Pour les rickshawalas de Calcutta, encore appelés les hommes chevaux, la mousson est une bénédiction. C’est un peu grâce à elle que le métier n’a pas disparu malgré plusieurs tentatives du gouvernement régional de mettre fin a une pratique jugée cruelle et d’un autre âge. Une mauvaise image pour l’Inde, surtout. La vie des rickshawalas n’est certes pas facile, mais pour beaucoup d’entre eux, c’est le seul moyen de subsister. Et les habitants y trouvent leur compte car pendant la saison des pluies il est parfois impossible de se déplacer en véhicule motorisé dans les rues de la capitale du Bengale Occidental. Ils avancent pieds nus , l’eau jusqu’au mollet, précédés du son de leur clochette qu’ils agitent pour se frayer un passage.
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
-
Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
-
Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...
-
Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire