Le tristement célèbre Triangle des Bermudes a toujours fasciné les spécialistes. Comment cette région si particulière du globe a-t-elle pu coûter tant de vies ? Pourquoi tous ces avions et ces navires ont-ils disparu alors qu’ils étaient précisément dans cette zone ? Des chercheurs semblent avoir enfin trouvé la réponse.
La découverte de cratères géants en Norvège dans la mer de Barents pourrait permettre l'explication des disparitions mystérieuses survenues dans le triangle des Bermudes.
Ces cratères insolites, pouvant atteindre 800 mètres de large et 45 mètres de profondeurs, auraient été causés par l'explosion de poches géantes de méthane accumulé dans les fonds marins. Habituellement stabilisé sous forme de glace, le méthane retrouverait son état gazeux suite au à la fonte du permafrost sous-marin due au réchauffement climatique, avant de créer un monticule capable d'exploser à tout moment. Cette explosion libérant le gaz à la surface, changerait ainsi la densité de l'eau et serait donc responsable du naufrage des navires. Les bateaux sont normalement portés par l'eau, la masse liquide qu'ils déplacent étant supérieure à leur propre masse. Mais si l'eau est remplacée par des bulles de gaz, alors cet effet de portance est perdu.
Pour les avions aussi, ces bulles de méthane peuvent s'avérer dangereuses et expliqueraient le crash soudain des aéronefs passant au-dessus, en déréglant leurs moteurs et leurs sondes.
Ce phénomène, déjà observé en Sibérie (cratère de Yamal) et a de nouveau été constaté au large des côtes norvégiennes plus récemment. Cependant, les fonds marins du tristement célèbre triangle des Bermudes n'ayant pas encore été explorés, cette théorie n'a pas encore été vérifiée et en reste pour l'instant au stade de l'hypothèse.
Ce phénomène, déjà observé en Sibérie (cratère de Yamal) et a de nouveau été constaté au large des côtes norvégiennes plus récemment. Cependant, les fonds marins du tristement célèbre triangle des Bermudes n'ayant pas encore été explorés, cette théorie n'a pas encore été vérifiée et en reste pour l'instant au stade de l'hypothèse.