Une récente étude au Royaume-Uni a montré que le nombre de nids-de-poule sur les routes devenait inquiétant. Pour tenter d'améliorer les routes sans trop d'efforts, une entreprise va tester des drones capables de réparer les routes, grâce à l'impression 3D.
Ceci pourrait être le futur. L'université de Leeds travaille en effet depuis plus de deux ans sur un projet assez inédit de drone capable de réparer les routes. Le principe est simple : l'engin volant scanne les routes, et dès qu'il détecte une irrégularité ou un nid-de-poule, il envoie un signal à un second drone, plus spécialisé, qui s'approche et vient combler le trou ou la fissure grâce à un système reposant sur l'impression 3D. Et le mieux dans tout ça est que l'opération ne prendra pas plus d'une minute, permettant ainsi d'enchaîner les réparations de bitume facilement.
Le projet, qui devrait durer au total cinq ans, en est donc déjà à la moitié, et nos confrères du Telegraph rapportent que les chercheurs seraient déjà quasiment prêts pour une première phase de tests grandeur nature.
L'enjeu est de taille pour les équipes à l'origine de ce projet puisqu'il sera ainsi possible de refaire les irrégularités de la route en un rien de temps, sans déploiement massif d'hommes et de machines, qui bloqueront évidemment le trafic le temps des travaux. La seule limite, selon les chercheurs, de ces drones serait qu'ils n'iront pas réparer les voies rapides et autoroutes, où la circulation est souvent trop dense, de jour comme de nuit.
Le projet, qui devrait durer au total cinq ans, en est donc déjà à la moitié, et nos confrères du Telegraph rapportent que les chercheurs seraient déjà quasiment prêts pour une première phase de tests grandeur nature.
L'enjeu est de taille pour les équipes à l'origine de ce projet puisqu'il sera ainsi possible de refaire les irrégularités de la route en un rien de temps, sans déploiement massif d'hommes et de machines, qui bloqueront évidemment le trafic le temps des travaux. La seule limite, selon les chercheurs, de ces drones serait qu'ils n'iront pas réparer les voies rapides et autoroutes, où la circulation est souvent trop dense, de jour comme de nuit.