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La mystérieuse plaine des jarres au Laos


La plaine des jarres est un site archéologique qui se situe dans la province de Xieng Khouang, dans les environs de la ville de Phonsavan. Ce site est daté entre 5000 avant JC et 800 après JC et serait l’œuvre des premiers habitants de la péninsule indochinoise. Mais les jarres ne disposant pas d’inscriptions, le mystère reste complet quant à leur origine, leur utilité et leur signification.On ne peut qu’observer ces gigantesques mégalithes pesants entre 600kg et 7 tonnes, sans savoir comment ni pourquoi ils se situent à cet endroit. Ce site fait partie de la lignée des grands mystères antiques, à l’instar des Moais de l’île de Pâques ou de Stonehenge. Pour le moment, on peut seulement confirmer que ces jarres proviennent d’une montagne de grès située à cheval entre Louang Prabang et Xieng Khouang.

La découverte des plaines

C’est en 1930 que les premières études sont réalisées sur le site par l’archéologue Française Madeleine Colani. C’est en 1898 qu’elle embarque pour l’Indochine pour devenir institutrice puis professeure d’histoire naturelle à Hanoï. Ses travaux en science et en géologie lui valent la reconnaissance de l’archéologue et orientaliste Louis Finot, explorateur des sites d’Angkor et directeur de l’École Française d’Extrême Orient. C’est d’ailleurs cette institution qui missionnera Madeleine Colani d’explorer et d’étudier la plaine des jarres.
L’archéologue se lance donc dans ses recherches et découvre les restes d’une cheminée. Ainsi que des restes humains calcinés dans une grotte des alentours de la plaine. Ainsi, elle en déduit dans un premier temps que ce site était à vocation funéraire dans son ouvrage Les mégalithes du Laos. Les études de Madeleine Colani s’achèvent avec la guerre et ne reprennent que plusieurs décennies plus tard, à la fin des grands conflits qui ont secoué la région.
Cependant, les travaux de l’archéologue resteront une référence pour l’ensemble des chercheurs qui se sont intéressés à la plaine des jarres.


Quelle fut la fonction des jarres ?
La grande question qui se pose encore à l’heure actuelle est : à quoi pouvaient bien servir ces gigantesques jarres de plusieurs tonnes disséminées sur près 1000 km² ?
Tout d’abord, il est important de noter que la taille des jarres peut varier très grandement. Il faut également noter que des pillards ont dérobé la grande majorité des plus petites urnes. Mais on trouve encore de nos jours des jarres de 1 à 3 mètres de haut. Et atteignant parfois plus de 8 mètres de diamètre. De plus, près de certaines des jarres, des couvercles ont été mis au jour, ce qui pourrait signifier qu’elles furent (au moins pour un temps) fermées.


De nombreuses légendes racontées par les locaux, notamment aux touristes, ont donc émergé. Certaines évoquent un moyen d’entreposer de la nourriture, de l’eau de pluie ou encore de procéder à la fermentation d’alcool.

Les études les plus récentes
Mais des études plus récentes, dont celles de l’Australien Douglas O’Reilly, tendent à confirmer la première hypothèse émise par Madeleine Colani. En effet, des urnes de petites tailles contenant des ossements humains, entourées de ce qui semble être des offrandes (objets de bronze, coquillages, perles…), ont été découvertes à proximité du site. Puis, en 2016, une sépulture datée de 2500 ans a été mis au jour. Cela semble donc confirmer l’hypothèse d’un site destinés aux rites funéraires.
Douglas O’Reilly a donc émis l’hypothèse que les gigantesques jarres auraient donc pu être des tombes temporaires. Notamment le temps de la décomposition du corps. Cependant, on ne peut pas émettre une idée claire sur la raison de ce rituel.
Même si le mystère s’éclaircit à mesure des recherches, le site de la plaine des jarres reste toujours entouré d’un grand nombre de questions. Des hypothèses peuvent être émises, mais des preuves scientifiques sont difficiles à mettre au jour sur le site. C’est ce voile d’énigmes qui entoure la plaine des jarres qui fait aussi une partie de sa renommée.

Fête des lumières au Laos

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En octobre, à la fin du carême bouddhiste

C’est le jour du rite de « Lai Heua Fai » ou littérallement « Festival des Bateaux en Feu », qui consiste à laisser filer sur l’eau des embarcations illuminées sur le Mékong.
Toutes les familles de Laotiens auront à coeur de confectionner elles-mêmes (ou d’acheter aux petits vendeurs de rue) au moins un élément flottant (souvent une sorte de jonque ou de soucoupes flottantes) fait de bambou, de tronc et de feuille de palmier, de papier Saa (papier local à base d’écorce de mûrier) de toutes les couleurs.


Little boat for all the families, to show respect to the Mother Water


Des voeux seront émis lors du lâchage sur le Mékong, et ce sont ainsi quelques milliers d’élements flottants de toute sorte qui partiront au gré des courants.
Les plus grosses fabrications abritent des lampes à pétrole confectionnées avec des bouteilles de Redbull ainsi que des billets de banque que les enfants des villages situés en aval pourront recueillir.
A la tombée de la nuit s’ouvre le défilé des jonques bigarrées et illuminées que chaque village aura fabriquées durant la semaine qui précède cette fête. Chacune rivalise d’ingéniosité et doit se montrer à la hauteur de son village (une vingtaine à Luang Prabang) puisqu’un vote final clot ce festival, assurément le plus beau de l’année. Le défilé dure plus d’une heure pour se terminer au Vat Xieng Thong, le temple situé en bout de péninsule.
 
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Puis ces grandes embarcations sont mises à l’eau, vers leur destinée (couler à pic, ou naviguer quelques kilomètres avant de se renverser ou de s’échouer


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