La couverture de la commune d’Ain Défali, en matière d’infrastructure sanitaire, reste insuffisante par :
- le manque du personnel de santé qualifié et des produits de soins,
- le manque d’équipement sanitaire,
- un nombre important d’accouchements non assistés,
- l’ignorance des règles d’hygiène dans le milieu rural,
- le manque de pharmacie,
- le manque de médecins privés (généralistes et spécialistes),
- le nombre d’ambulances disponibles,
- le manque de chirurgiens dentistes.
L’unique unité de soins existante ne peut répondre aux besoins de santé de cette commune dont le nombre d’habitants est estimé à plus de 30 000 âmes. Pour faire une injection ou un simple pansement les citoyens sont contraints de se déplacer et débourser pas moins de 20 à 200 dirhams représentant les frais de transport et tout ce qui s’en suit. Par ailleurs, vu l’affluence que connaît quotidiennement ce centre de santé, la plupart des malades préfèrent se diriger vers l’hôpital d’Ouezzane ou vers les établissements sanitaires de Sidi Kacem, Fès, Meknès, Rabat et Kénitra. En tout cas, dans la perspective d’un découpage administratif qui fera de la commune d’Ain Défali une Daïra, la réalisation d’un centre hospitalier reste une revendication constante de la population locale et d’au moins trois autres dispensaires dispatchés au niveau des douars périphériques. Nous appelons les autorités concernées à intervenir pour prendre en charge nos doléances. Nous demandons juste nos droits les plus élémentaires, particulièrement le droit d’accès convenable à la santé publique.
- le manque du personnel de santé qualifié et des produits de soins,
- le manque d’équipement sanitaire,
- un nombre important d’accouchements non assistés,
- l’ignorance des règles d’hygiène dans le milieu rural,
- le manque de pharmacie,
- le manque de médecins privés (généralistes et spécialistes),
- le nombre d’ambulances disponibles,
- le manque de chirurgiens dentistes.
L’unique unité de soins existante ne peut répondre aux besoins de santé de cette commune dont le nombre d’habitants est estimé à plus de 30 000 âmes. Pour faire une injection ou un simple pansement les citoyens sont contraints de se déplacer et débourser pas moins de 20 à 200 dirhams représentant les frais de transport et tout ce qui s’en suit. Par ailleurs, vu l’affluence que connaît quotidiennement ce centre de santé, la plupart des malades préfèrent se diriger vers l’hôpital d’Ouezzane ou vers les établissements sanitaires de Sidi Kacem, Fès, Meknès, Rabat et Kénitra. En tout cas, dans la perspective d’un découpage administratif qui fera de la commune d’Ain Défali une Daïra, la réalisation d’un centre hospitalier reste une revendication constante de la population locale et d’au moins trois autres dispensaires dispatchés au niveau des douars périphériques. Nous appelons les autorités concernées à intervenir pour prendre en charge nos doléances. Nous demandons juste nos droits les plus élémentaires, particulièrement le droit d’accès convenable à la santé publique.