Pour les rickshawalas de Calcutta, encore appelés les hommes chevaux, la mousson est une bénédiction. C’est un peu grâce à elle que le métier n’a pas disparu malgré plusieurs tentatives du gouvernement régional de mettre fin a une pratique jugée cruelle et d’un autre âge. Une mauvaise image pour l’Inde, surtout. La vie des rickshawalas n’est certes pas facile, mais pour beaucoup d’entre eux, c’est le seul moyen de subsister. Et les habitants y trouvent leur compte car pendant la saison des pluies il est parfois impossible de se déplacer en véhicule motorisé dans les rues de la capitale du Bengale Occidental. Ils avancent pieds nus , l’eau jusqu’au mollet, précédés du son de leur clochette qu’ils agitent pour se frayer un passage.
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