Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Maroc : Noor, la tour solaire du Sahara
Quelques animaux intelligents sur Terre
- Le chimpanzé
- Le cochon
- Le grand dauphin
- Le perroquet
- La baleine
- Le chien
- La pieuvre
- L’éléphant
- L’écureuil
Quelques routes en lignes droites, les plus longues
- L'autoroute 85 (Arabie saoudite)
- ND-46 W (États-Unis)
- L'autoroute 10 (Arabie saoudite)
- US-54 W (États-Unis)
- US-83 S (États-Unis et Canada)
- Eyre Highway (Australie)
- I-10 (États-Unis)
- SK-33 W (Canada)
- I-80 W (États-Unis)
- CO-17 (États-Unis)
Quelques longues routes du monde
- La Route du désert du Tarim
Distance : 552 kilomètres à travers la Chine
Modeste en taille par rapport à ses concurrentes, la Route du désert du Tarim n’en reste pas moins incontournable pour traverser les grands espaces désertiques de Chine sans croiser de villes. Le désert à perte de vue donne une sensation d’immensité face à la couleur dorée du sable et des plaines argileuses. Des paysages dignes du Sahara !
- La Route 66
Distance : 3945 kilomètres de Chicago à la Californie
La Route 66 n’est pas la plus longue du pays, mais c’est sans conteste la plus connue ! Nombreux sont les voyageurs à venir la parcourir en moto ou en voiture de collection. La célèbre route relie Chicago dans l’Illinois à Santa Monica en Californie, sur un parcours de près de 4000 kilomètres. Une destination musique et cinéma incontournable !
- Route 40
Distance : 5200 kilomètres du sud au Nord de l’Argentine.
Goudronnée à moins de 30%, la Route 40 représente une expérience de roadtrip inoubliable. Elle relie Rio Gallegos à La Quiaca non loin de la Bolivie et traverse des cols perchés pour certains à plus de 5000 mètres d’altitude. Une route somptueuse à travers des forêts de cactus, des vignobles, des glaciers et des montagnes haut perchées.
- Route 20
Distance : 5415 kilomètres à travers les Etats-Unis.
Il faut avoir du temps pour parcourir la Route 20 et profiter de ses nombreuses étapes. Beaucoup de temps. Mais le jeu en vaut la chandelle. Cette longue route relie Boston à Newport dans l’Oregon et traverse en chemin des sites incontournables comme le lac Michigan ou le parc national de Yellowstone.
- La RN010
Distance : 5700 kilomètres à travers la Chine
La plus longue nationale de Chine traverse certaines des provinces les plus emblématiques du pays. Elle permet de découvrir de nombreux paysages différents alliant forêts épaisses, hautes montagnes et rizières en terrasses.
- La Transcanadienne
Distance : 8030 kilomètres à travers le Canada
Vaste route qui permet de relier le Canada d’Est en Ouest sur plus de 8000 kilomètres, la Transcanadienne traverse les 10 provinces du pays. Même s’il est difficile de la suivre en entier le temps d’un voyage de quelques semaines seulement, passer par la Transcanadienne permet de découvrir les plus beaux paysages du pays, entre lacs d’altitude, montagnes enneigées et rivières sauvages.
- La Transsibérienne
Distance : 11000 kilomètres de Russie Occidentale en Sibérie
Vous avez trouvé un vol pas cher pour Saint-Pétersbourg et souhaitez relier la ville à Vladivostok en voiture ? Il vous faut pour cela emprunter la Transsibérienne, l’une des routes les plus mythiques au monde. Sur votre chemin : Moscou, la Volga, la Sibérie, les monts de l’Oural… Dépaysement assuré
- La Highway 1
Distance : 14500 kilomètres tout autour de l’Australie
Imaginez-vous faire le tour d’un pays grand comme 12 fois la France… C’est exactement ce que vous propose la Highway 1 ! Ce long réseau de route relie les plus grandes villes de la côte australienne entre elles, dont Brisbane, Sydney, Melbourne et Perth, sans jamais véritablement passer par l’intérieur des terres.
- L’AH1
Distance : 20500 kilomètres à travers l’Asie
À réserver pour un tour du monde, l’AH1 relie Istanbul en Turquie à Tokyo au Japon, sur un parcours de plus de 20000 kilomètres à travers l’Iran, l’Afghanistan, l’Inde, la Thaïlande, le Vietnam, la Chine… La Route Asiatique 1 est également censée passer par la Corée du Nord, mais nous vous déconseillons vivement cette étape !
- La Panaméricaine
Distance : 48000 kilomètres à travers l’Amérique
Aussi connue sous le nom de Transaméricaine, la Panaméricaine parcourt les Amériques du Nord jusqu’au Sud, reliant l’Alaska jusqu’à la Terre de Feu à travers une quinzaine de pays. Comptez plusieurs mois – voire plusieurs années – pour parcourir cette incroyable route à travers le continent américain.
La Schizophrénie
- Qu'est-ce que la schizophrénie ?
C'est une maladie mentale qui affecte la pensée, le système émotionnel ainsi que les comportements de la personne qui en souffre. Cette maladie qui apparaît généralement au début de l'âge adulte (dans 85% des cas) et touche un peu moins de 1 % de la population (environ 1 personne sur 100). Elle se traduit par l'association de troubles du fonctionnement mental regroupés sous l'appellation de syndrome dissociatif, et d'un délire permanent du patient, c'est-à-dire des idées et des pensées fausses qui sont en désaccord complet avec la réalité des faits. Elle peut aussi être associée à des hallucinations auditives et visuelles et à un syndrome autistique, c'est-à-dire un repli sur soi et des difficultés dans les relations sociales. Les personnes schizophrènes souffrent aussi souvent de paranoïa et pensent que des complots sont dirigés contre elles.
La schizophrénie est une pathologie psychiatrique qui évolue sous une forme chronique dans le temps. Même si elle ne peut pas être soignée, sa prise en charge permet au patient d'avoir une qualité de vie la plus normale possible. Les causes de cette pathologie ne sont pas connues précisément.
- Types de schizophrénie
- Schizophrénie dysthymique ou affective
La schizophrénie dysthymique (parfois appelée trouble schizo-affectif ou psychose aiguë schizo-affective) est une forme de schizophrénie qui affecte en particulier les émotions et les facultés cognitives. Les crises sont généralement accompagnées de manies et/ou de dépressions avec une tendance suicidaire. Le sujet peut être victime de manie, de délires et de paranoïa. Le traitement repose sur la psychothérapie et la prise de neuroleptiques (médicaments tranquillisants), combinés parfois à des antidépresseurs.
- Schizophrénie hébéphrénique
Dans cette forme, qui représente environ 20 % des schizophrénies, la maladie débute tôt, au cours de l'adolescence, et ce sont le syndrome dissociatif et le retrait qui sont au premier plan. Les éléments délirants sont souvent absents, le langage est incohérent mais la personne parait indifférente au monde extérieur malgré une forte anxiété. Les patients refusent souvent les traitements, ce qui en fait la forme la plus résistante aux thérapeutiques.
- Schizophrénie catatonique
Dans les formes catatoniques, les symptômes corporels (à type de raideur, de maintien d'attitudes), et le déficit cognitif (avec absence d'initiatives, fléchissement des habilités, l'indifférence affective, mutisme) prédominent et isolent les malades socialement. Certains troubles du langage et du cours de la pensée sont présents comme la répétition en écho ou le mimétisme. Le traitement est difficile et doit viser à maintenir une alimentation et une vie relationnelle. C'est la forme de schizophrénie la plus grave.
Symptômes : propos absurdes, sentiment de persécution...
Les manifestations de la schizophrénie sont très diverses. Globalement, elles reposent néanmoins sur l'existence d'un syndrome dissociatif, l'association à un délire et une évolution vers un "repli autistique", c'est-à-dire un repli sur soi avec une diminution voire une perte totale des relations à l'autre, et un isolement.
L'existence d'un syndrome dissociatif se caractérise par des troubles du fonctionnement normal du cerveau, ou dissociation intellectuelle, pouvant prendre la forme de troubles de la logique avec des propos absurdes, une pensée désorganisée se manifestant par des coq-à-l'âne ou des troubles du langage avec utilisation de mots n'existant pas ; des troubles du comportement, le schizophrénique étant fréquemment qualifié de bizarre ou d'original ; des troubles émotionnels, avec une certaine indifférence ou au contraire une exagération des affections. Enfin, l'association à un délire peut se traduire par exemple par un sentiment de persécution ou des convictions absurdes de certaines capacités, comme le fait de pouvoir influer sur les autres par la pensée ou que des choses extérieures s'adressent particulièrement à soi.
Symptômes : propos absurdes, sentiment de persécution...
Les manifestations de la schizophrénie sont très diverses. Globalement, elles reposent néanmoins sur l'existence d'un syndrome dissociatif, l'association à un délire et une évolution vers un "repli autistique", c'est-à-dire un repli sur soi avec une diminution voire une perte totale des relations à l'autre, et un isolement.
L'existence d'un syndrome dissociatif se caractérise par des troubles du fonctionnement normal du cerveau, ou dissociation intellectuelle, pouvant prendre la forme de troubles de la logique avec des propos absurdes, une pensée désorganisée se manifestant par des coq-à-l'âne ou des troubles du langage avec utilisation de mots n'existant pas ; des troubles du comportement, le schizophrénique étant fréquemment qualifié de bizarre ou d'original ; des troubles émotionnels, avec une certaine indifférence ou au contraire une exagération des affections. Enfin, l'association à un délire peut se traduire par exemple par un sentiment de persécution ou des convictions absurdes de certaines capacités, comme le fait de pouvoir influer sur les autres par la pensée ou que des choses extérieures s'adressent particulièrement à soi.
Causes
La schizophrénie n'a pas de cause unique connue. Comme beaucoup d'autres maladies psychiques, elle semble due à un ensemble de facteurs qui interagissent : génétique, environnemental, éducationnel... La consommation de cannabis à un jeune âge est aussi considérée comme un facteur de risque.
Causes
La schizophrénie n'a pas de cause unique connue. Comme beaucoup d'autres maladies psychiques, elle semble due à un ensemble de facteurs qui interagissent : génétique, environnemental, éducationnel... La consommation de cannabis à un jeune âge est aussi considérée comme un facteur de risque.
Personnes à risque
Les membres de la famille d'un schizophrène ont dix fois plus de risque de développer la maladie que l'ensemble de la population. Avoir un membre de sa famille schizophrène augmente donc les risques, tout comme la consommation régulière de cannabis qui multiplie par 3 le risque de développer une schizophrénie, en particulier lors d'une consommation à l'adolescence.
Les symptômes doivent persister plus de 6 mois.
Diagnostic et test
Le diagnostic de la schizophrénie n'est pas facile à établir. Pour être pris en compte, les symptômes doivent persister plus de six mois, et un certain retentissement doit avoir lieu sur la personne. Des critères précis sont définis pour porter le diagnostic de schizophrénie. Un bilan complémentaire avec un bilan sanguin, l'absence d'intoxication et une imagerie cérébrale sont néanmoins nécessaires pour éliminer une cause organique.
Qui consulter ?
Le psychiatre est le médecin spécialiste des maladies mentales, et donc de la schizophrénie, à la fois pour le diagnostic, le traitement et le suivi.
Traitement : comment vivre avec une schizophrénie ?
Pour traiter la schizophrénie, les médecins préconisent un traitement pluridisciplinaire avec une prise en charge par un psychiatre, un psychologue, un assistant social et un infirmier. La famille joue souvent un rôle prépondérant dans cette prise en charge.
Il est difficile d'imaginer une personne souffrant de schizophrénie mener une vie comme tout un chacun. Les symptômes de la maladie, quels qu'ils soient (délire, hallucinations verbales, affaiblissement de la volonté, manque d'énergie, activité désordonnée, langage personnel, comportement décalé...) sont un frein réel à un quotidien classique. Par exemple, trouver un logement est très difficile pour les malades et la plupart d'entre eux retournent dans leur famille après une première hospitalisation. La charge qui incombe aux proches est très lourde et c'est pourquoi il peut leur être très utile de se tourner vers les associations. "Après traitement et selon la forme de la maladie, il est possible pour certains patients de mener une vie normale : se marier, avoir des enfants, un travail, un logement. Pour d'autres, l'acquisition d'une certaine autonomie (prendre son traitement, avoir un travail, s'occuper de soi) est un objectif raisonnable. Enfin, d'autres auront toujours besoin d'assistance. De nombreux éléments sont à prendre en compte, mais la prise en charge aide toujours les patients, d'une manière ou d'une autre."
Les neuroleptiques sont au cœur du traitement médicamenteux de la schizophrénie. Ils agissent en particulier sur les symptômes positifs et plus particulièrement sur le délire, qu'ils permettent de bien juguler. "Ils sont moins efficaces sur les hallucinations verbales. Le principe est de rétablir un équilibre. Autre pan du traitement, en plus des médicaments, la remédiation cognitive permet quant à elle de travailler sur les symptômes négatifs de la maladie. C'est une méthode d'entraînement de certains processus cérébraux : attention, mémoire, concentration, etc. Grâce au traitement, les malades peuvent avoir l'espoir de reprendre un travail, de vivre de manière autonome... "Le principe est d'arriver à stabiliser la maladie et d'aboutir à une rémission car il est certain qu'il n'est pas possible de guérir, dans le sens littéral du terme, de la maladie. D'une manière ou d'une autre, on arrive toujours à les aider et dans les meilleurs des cas, ils arrivent même à devenir autonomes." Les patients suivent également une psychothérapie qui leur permet de faire le point sur l'évolution des symptômes, les effets des traitements et les événements qui ont pu le déstabiliser. La psychothérapie a pour objectif de diminuer à la fois es symptômes positifs, négatifs, cognitifs, comportementaux, et affectifs en tenant compte de la phase de la maladie et des besoins particuliers du patient. C'est une approche essentielle dans le traitement de la maladie pour évacuer les souffrances dues au psychose du patient.
Schizophrènes : sont-ils dangereux ?
Dans la mesure où les personnes souffrant de schizophrénie peuvent être sujettes aux hallucinations verbales, il est certain que leur comportement peut être déroutant d'une part, mais surtout potentiellement dangereux, tant pour eux que pour leur entourage. Il est souvent très difficile pour la famille de faire face aux problèmes comportementaux de l'un des leurs. Par ailleurs, la schizophrénie souffre d'une mauvaise image et la maladie du patient est alors taboue. De ce fait, l'accès aux soins des malades est bien souvent tardif. C'est d'ailleurs pour cela que les cas de suicides sont très fréquents chez les personnes souffrant de schizophrénie.
Lorsqu'il y a passage à l'acte sur autrui, ce qui reste tout de même assez rare, le malade a une motivation bien précise et le fait le plus souvent par erreur. Par exemple, il lui est possible de penser que l'un de ses proches a été remplacé par un sosie ou qu'il a des idées malfaisantes à son égard. Ce n'est pas une généralité, ces cas sont assez rares, et il n'est pas utile de s'inquiéter plus que de raison. Il est très important que les proches ne soient pas dans le déni, qu'ils maintiennent le dialogue avec le malade, qu'ils l'amènent à consulter... Même s'il est difficile pour eux d'admettre que l'un des leurs est atteint de schizophrénie.
Pour améliorer la vie du patient et l'aider à surmonter ses troubles, il est nécessaire de consulter au plus vite. "Comme dans bien des cas, plus la prise en charge est précoce, plus le traitement est efficace. Le délire, en particulier, est réversible, il est possible d'améliorer la vie du patient. En cas de danger imminent pour lui ou un tiers, il faut absolument appeler les secours (les pompiers au 18). S'il y a une urgence et en cas de danger, d'hospitaliser un malade sans son consentement sur la demande d'un tiers.
Personnes à risque
Les membres de la famille d'un schizophrène ont dix fois plus de risque de développer la maladie que l'ensemble de la population. Avoir un membre de sa famille schizophrène augmente donc les risques, tout comme la consommation régulière de cannabis qui multiplie par 3 le risque de développer une schizophrénie, en particulier lors d'une consommation à l'adolescence.
Les symptômes doivent persister plus de 6 mois.
Diagnostic et test
Le diagnostic de la schizophrénie n'est pas facile à établir. Pour être pris en compte, les symptômes doivent persister plus de six mois, et un certain retentissement doit avoir lieu sur la personne. Des critères précis sont définis pour porter le diagnostic de schizophrénie. Un bilan complémentaire avec un bilan sanguin, l'absence d'intoxication et une imagerie cérébrale sont néanmoins nécessaires pour éliminer une cause organique.
Qui consulter ?
Le psychiatre est le médecin spécialiste des maladies mentales, et donc de la schizophrénie, à la fois pour le diagnostic, le traitement et le suivi.
Traitement : comment vivre avec une schizophrénie ?
Pour traiter la schizophrénie, les médecins préconisent un traitement pluridisciplinaire avec une prise en charge par un psychiatre, un psychologue, un assistant social et un infirmier. La famille joue souvent un rôle prépondérant dans cette prise en charge.
Il est difficile d'imaginer une personne souffrant de schizophrénie mener une vie comme tout un chacun. Les symptômes de la maladie, quels qu'ils soient (délire, hallucinations verbales, affaiblissement de la volonté, manque d'énergie, activité désordonnée, langage personnel, comportement décalé...) sont un frein réel à un quotidien classique. Par exemple, trouver un logement est très difficile pour les malades et la plupart d'entre eux retournent dans leur famille après une première hospitalisation. La charge qui incombe aux proches est très lourde et c'est pourquoi il peut leur être très utile de se tourner vers les associations. "Après traitement et selon la forme de la maladie, il est possible pour certains patients de mener une vie normale : se marier, avoir des enfants, un travail, un logement. Pour d'autres, l'acquisition d'une certaine autonomie (prendre son traitement, avoir un travail, s'occuper de soi) est un objectif raisonnable. Enfin, d'autres auront toujours besoin d'assistance. De nombreux éléments sont à prendre en compte, mais la prise en charge aide toujours les patients, d'une manière ou d'une autre."
Les neuroleptiques sont au cœur du traitement médicamenteux de la schizophrénie. Ils agissent en particulier sur les symptômes positifs et plus particulièrement sur le délire, qu'ils permettent de bien juguler. "Ils sont moins efficaces sur les hallucinations verbales. Le principe est de rétablir un équilibre. Autre pan du traitement, en plus des médicaments, la remédiation cognitive permet quant à elle de travailler sur les symptômes négatifs de la maladie. C'est une méthode d'entraînement de certains processus cérébraux : attention, mémoire, concentration, etc. Grâce au traitement, les malades peuvent avoir l'espoir de reprendre un travail, de vivre de manière autonome... "Le principe est d'arriver à stabiliser la maladie et d'aboutir à une rémission car il est certain qu'il n'est pas possible de guérir, dans le sens littéral du terme, de la maladie. D'une manière ou d'une autre, on arrive toujours à les aider et dans les meilleurs des cas, ils arrivent même à devenir autonomes." Les patients suivent également une psychothérapie qui leur permet de faire le point sur l'évolution des symptômes, les effets des traitements et les événements qui ont pu le déstabiliser. La psychothérapie a pour objectif de diminuer à la fois es symptômes positifs, négatifs, cognitifs, comportementaux, et affectifs en tenant compte de la phase de la maladie et des besoins particuliers du patient. C'est une approche essentielle dans le traitement de la maladie pour évacuer les souffrances dues au psychose du patient.
Schizophrènes : sont-ils dangereux ?
Dans la mesure où les personnes souffrant de schizophrénie peuvent être sujettes aux hallucinations verbales, il est certain que leur comportement peut être déroutant d'une part, mais surtout potentiellement dangereux, tant pour eux que pour leur entourage. Il est souvent très difficile pour la famille de faire face aux problèmes comportementaux de l'un des leurs. Par ailleurs, la schizophrénie souffre d'une mauvaise image et la maladie du patient est alors taboue. De ce fait, l'accès aux soins des malades est bien souvent tardif. C'est d'ailleurs pour cela que les cas de suicides sont très fréquents chez les personnes souffrant de schizophrénie.
Lorsqu'il y a passage à l'acte sur autrui, ce qui reste tout de même assez rare, le malade a une motivation bien précise et le fait le plus souvent par erreur. Par exemple, il lui est possible de penser que l'un de ses proches a été remplacé par un sosie ou qu'il a des idées malfaisantes à son égard. Ce n'est pas une généralité, ces cas sont assez rares, et il n'est pas utile de s'inquiéter plus que de raison. Il est très important que les proches ne soient pas dans le déni, qu'ils maintiennent le dialogue avec le malade, qu'ils l'amènent à consulter... Même s'il est difficile pour eux d'admettre que l'un des leurs est atteint de schizophrénie.
Pour améliorer la vie du patient et l'aider à surmonter ses troubles, il est nécessaire de consulter au plus vite. "Comme dans bien des cas, plus la prise en charge est précoce, plus le traitement est efficace. Le délire, en particulier, est réversible, il est possible d'améliorer la vie du patient. En cas de danger imminent pour lui ou un tiers, il faut absolument appeler les secours (les pompiers au 18). S'il y a une urgence et en cas de danger, d'hospitaliser un malade sans son consentement sur la demande d'un tiers.
Combats en Éthiopie : l'origine des tensions dans la région du Tigré
L'armée Ethiopienne mène depuis dix jours une opération contre les forces locales qui, selon le Premier ministre AbiyAhmed, sont "à l'agonie".
Quelques grands lacs du monde
- La mer Caspienne
La mer Caspienne étant bordée par 5 pays, les occasions pour vous y tremper les pieds seront nombreuses ! Vous pourrez séjourner à Téhéran, ou encore à Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan par exemple.
- Le lac Supérieur
- Le lac Victoria
- Le lac Huron
- Le lac Michigan
- Le lac Baïkal
Au coeur de la Sibérie, ce trésor russe n’est pas facile d’accès et se mérite ! Vous pouvez par exemple vous envoler pour Moscou puis traverser la Russie avec le train Transsibérien, pour arriver au lac Baïkal.
- Le lac Tanganyika
- Le grand lac de l’Ours
Tout comme le lac Baïkal en Sibérie, l’accès au grand lac de l’Ours au nord du Canada se mérite ! Il vaut mieux séjourner à Vancouver ou de trouver un hôtel à Calgary puis de parcourir le Canada en train ou en voiture.
- Le lac Malawi
- Le grand lac des Esclaves.
Situé au Canada, il est le lac le plus profond d’Amérique du Nord et possède une superficie de 28 930 km2. Ce grand lac tient son nom des Slavey, l’une des tribus des Premières Nations. Il se trouve non loin du grand lac de l’Ours, vous pourrez donc étendre votre road-trip depuis Vancouver et faire un détour par le grand des Esclaves.- La mer d'Aral se situe entre le Kazakhstan et l'Ouzbékistan.
- Le Grand Lac Salé, "Great Salt Lake" dans l'Utah aux Etats-Unis : C'est le 4e plus grand du monde, et le 1er lac salé du continent américain. Selon les précipitations, la superficie du lac varie de 4 400 km2 à 8 547 km2 selon les années. Il est situé à plus de 1 200 mètres d'altitude et adoucit les températures de la région. Le climat est de type continental aride, avec des hivers froids et des étés chauds. La salinité varie selon les endroits du lac. Les zones du nord et de l'est du lac abritent de nombreux oiseaux migrateurs et le seul animal vivant dans le lac est l'artémie, des petits crustacés ressemblant à des crevettes.
- Le lac Namtso, un lac sacré du Tibet : Il situé à 4 718 m au-dessus du niveau de la mer. C'est un lieu saint du bouddhisme tibétain et tous les 12 ans, une cérémonie est organisée sur les rives du lac, pour l'année du mouton. Les rives du lac sont fréquentées par des yacks sauvages et des antilopes tibétaines. Il est le lac salé le plus élevé du monde.
- La mer Morte, lac salé le plus bas du monde (417 m sous le niveau de la mer), a une superficie de 1 050 km2 et une salinité d'environ 27,5% soit 275 grammes de sel par litre d'eau. La mer Morte est situé au Proche-Orient, entre Israël, la Jordanie et la Palestine. Comme la mer d'Aral, la mer Morte a perdu le tiers de sa superficie en 50 ans à cause de l'agriculture et la surexploitation du Jourdain, la principale source d'eau douce. C'est une véritable catastrophe écologique.
- Le lac Assal au centre de Djibouti, situé à 153 m en-dessous du niveau de la mer, ce qui en fait le point le plus bas du continent africain. Il est entouré de volcans. C'est l'un des endroits les plus chauds la planète : il peut faire plus de 55°C !
- Le lac Qinghai, le plus grand lac de Chine situé dans la région de l'Amdo, est un lac d'altitude sur le plateau Qinghai-Tibet, situé à 3 205 m au-dessus de niveau de la mer et totalement couvert de glace en hiver.
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Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...