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Les Marocains délaissent le français pour l’anglais.


Alors que de plus en plus de lycéens se tournent vers la langue de Shakespeare, les établissements anglophones se multiplient dans les grandes villes du royaume.


Au Maroc, l’anglais attire de plus en plus de lycéens. Et pour répondre à la demande, les établissements anglophones se multiplient dans les grandes villes, en concurrence directe avec un réseau français encore très présent – c’est le deuxième au monde après celui du Liban. Aux très installées écoles américaines à Rabat, Tanger ou Casablanca s’ajoutent de nouvelles écoles anglophones, comme la British International School de Casablanca ou la London Academy, ouvertes en 2017. Ces structures privées ont pour la plupart obtenu une accréditation, comme le Cambridge Assessment (une dizaine d’écoles) ou l’International Baccalauréat (IB, quatre établissements), reconnus dans la plupart des universités mondiales.
Etre accrédité « IB » garantit un diplôme à la fin du lycée ainsi qu’un certain cadre éducatif dès l’école primaire. « Au Maroc, l’intérêt augmente surtout aux niveaux du primaire et du secondaire. Et dans ces écoles anglophones, les élèves marocains sont plus nombreux que les étrangers », constate Nicholas Lyddon, responsable développement de l’IB en Afrique. « Les élèves ont l’embarras du choix dans les diplômes délivrés et bénéficient de cette concurrence », analyse-t-il, même si le bac français reste encore le plus délivré des diplômes internationaux au Maroc.

Au Maroc, la cochenille ravage les plantations de figues de barbarie


Au Maroc, les plantations de figues de barbarie sont ravagées par la cochenille spécifique du cactus. Ces insectes parasites prolifèrent de manière alarmante dans ces champs et se propagent dans plusieurs régions productrices de ce fruit.
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Le parasite ravageur qui a été détecté, depuis 2014 dans la province de Sidi Bennour, et a été jugé «sans danger, ni pour la santé humaine ni pour la santé animale ». Il s’étend actuellement de façon fulgurante à d’autres zones agricoles, ce qui suscite la crainte des agriculteurs et des autorités du pays.
Pour faire face à cette situation alarmante, une commission technique composée de l’ORMVAD (Office régional de mise en valeur agricole des Doukkala) et de l’ONSSA a été mise en place. Elle a pour buts d’effectuer des visites techniques au niveau des zones touchées, de diagnostiquer le problème et surtout de trouver une solution afin d’éradiquer le parasite.
Pour l’heure, il n’existe aucun pesticide pour lutter contre le parasite. Les seules instructions données aux agriculteurs se limitent à l’arrachage et à l’incinération des figues touchées.
Par ailleurs, les services régionaux du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime rassurent la population rurale que ce parasite ne présente pas d’effets néfastes sur la santé humaine et animale.
Ces  figues sont décidément les mal-aimées des civilisations, les Marocains les appelant « karmouss nsara » (figues des chrétiens) et les Français  les indiquant par le nom de figues de barbarie… Chacun les éloignant de lui  et les imputant à l’autre.