Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est Libye. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Libye. Afficher tous les articles

La Libye frappée par des inondations meurtrières.


Les inondations provoquées par la tempête Daniel ont fait des ravages dans le nord-est de la Libye, en particulier dans la ville de Derna où plus de 2 300 personnes sont mortes, selon le porte-parole des services de secours relevant du gouvernement de Tripoli internationalement reconnu.
Le bilan humain est toujours provisoire. En Libye, la puissante tempête méditerranéenne Daniel, qui a frappé l'est du pays les 10 et 11 septembre, a entraîné des inondations faisant des milliers de morts. Rien que dans la ville de Derna, plus de 2 300 morts et environ 7 000 blessés ont été dénombrés, alors que plus de 5 000 personnes sont portées disparues, a affirmé mardi 12 septembre Ousssama Ali, le porte-parole des services de secours relevant du gouvernement de Tripoli internationalement reconnu.
Le Conseil présidentiel libyen, au pouvoir à Tripoli, dans l'ouest du pays, rival des autorités de l'Est, a décrété l'état de catastrophe dans l'est du pays et lancé un appel à l'aide internationale. De son côté, la France se tient prête à envoyer une "aide d'urgence" aux populations sinistrées, a annoncé la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères. L'ambassadeur des États-Unis en Libye, Richard Norland, a indiqué que l'ambassade avait émis une "déclaration de besoin humanitaire (qui) autorisera le financement initial que les États-Unis fourniront en soutien aux efforts de secours en Libye".









Candidature de Saïf al-Islam à la présidentielle en Libye

C'est une candidature qui ne laisse indifférents ni les Libyens, ni la communauté internationale. Le fils de l'ancien dictateur Mouammar Kadhafi peut finalement se présenter à l'élection présidentielle, prévue le 24 décembre en Libye.


Saïf al-Islam avait d'abord vu son dossier rejeté par la Haute commission électorale, puisqu'il faut avoir un casier judiciaire vierge. Le fils de l'ex-dictateur a été condamné à mort, en 2011, pour avoir réprimé la révolte contre le régime de son père, mais il a ensuite bénéficié d’une amnistie.
Aujourd'hui, il reste poursuivi par la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité.


Après avoir vu son dossier rejeté, Saïf al-Islam avait fait appel et sa candidature a finalement été validée jeudi 2 décembre.
« Il a ses chances dans la mesure où Saïf al-Islam Kadhafi a d’abord bénéficié d’un soutien assez important de plusieurs tribus : sa propre tribu, mais aussi la tribu très importante, basée à l’Est, de sa mère. »
« Saïf al-Islam a toujours entretenu des relations importantes avec une partie des officiers militaires qui ont rejoint le maréchal Haftar et d’autres qui sont restés en retrait. Il se profile toujours comme un homme modéré, l’homme de l’ouverture du régime Kadhafi et, en dernier, bénéficie aussi de soutiens internationaux. »
« La Russie n’a jamais caché, en tout cas, son souhait de voir Saïf al-Islam jouer un rôle important. Il a des soutiens très importants aussi du côté égyptien ! Les Égyptiens ont envoyé plusieurs émissaires pour négocier aussi avec Saïf al-Islam. »
« C’est un élément supplémentaire de discorde au sein de la société libyenne qui va compliquer à la fois la tâche, bien sûr, des candidats favoris, comme Haftar et comme l’ancien ministre de l’Intérieur. Il va limiter le réservoir électoral et il va aussi gêner certains États voisins, certaines puissances occidentales qui n’ont pas intérêt à ce que l’abattoir du régime libyen soit porté au pouvoir ».

Libye : Seïf al-Islam, fils de Mouammar Kadhafi, candidat à la présidentielle


Seïf al-Islam Kadhafi, l'un des fils de l'ancien dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, a déposé dimanche sa candidature à l'élection présidentielle du 24 décembre, a annoncé un représentant de la commission électorale.
Seïf al-Islam, fils du dirigeant libyen déchu Mouammar Kadhafi, a présenté dimanche 14 novembre sa candidature officielle à l'élection présidentielle prévue en décembre, selon la commission électorale organisatrice d'un double scrutin, crucial pour sortir la Libye du chaos.
"Le candidat Seïf al-Islam Mouammar Kadhafi a déposé sa candidature à la présidence de l'État libyen", a annoncé la Haute Commission électorale (HNEC) qui organise l'élection présidentielle le 24 décembre et les législatives un mois plus tard.
"Il a soumis les documents de sa candidature au bureau de la HNEC à Sebha (sud), complétant ainsi toutes les conditions juridiques requises par la loi n°1 relative à l'élection du chef de l'État, adoptée par le Parlement", a-t-elle ajouté dans un communiqué sur Facebook.
Seïf al-Islam, âgé de 49 ans, s'est également fait délivrer sa carte d'électeur du bureau de vote n°21021 dans la ville de Sebha, selon la commission électorale.
La HNEC a annoncé l'ouverture lundi du dépôt des candidatures pour la présidentielle.

"Crimes contre l'humanité"
Aboutissement d'un processus politique laborieux parrainé par l'ONU, les élections sont censées tourner la page d'une décennie de chaos depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi tué en 2011 lors d'une révolte populaire et mettre fin aux luttes fratricides entre les deux camps rivaux, l'un dans l'ouest du pays et l'autre dans l'est.
Fin juillet, Seïf al-islam, fils cadet de l'ex-dictateur, avait évoqué lors d'un entretien accordé au New York Times son intention de se présenter à la présidentielle.
Capturé en novembre 2011 par un groupe armé à Zenten, dans le nord-ouest de la Libye, il avait été condamné à mort en 2015 à l'issue d'un procès expéditif.
Le groupe le détenant avait néanmoins refusé de le livrer aux autorités ou à la Cour pénale internationale (CPI), qui le recherche depuis 2011 pour des accusations de "crimes contre l'humanité". Le groupe l'a libéré en 2017 et ses traces avaient été perdues.

Libye : des migrants vendus sur des marchés aux esclaves

La CNN publie des images d'une vente aux enchères d'êtres humains en Libye. Une dérive glaçante de la crise migratoire qui secoue l'Afrique.

La chaîne américaine CNN a reçu une vidéo où l'on voit des esclaves vendus aux enchères en Libye.  

 Tout est parti d'une vidéo, envoyée à CNN. « 900, 1000 » ? « Des hommes forts pour le travail à la ferme »… On y découvre des migrants vendus aux enchères sur des marchés aux esclaves en Libye. À partir de ces images glaçantes, deux journalistes de la chaîne américaine ont enquêté en se rendant à Tripoli. Ils y ont découvert que des marchés comme celui dont les images leur ont été envoyées se tenaient une à deux fois par mois. À l'aide de caméras cachées, ils ont réussi à filmer l'une de ces ventes, organisée la nuit dans un village en dehors de la capitale libyenne.

Les preuves de ces ventes aux enchères ont été transmises aux autorités libyennes qui ont promis de lancer une enquête sur ces agissements. Interrogé, Naser Hazam, le premier lieutenant de l'agence anti-immigration clandestine du gouvernement reconnaît que des gangs ont bien la main sur des réseaux de passeurs dans le pays. Il affirme toutefois n'avoir jamais assisté à de tels marchés.



La crise migratoire en toile de fond

À l'origine de ce trafic, il y a la crise migratoire, expliquent les journalistes. Les milliers de personnes qui tentent de fuir le continent africain pour l'Europe passent chaque année par la frontière libyenne. Mais les contrôles renforcés au large des côtes limitent désormais le nombre de bateaux qui peuvent tenter la traversée.
Sans un sou (tout ce qu'ils avaient ayant été donné aux passeurs) et coincés en Libye, les migrants deviennent alors des esclaves, les passeurs des maîtres. À l'intérieur des centres de détention pour migrants, de nombreux témoignages se font l'écho de ces pratiques moyenâgeuses. Leurs corps mutilés en disent long sur le traitement qui leur a été infligé.



LIBYA-EUROPE-MIGRANTS ©  MAHMUD TURKIA / AFP
Des migrants, qui tentent de rallier l'Europe via la Libye, 
marchent vers un centre de détention sur
 la ville côtière de Guarabouli, 
à 60 km à l'est de Tripoli

40 millions d'esclaves dans le monde

En mai 2017, l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) avait recueilli des témoignages similaires. À l'époque, les propos rapportés faisaient état de travail forcé dans l'agriculture ou le bâtiment pour les hommes et de cas de viols et de prostitution forcée pour les femmes. Un « trafic souterrain à ciel ouvert », avait alors commenté Marwa Mohamed, chercheuse pour Amnesty International, dans les colonnes du Figaro, qui expliquait que ces trafics se tenaient dans des zones où l'autorité du pouvoir central était inexistante. La situation économique catastrophique et l'instabilité politique de la région favorisaient, selon elle, le développement de trafic en tous genres.
La Libye est loin d'être le seul pays ou ce genre de pratiques est observé. Aujourd'hui dans le monde, l'Organisation internationale du travail à l'Assemblée générale de l'ONU estime à plus de 40 millions le nombre de personnes victimes d'esclavage.