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La huitième merveille du monde retrouvée en Nouvelle-Zélande ?

Le principe de formation des terrasses du lac Rotomahana est le même que celui des terrasses de Pamukkale, ici, en Turquie.
Le principe de formation des terrasses du lac Rotomahana
est le même que celui des terrasses de Pamukkale, ici, en Turquie.

Les terrasses roses et blanches du lac Rotomahana, sur l’île du Nord de Nouvelle-Zélande, ont été considérées comme la huitième merveille du monde. Disparues en 1886, elles pourraient avoir été retrouvées par des chercheurs néozélandais.
Au XIXe siècle, les terrasses roses et blanches du lac Rotomahana attirent des visiteurs du monde entier. Jusqu’à ce qu’une éruption du mont Tarawera, le 10 juin 1886, les fasse disparaître. Détruites ou simplement ensevelies 
 

La première option prévaut jusqu’à aujourd’hui. Mais des chercheurs néozélandais, Rex Bunn et Sascha Nolden, pensent avoir localisé l’endroit où elles seraient conservées sous 10 à 15 mètres de cendres et de boues.
Des recherches archéologiques plus poussées seront nécessaires pour confirmer cette hypothèse fondée sur l’étude des carnets de terrain du géologue germano-autrichien Ferdinand von Hochstetter qui contient une description précise des terrasses et de leur emplacement avant l’éruption.
Formées de concrétions créées par une source géothermale, comme les terrasses de Pamukkale en Turquie, elles sont composées de deux séries de bassins en cascade jusqu’au rivage du lac. Leur composition de tuf de silice leur donne leur coloration particulière.