Dix enfants âgés de 4 mois à 12 ans vivaient au milieu d'excréments et de détritus, dans une maison près de San Francisco, en Californie. Leurs parents, Jonathan Allen - 29 ans - et Ina Rogers - 30 ans, sont accusés d'abus physiques et de torture à leur encontre.
La sinistre découverte remonte au 31 mars, lorsque la mère de famille prend contact avec la police pour signaler la disparition de son fils aîné, alors que celui-ci n'était pas rentré à la maison. Après l'avoir retrouvé sain et sauf, la police le ramène chez lui.
A leur arrivée sur les lieux, les policiers découvrent une maison souillée de détritus et d'excréments, dans laquelle se trouvent neuf autres enfants, âgés de 4 mois et à 11 ans.
C'était un environnement dangereux et sale, où se trouvaient des poubelles empilées, de la nourriture périmée au sol, des excréments humains et d’animaux, des débris partout. Certaines parties de la maison étaient inaccessibles.
Les suspicions de mauvais traitements sont apparues au fur-et-à-mesure des auditions des enfants par la police. Huit d'entre eux ont notamment raconté des scènes de violence remontant parfois à plusieurs années, et disent souffrir de diverses blessures, allant des piqûres aux brûlures, en passant par des hématomes et par des blessures par balles de carabine à air comprimé.
Les enquêteurs ont affirmé après plusieurs semaines d'investigations que les enfants avaient subit une situation de torture physique et psychologique, et ce depuis de longues années.
La sinistre découverte remonte au 31 mars, lorsque la mère de famille prend contact avec la police pour signaler la disparition de son fils aîné, alors que celui-ci n'était pas rentré à la maison. Après l'avoir retrouvé sain et sauf, la police le ramène chez lui.
A leur arrivée sur les lieux, les policiers découvrent une maison souillée de détritus et d'excréments, dans laquelle se trouvent neuf autres enfants, âgés de 4 mois et à 11 ans.
C'était un environnement dangereux et sale, où se trouvaient des poubelles empilées, de la nourriture périmée au sol, des excréments humains et d’animaux, des débris partout. Certaines parties de la maison étaient inaccessibles.
Les suspicions de mauvais traitements sont apparues au fur-et-à-mesure des auditions des enfants par la police. Huit d'entre eux ont notamment raconté des scènes de violence remontant parfois à plusieurs années, et disent souffrir de diverses blessures, allant des piqûres aux brûlures, en passant par des hématomes et par des blessures par balles de carabine à air comprimé.
Les enquêteurs ont affirmé après plusieurs semaines d'investigations que les enfants avaient subit une situation de torture physique et psychologique, et ce depuis de longues années.