Dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, les autorités sanitaires marocaines ont décidé de recourir à la chloroquine pour traiter les patients atteints de la maladie. Largement médiatisée depuis quelques semaines, l’efficacité de la molécule fait débat.
Pour Khalid Ait Taleb, Ministre de la Santé Publique au Maroc, la chloroquine a confirmé ses résultats positifs. Après avoir adressé une circulaire le 23 mars aux établissements hospitaliers, leur recommandant d’utiliser la chloroquine pour traiter les malades.
Depuis que sévit la pandémie du Covid-19 dans le monde, de nombreuses substances sont listées au sein de l’OMS comme de potentielles solutions de traitement, actuellement en test ou en passe de l’être. Parmi ces substances, la plus médiatisée reste la chloroquine, un antipaludéen peu onéreux et commercialisé à grande échelle depuis des décennies. Choisie par les autorités sanitaires marocaines pour traiter les patients atteints du coronavirus, la molécule est-elle une réelle option pour soigner le mal ou feu de paille ?
Médicament miracle ?
Certains pays ont accepté de mettre en place “un essai clinique étendu” de traitement à base de chloroquine, comme l’a décidé l’organisme fédéral américain Food and Drug Administration (FDA) il y a quelques jours.
Pour Khalid Ait Taleb, Ministre de la Santé Publique au Maroc, la chloroquine a confirmé ses résultats positifs. Après avoir adressé une circulaire le 23 mars aux établissements hospitaliers, leur recommandant d’utiliser la chloroquine pour traiter les malades.
Médicament miracle ?
Certains pays ont accepté de mettre en place “un essai clinique étendu” de traitement à base de chloroquine, comme l’a décidé l’organisme fédéral américain Food and Drug Administration (FDA) il y a quelques jours.