire : c’est le but de « The Doggy Bag Initiative », portée par le chef J. Gourmet et plusieurs établissements de luxe aux Émirats Arabes Unis.
Les restes de nourriture non consommés par les clients sont récupérés, hachés et distribués aux animaux. Une première opération a eu lieu le vendredi 5 juillet dernier, en partenariat avec le boucher Springbok Butchery and Catering, le Fairmont Hotel d’Abu Dhabi, un cinq-étoiles, et l’association de protection des animaux Animal Action.

Les restes du brunch préparé ce jour-là au Fairmont Hotel ont été collectés et reconditionnés pour être proposés aux animaux du refuge Cloud 9 Pet Hotel ans Care. « Nous ne savions pas si les animaux allaient aimer », explique Chef J. Gourmet sur sa page Facebook. « Ils ont adoré », poursuit-il.
Pas de dessert

Dans une réponse à un internaute, qui rappelle que certains aliments consommés par les humains sont contre-indiqués pour les animaux, il précise que les restes sont soigneusement sélectionnés : « Pas de fromage, pas de dessert, pas de sauce, pas d’épices, peu d’ail et d’oignon. Nous ne prenons que les viandes, poissons, le riz, des légumes et certains pains ».

Le chef a lancé un appel aux volontaires qui souhaiteraient s’associer à l’initiative, et demandé à un maximum de gens de la partager avec des vétérinaires, des hôtels et des restaurants.

Plusieurs établissements prestigieux d’Abu Dhabi ont répondu présents. Parmi eux, le Shangri-La Hotel, ou le Abu Dhabi & Grand Millennium Al Wahda Hotel, précise un post sur la page Facebook dédiée à l’opération.

Longévité : Le secret des zones bleues

Nous vivons de plus en plus longtemps. L’espérance de vie croit chaque année.
Il semblerait toutefois que certaines zones géographiques soient plus propices que d’autres à la longévité en bonne santé. La qualité de l’air, une alimentation saine, des liens familiaux forts et une vie sociale riche semblent être les caractéristiques communes à ces régions du globe.
Découvertes il y a un vingtaine d’années par deux démographes européens, ces zones, au nombre de cinq sont éparpillées aux quatre coins du globe. On les appelle les zones bleues.

Quelle est l’histoire des zones bleues ?
L’histoire des zones bleues commence en Sardaigne.
Dans cette grande île Italienne sauvage située au sud de la Corse, deux démographes, le Français Michel Poulain et l’Italien Gianni Pes conduisent une étude sur la longévité particulièrement remarquable du peuple Sarde.
En analysant finement les données démographiques locales, les scientifiques découvrent que la longévité est meilleure à l’Est de l’île, plus particulièrement dans la zone montagneuse du centre littoral et encore plus particulièrement dans le canton de Villagrande.
Michel Poulain et Gianni Pes réalisent une carte de la Sardaigne sur laquelle les zones de longévité sont représentées par des cercles concentriques en dégradé de bleu. L’épicentre, la zone de Villagrande est représentée par un cercle bleu profond.
L’équipe prend l’habitude de l’appeler zone bleue.

La carte de Sardaigne réalisée par Gianni Pes et Michel Poulain

A la recherche de nouvelles zones bleues
L’article remporte un franc succès. Encouragé par cet engouement et lui-même enthousiasmé par le sujet, Dan Buettener lance de nouvelles recherches avec Gianni Pes et Michel Poulain pour trouver d’autres zones bleues.
L’étude prend plusieurs années. Au fil du temps, quatre nouvelles zones sont identifiées.
Chacune des cinq zones bleues offre des avantages spécifiques à ses résidents :

1. La région de Barbagia en Sardaigne : une région montagneuse de l’est de l’île avec la plus forte concentration mondiale d’hommes centenaires.
2. L’île d’Ikaria en Grèce : une île de la mer Egée avec le plus bas taux de maladies dégénératives et de démences.
3. La péninsule de Nicoya au Costa Rica : la deuxième plus forte concentration d’hommes centenaires.
4. La communauté religieuse d’Adventistes du septième jour de Loma Linda en Californie : Femmes et hommes vivent en moyenne dix ans de plus que les autres Nord Américains.
5. L’île d’Okinawa au Japon : La région du monde où l’espérance de vie en bonne santé après 70 ans est la plus élevée, pour les femmes.

Ile grecque

Dan Buettener s’est rendu dans chacune des zones pour essayer d’en percer les secrets. Ces voyages ont permis au Canadien de théoriser la longévité des résidents des zones bleues. Il a liste les neufs récurrences de ces régions du globe.

 Les caractéristiques des zones bleues :

1. Une activité physique régulière mais modérée : les habitants des zones bleues se déplacent à pied, utilisent peu d’appareils électriques. Ils ont une vie active sans avoir nécessairement une activité sportive.
2. Un lieu de vie sauvage, peu urbanisé, proche de la nature.
3. Une vie peu stressante
4. Une alimentation faiblement calorique.
5. Un régime naturel, reposant essentiellement sur des produits agricoles peu transformés.
6. Une consommation raisonnée d’alcool, notamment de vin : un peu mais pas trop
7. Une vie spirituelle ou une pratique religieuse.
8.  Une vie familiale intense.
9. Une vie sociale, des relations de voisinage quotidiennes, des échanges.
   
   Trois îles, une zone montagneuse et une communauté religieuse soudée.

Okinawa
Exception faite de Loma Linda, installée dans une zone de fort peuplement et dont la cohésion repose sur la foi et la pratique religieuse de la communauté adventiste du septième jour qui a fondé la ville, toutes les zones bleues sont situées dans des régions pauvres et isolées.
• Ces régions ont subi peu de colonisations, de migrations ou d’exodes.
• Elles sont démographiquement stables, où l’économie repose sur une agriculture et un artisanat local, en circuit fermé.
• Ce sont des régions où les liens familiaux et sociaux sont restés forts, dans une logique clanique et villageoise.
  
  Le bénéfice des zones bleues est réservé à ses résidents
  Inutile de programmer un séjour à Villagrande en mode cure thermale. Dix jours sur place ne suffiront pas à vous faire profiter des bénéfices du lieu. Ils sont réservés aux résidents. En effet, la qualité de vie dans les zones bleues tient beaucoup à la qualité des liens sociaux.
  Or ces communautés sont plutôt fermées et pas forcément très touristiques.
En revanche, les recettes de longévité pourraient être exportées. Si l’on constitue des communautés qui puissent s’approprier les bonnes pratiques, pourrait-on créer de nouvelles zones bleues ?

Dan Buettener en est convaincu, il en a d’ailleurs fait son business !

Exporter le secret des zones bleues ?

Capitalisant sur les découvertes faites par son équipe sur le terrain, Dan Buettener a élaboré une sorte de cahier des charges de la longévité. Selon lui, la longévité s’explique à 10% par les gènes et à 90% par le mode de vie. Le Canadien a donc essayé de transposer le mode de vie des zones bleues dans des villes américaines. Les résultats sont encourageants :


• La longévité s’est améliorée,
• L’obésité, les maladies cardio-vasculaires et les hospitalisations ont diminué,
• Globalement, la santé des habitants s’est améliorée,
• Les habitants ont tissé de nouveaux liens sociaux.
Dan Buettener et son équipe ont constaté que les usages favorisant la longévité sont bénéfiques pour tous les âges.
Tout le monde est donc gagnant à adopter ce mode de vie sain. A ce jour, près de dix villes américaines participent au programme.
S’ils peuvent le faire aux Etats-Unis, qu’est-ce qui nous empêcherait de le faire en France ?

Sardaigne


Le secret des zones bleues c’est le lien social


« L’importance du lien social dans le bonheur a été prouvée à maintes reprises. Disposer d’une capacité à communiquer efficacement et plaisamment avec son prochain et avoir de bonnes compétences sociales améliore incontestablement le bien-être. »
Professeur Olivier de Ladoucette
Bien être et santé mentale : des atouts indispensables pour bien vieillir 

Les interactions sociales sont l’un des meilleurs indicateurs de la durée de votre vie.
Ce qui fait une personne âgée épanouie, ce n’est pas d’habiter dans son logement historique. Elle doit également avoir une vie sociale et des échanges avec ses proches. 
L’environnement social favorise l’inclusion de la personne âgée dans la société. Il lui permet de se sentir utile et valorisée. Les échanges riches avec les proches stimulent les fonctions cognitives.
La vie sociale au sens large donne à une personne âgée une raison d’être, de sortir, de parler, de se cultiver, d’être curieuse et actrice du monde.
Mais cette vie sociale, il faut l’entretenir, il faut la forcer un petit peu.
Si nous voulons favoriser le bien vieillir et l’autonomie de la personne âgée, nous ne devrions pas nous demander où vieillir mais plutôt en compagnie de qui vieillir. 
Le véritable enjeu du bien vieillir n’est pas l’adaptation de son domicile au vieillissement, mais plutôt l’adaptation de son environnement social. 

Record de chaleur à ALERT, le point habité le plus au nord de la Terre

Un «record absolu» de chaleur a été enregistré à Alert, endroit habité le plus septentrional de la planète. 

Alert est le lieu habité le plus au nord de la planète, à seulement 817 km (508 mi) du Pôle Nord, situé dans le territoire du Nunavut, dans l'Arctique canadien. Situé à l'extrême nord de l'Île d'Ellesmere, il s'agit d'une base militaire canadienne avec une station du Service météorologique du Canada. La station est dotée d'une route de 6 kilomètres de long qui mène à son aéroport. Cette route, aussi bien que l'aéroport d'Alert, sont également les routes et aéroports les plus au nord sur Terre.

Le mercure a atteint 21 degrés Celsius dimanche à Alert, endroit habité le plus septentrional de la planète, à moins de 900 km du pôle Nord, établissant un «record absolu» de chaleur pour cette station, a indiqué mardi la météo canadienne. «C'est assez phénoménal comme statistique, c'est un exemple parmi des centaines et des centaines d'autres records établis par le réchauffement climatique», a souligné auprès de l'AFP Armel Castellan, météorologue au ministère canadien de l'Environnement.

Base aérienne, militaire, village, Canadian Forces Base

Base militaire permanente établie au 82e parallèle, servant notamment à intercepter les communications russes, Alert abrite depuis 1950 une station météo. Il y a fait 21 degrés dimanche : «C'est un record absolu, on n'a jamais vu ça», a déclaré Armel Castellan, soulignant qu'il avait fait 20 degrés lundi. Il faisait 17,6 degrés mardi à 16 h 00 locales (20 h 00 GMT) «et ça peut encore monter», a-t-il relevé.

L'HISTOIRE DES MAINS COUPÉES DU CONGO PAR DES COLONS BELGES

LE RÉCIT DE L'EXPLOITATION SANGLANTE DU CONGO ENTRE 1880 ET LA GRANDE GUERRE, ORCHESTRÉE PAR LÉOPOLD II, ROI DES BELGES.


Le génocidaire roi des Belges Léopold II

Entre 1885 et 1908, l'administration belge du roi Léopold II a orchestré un système d'exploitation qui a fait des millions de morts au Congo.

C'est un pan de l'histoire qui fût longtemps oublié. Un massacre de masse qui a fait probablement plusieurs millions de morts entre 1885 et 1908. Une tuerie inouïe de cruauté. Un système qui devait permettre au royaume belge de jouir des richesses économiques que procurait le Congo.
En 1885, Léopold II, roi des Belges, obsédé par l'idée de posséder une colonie, se voit attribuer le Congo comme "propriété personnelle" et se prévaut d'une mission civilisatrice et humanitaire. Il modernise la région, développe des infrastructures, favorise le commerce et l'agriculture, crée des villes. Dans le même temps, il fait main basse sur les richesses locales, le caoutchouc et l'ivoire, s'arrogeant dès 1891 le monopole de leur exploitation. L'administration de "l'Etat indépendant du Congo" organise alors un système répressif, brutal et sauvage, pour faire travailler les populations autochtones. sacre de masse qui a fait probablement plusieurs millions de morts entre 1885 et 1908. Une tuerie inouïe de cruauté. Un système qui devait permettre au royaume belge de jouir des richesses économiques que procurait le Congo. 

En 1885, Léopold II, roi des Belges, obsédé par l'idée de posséder une colonie, se voit attribuer le Congo comme "propriété personnelle" et se prévaut d'une mission civilisatrice et humanitaire. Il modernise la région, développe des infrastructures, favorise le commerce et l'agriculture, crée des villes. Dans le même temps, il fait main basse sur les richesses locales, le caoutchouc et l'ivoire, s'arrogeant dès 1891 le monopole de leur exploitation. L'administration de "l'Etat indépendant du Congo" organise alors un système répressif, brutal et sauvage, pour faire travailler les populations autochtones.

Une incartade, une main coupée
Massacres de masse, tortures et châtiments corporels, asservissement, villages rasés, rien ne fut épargné aux indigènes qui cherchaient à se soustraire au travail forcé, ne récoltaient pas assez de caoutchouc ou ne rapportaient pas suffisamment de pointes d’ivoire.
La punition la plus répandue était la section de la main. Si les villages ne rendaient pas la quantité de caoutchouc dont on avait besoin, on prenait les hommes mâles adultes et on leur coupait la main. La deuxième fois, on leur coupait l'autre main. Si la famille continuait à ne pas donner le caoutchouc, on tuait.

En 1896, la presse internationale révèle les atrocités. Le quotidien français "la Cocarde" écrit :

"Il n’est question en ce moment dans la presse de toute l’Europe que des atrocités commises au Congo par les Belges. [...] Travail forcé des indigènes dont les villages sont incendiés quand ils n’apportent pas assez de caoutchouc (le missionnaire dit n’avoir pas vu moins de 45 villages réduits en cendres) ; mains coupées et fumées, pour contrôler la compatibilité des cartouches confiées aux soldats noirs envoyés en expédition ; terrorisation des indigènes, dont quelques-uns seraient abattus de temps à autre pour l’exemple [...]." 

Les 10 pays les plus petits du monde

 Il existe aussi des pays dont tu ne soupçonnais pas l'existence... En effet, certains occupent des territoires si petits qu'ils n'abritent que quelques maisons.

Palaos

L'État de Palaos comprend plus de 300 îles de tailles différentes. C'est l'un de ces lieux incroyables de notre planète ; on retrouve dans ses eaux plus de 130 espèces de requins en voie d'extinction. La forêt de Palaos est remplie de plantes et d'oiseaux uniques. L'attraction principale du pays est son lac, habité par 2 millions de méduses inoffensives... avec lesquelles tu peux nager !

Niue

Niue est une île et un pays en Océanie. Le pays n'a pas développé le tourisme et ne comprend pas une seule entreprise industrielle ; il vit au dépend de la Nouvelle Zélande qui assure les trois quart du budget local. Mais il compte bien un aéroport et une capitale, même si celle-ci est un petit village d'un peu plus de 600 personnes. L'île compte aussi un vrai supermarché, le seul pour l'ensemble du pays.

Saint-Christophe-et-Niévès

Le pays se compose de deux îles, l'une des deux s'appelle Saint-Christophe, et l'autre Niévès. L'une des principales sources de revenus de l'île est la vente de la citoyenneté, qui peut être obtenue par toute personne prête à dépenser au moins 250 dollars dans l'industrie sucrière locale. Une autre manière d'obtenir la citoyenneté est d'acheter une propriété de valeur égale ou supérieure à 400 000 dollars sur l'une de ces îles.

La principauté de Hutt River

Hutt River est un pays virtuel, situé dans la province du même nom en Australie. Son territoire coïncide avec les terres agricoles de la famille Casley : c'est l'un de ses membres, Léonard qui en fut le fondateur (même si ce pays n'est pas reconnu). Les voyageurs pourront admirer les bustes du fondateur à différents endroits de la principauté.

Tuvalu

Tuvalu est l'un des pays les plus petits et les plus pauvres du monde. La situation économique de ce pays serait vraiment déplorable si celui-ci n'était propriétaire de la dénomination .tv sur internet : la vente de ce domaine lui rapporte des millions de dollars chaque année.

Nauru

Nauru est la République indépendante et l'île la plus petite du monde. Nauru n'a pas de capitale officielle et ne dispose pas de transport public ; les gens voyagent dans leurs véhicules personnels sur les 40 km de routes. L'île souffre de mauvaises conditions environnementales, ce qui explique que le tourisme n'y soit pas développé. Un autre record de ce pays : il compte le plus grand pourcentage de personnes souffrant d'obésité.

Principauté de Seborga

Un autre pays sur la carte d'Italie, bien que virtuel, est la Principauté de Seborga, qui abrite le village du même nom proche de la frontière française. L'armée de cet État non reconnu est composée de 3 personnes : le Ministre de la Défense et deux gardes.

République de

Dans le territoire de l'État de Nevada se trouve un pays que personne ne reconnaît comme tel : la République de Molossia, dont la population comprend Kevin Baugh, sa famille, 3 chiens, 1 chat et 1 cochon. Molossia a son hymne, son blason et son drapeau, et les délits les plus graves y sont punis de la peine de mort. En mai 2017, le pays a fêté ses 40 ans. Il émet ses propres passeports et a un programme spatial.

Ordre de Malte

En dehors du Vatican, il existe sur le territoire de Rome un autre pays minuscule appelé l'Ordre de Malte. Sa superficie est de 0,012 kilomètres carrés et est répartie dans trois édifices : deux d'entre eux se trouvent à Rome et le troisième, sur l'île de Malte. Le pays a sa propre monnaie, ses timbres, son site internet, ses plaques d'immatriculations et ses passeports qui donnent le droit d'entrer sans visa dans plusieurs dizaines de pays dans le monde. L'ordre de Malte est l'unique pays du monde où la langue officielle est le latin.

Principauté de

Le pays non reconnu de Sealand consiste en une plateforme marine située à 10 km des côtes du Royaume-Uni. Sealand est gouverné par un prince régent autoproclamé et toute personne peut y devenir comte, baron ou duc : sur la page web de l'État, il est possible d'acheter un titre de noblesse pour une centaine de livres sterling.

L'homme volant du 14-Juillet 2019.

C'est une démonstration un peu particulière qui a retenu toute l'attention des spectateurs lors du traditionnel défilé militaire du 14-Juillet sur les Champs-Élysées dimanche. À plusieurs dizaines de mètres au-dessus du sol, fusil à la main, le champion du monde de jet-ski français Franky Zapata a survolé la célèbre avenue parisienne juché sur son "Flyboard Air", un engin de son invention. Grâce à ses cinq réacteurs, cette plateforme permet de voler une dizaine de minutes jusqu'à 190 km/h.