Agressions de civils au couteau en pleine rue pour un regard de travers, policiers attaqués en rentrant chez eux après leur service, pompiers qui tombent en plein guet-apens, infirmières molestées, violences à l'école... L'actualité des derniers mois a tenté, dans une série d'articles, de comprendre la violence qui frappe l'Hexagone. Quelle est sa nature ? Ses origines ? Ses causes ? Est-elle plus fréquente ? Plus sauvage ? Comment l'endiguer ? Plusieurs professions (police, pompiers, milieu hospitalier) sont touchées. Mais aussi à l'école et à la rue. De nombreux acteurs concernés ont apporté leur vision, leur expérience et leur expertise du sujet. Alors, la France, un pays de plus en plus violent ?
Bagarres, cyber-violence, viols… L’école française est-elle de plus en plus violente ?
Selon l’Unicef, 51% des élèves français âgés de13 à15 ans déclarent «avoir été victimes d’intimidation à l’école au moins une fois au cours des derniers mois». Le Parisien avançait en 2017 le chiffre de 442 incidents graves chaque jour de classe dans les collèges et lycées de France. Attention école en danger? Focus sur la situation.
À l’instar des policiers, les pompiers crient leur ras-le-bol face à la violence
Devant la multiplication des agressions, les pompiers ont fait du lobbying auprès des parlementaires afin d’obtenir l’autorisation de filmer leurs interventions. Rémy Chabbouh, sapeur-pompier et responsable syndical, parle d’une violence qui a évolué vers le pire et demande à la justice des sanctions plus sévères.
«À l’hôpital, on est passé des injures aux coups»
Le rapport de l’Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS) montre une augmentation des agressions dans les hôpitaux en 2017. L'interrogation de plusieurs professionnels permet de comprendre comment et pourquoi cette violence évolue vers le pire.
Quand les policiers français sont identifiés, traqués et attaqués
L’agression d’un couple de policiers en dehors de leur service à Othis (Seine-et-Marne) le 4 juillet n’est que la dernière d’une longue liste. De plus en plus de membres des forces de l’ordre sont reconnus et agressés en dehors de leurs heures de travail. Parfois, ils sont même traqués et attaqués à leur domicile.
Coups de couteau, viols et rixes mortelles,
en France, c’est l’été meurtrier
Selon l’Unicef, 51% des élèves français âgés de13 à15 ans déclarent «avoir été victimes d’intimidation à l’école au moins une fois au cours des derniers mois». Le Parisien avançait en 2017 le chiffre de 442 incidents graves chaque jour de classe dans les collèges et lycées de France. Attention école en danger? Focus sur la situation.
À l’instar des policiers, les pompiers crient leur ras-le-bol face à la violence
Devant la multiplication des agressions, les pompiers ont fait du lobbying auprès des parlementaires afin d’obtenir l’autorisation de filmer leurs interventions. Rémy Chabbouh, sapeur-pompier et responsable syndical, parle d’une violence qui a évolué vers le pire et demande à la justice des sanctions plus sévères.
«À l’hôpital, on est passé des injures aux coups»
Le rapport de l’Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS) montre une augmentation des agressions dans les hôpitaux en 2017. L'interrogation de plusieurs professionnels permet de comprendre comment et pourquoi cette violence évolue vers le pire.
Quand les policiers français sont identifiés, traqués et attaqués
L’agression d’un couple de policiers en dehors de leur service à Othis (Seine-et-Marne) le 4 juillet n’est que la dernière d’une longue liste. De plus en plus de membres des forces de l’ordre sont reconnus et agressés en dehors de leurs heures de travail. Parfois, ils sont même traqués et attaqués à leur domicile.