Le coronavirus qui sévit principalement en Chine présente des niveaux de mortalité et de contagiosité plutôt bas. Il peut désormais muter, disparaître ou devenir beaucoup plus dangereux.
Apparu en décembre 2019 sur un marché de Wuhan, au centre de la Chine, le coronavirus est encore mal connu. Il est devenu, le 30 janvier, une urgence sanitaire au niveau de toute la planète.
Sa mortalité, autour de 2 % selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), reste en dessous de celle du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), qui avait fait 774 victimes entre novembre 2002 et l’été 2003, avec un taux de mortalité de 9,7 %, loin derrière Ebola et la grippe aviaire, à respectivement 50 % et 60 % de taux de mortalité. Quant à sa contagiosité, elle reste, elle aussi, plutôt limitée.
Mais le problème avec les virus, c’est leur tendance à muter. Ils développent au fil du temps des capacités qui peuvent les aider à devenir plus mortels, ou plus contagieux.
Sa mortalité, autour de 2 % selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), reste en dessous de celle du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), qui avait fait 774 victimes entre novembre 2002 et l’été 2003, avec un taux de mortalité de 9,7 %, loin derrière Ebola et la grippe aviaire, à respectivement 50 % et 60 % de taux de mortalité. Quant à sa contagiosité, elle reste, elle aussi, plutôt limitée.
Mais le problème avec les virus, c’est leur tendance à muter. Ils développent au fil du temps des capacités qui peuvent les aider à devenir plus mortels, ou plus contagieux.