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Tristan da Cunha, île habitée la plus isolée du monde


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Tout au sud de l'océan Atlantique se trouve Tristan da Cunha, l'île habitée la plus reculée du monde. L'endroit au calme époustouflant se situe à 2.816 kilomètres de l'Afrique du Sud et à 3.360 kilomètres de l'Amérique du sud. Sainte-Hélène est l'île habitée la plus proche mais se situe tout de même à 2.000 kilomètres de là. Bouffée d'oxygène garantie.


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Vous détestez la foule? Vous en avez assez et voulez vous isoler du monde? Cette destination est faite pour vous mais à plusieurs conditions. Découverte en 1506 par le navigateur portugais Tristan da Cunha, l'île éponyme (qui est en réalité un archipel composé de quatre petites îles dont une seule est habitable) et unique aura dû attendre 1810 pour que de premiers habitants décident d'y poser le pied et d'ensuite s'y installer. Il s'agissait de chasseurs de baleines américains.

Sept familles et tant pis pour la consanguinité
Depuis, les résidents de l'île sont au nombre de 275 et descendent de... sept familles seulement. Les seuls patronymes qui circulent sont donc Glass, Swain, Green, Rogers, Hagan, Repetto et Lavarello. Les Patterson ont rejoint (et fermé) la liste en 1986: aucun étranger n'a désormais le droit de s'installer définitivement sur l'île. Veillez donc à ne pas trop vous amouracher des lieux, droit du sol et droit du sang prévalent sur votre permis de séjour et même la citoyenneté britannique ne permet pas de vous auto-proclamer résident, bien que la fécondité de l'île est au plus bas et que des problèmes de consanguinité surgissent.

La police s'ennuie
Sur place, les règles sont simples: toutes les familles de Tristan da Cunha occupent la même surface de terres et détiennent autant de bétail et de moutons. Un policier veille à l'ordre interne, mais sa tâche est tellement maigre qu'il s'occupe autrement pour parvenir à un job à temps-plein. Question sécurité et sérénité, il semble donc que votre séjour vous comblera.

Une semaine de bateau (si tout va bien)
Sachez toutefois avant de partir que l'île est très volcanique et qu'une forte éruption du Queen Mary's Peak en 1961 a forcé tous les habitants à évacuer les lieux durant deux ans. La surveillance est constante, soyez prudents. Autre détail d'importance: à Tristan da Cunha pour une semaine tu ne partiras pas! Très isolé, l'archipel (sans aéroport, évidemment) est atteignable au mieux après sept jours de bateau depuis l'Afrique du sud... et ce deux fois par an. Et ce pronostic n'est pas précis, le voyage dépendant grandement des conditions climatiques difficiles dans ces mers. Peu de bateaux s'aventurent d'ailleurs jusque là. Le lopin de terre n'a pas volé son titre de terre la plus éloignée du monde.

Avifaune remarquable, nature volcanique
Pour qui a le courage de crapahuter jusque là, le voyage vaut le détour. Le dépaysement est garanti et surtout les besoins de "déconnecter" sont immédiatement assouvis. Le seul contact avec le monde extérieur est un petit port de pêcheurs, essentiel à l'économie de l'île qui n'exporte que homards et célèbres timbres-poste chers aux collectionneurs du monde entier. Les paysages sont à couper le souffle et la flore est bien connue des spécialistes. L'avifaune y est également sublime. L'UNESCO a par ailleurs classé l'île dans son Patrimoine mondial naturel. Les cétacés y sont légion.

Une seule ville, une station météo
Tristan da Cunha (l'île principale de l'archipel du même nom) fait 96 kilomètres carrés et fait partie des quatorze Territoires britanniques d'outre-mer (anciennement dites colonies de la Couronne). Tristan da Cunha, Sainte-Hélène et Ascension, qui sont en réalité composées de huit îles, forment au total un territoire de 410 kilomètres carrés. 
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Sur l'île Tristan, une seule ville: Edimburgh of the Seven Seas, située au Nord-Ouest sur la partie plane de l'île. À côté de cela, une station météo. Arrêtez de chercher le guide du coin, ni restaurant branché ni chaîne d'hôtels ne vous y attendent.

Climat doux
Le climat y est tempéré, très océanique et le gel y est inconnu. Les températures ne descendent jamais sous 10 degrés sur les plateaux et ne dépassent jamais 25 degrés. Il pleut par contre 251 jours par an, comme aux Aléoutiennes. Malgré tous ces éléments décourageants, quelques touristes "élus" se rendent encore dans ce lieu magique et définitivement unique au monde. Une destination qui fait un effet boeuf en société, il est vrai.

L'île la plus isolée du monde... Tristan Da Cunha

Tristan da Cunha, un petit bout d’île sortie des flots de l’Atlantique sud, au sein d’un archipel perdu au beau milieu de l’océan
officiellement l’île la plus isolée du monde
l’île est très volcanique et une forte éruption du Queen Mary’s Peak en 1961 a forcé tous les habitants à évacuer les lieux.
275 habitants qui descendent de… sept familles seulement. 

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Tout au sud de l’océan Atlantique se trouve Tristan da Cunha, l’île habitée la plus reculée du monde. L’endroit au calme époustouflant se situe à 2.816 kilomètres de l’Afrique du Sud et à 3.360 kilomètres de l’Amérique du sud. Sainte-Hélène est l’île habitée la plus proche mais se situe tout de même à 2.000 kilomètres de là.

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Mais comment atteindre cette île du bout du monde ? En bateau, la liaison s'effectue depuis Cap Town. Après une longue traversée (7 jours tout de même), vous débarquez à Edimburgh of the Seven Seas, sorte de capitale de l'île. Et surprise, même en ces coins reculés, on trouve des chambres pour les rares visiteurs ! Une bonne partie des 275 habitants de l'île vivent ici. Leurs revenus ? La pêche, et la vente de pièces de monnaie et de timbres ! Tristan Da Cuhna, qui porte le nom du navigateur portugais qui l'a découverte, n'en est pas moins anglophone et rattachée au Commonwealth britannique.

       Avec une surface de 98 km², il y a des chances que l'on tourne un peu en rond sur l'île. Une destination pour qui souhaite s'isoler, ou découvrir un mode de vie original... aussi bien que jalousement préservé par ses habitants : il est tout simplement interdit à un étranger de s'installer à Tristan Da Cunha. Alors évitez de trop vous attacher... Quant aux problèmes d'endogamie, on recense une majorité de ''Tristonians'' affectée par de l'asthme.
Tristan Da Cunha est une île montagneuse, dont le sommet culmine à plus de 2000 mètres, mais aussi volcanique. Et ce volcan est bien actif. La dernière éruption majeure, en 1961, a bien obligé les habitants à évacuer l'île... mais ces derniers, opîniatres, sont revenus ! La rando sert d'activité au voyageur, qui en profite pour observer les oiseaux marins qui nichent sur l'île.
Le reste de l'archipel est inhabité. L'île Nightingale non loin abrite de nombreux manchots, et quelques cabanes saisonnières. L'île Inaccessible, à 10 kilomètres au large de Tristan Da Cunha, porte bien son nom : elle est classée par l'Unesco en tant que sanctuaire naturel. L'île Gough, toujours plus au sud (on attient les 40e rugissants !), est elle-aussi interdite d'accès et figure au patrimoine mondial...


Les endroits les plus isolés de la planète.

      Tristan da Cunha : Le seul et l’unique endroit  habité, le plus isolée dans le monde, Tristan da Cunha est un archipel de petites îles situées dans le sud de l'océan Atlantique. La terre la plus proche de l'île est l'Afrique du Sud, qui a environ 1,700 mile (2736 km), tandis que la côte sud-américaine se trouve à une distance d'environ 2.000 miles (3218 km).

 
 
       Malgré sa petite taille et  son isolement étonnant, Tristan da Cunha a connu une histoire riche. L'île a d'abord été découverte en 1506 par un explorateur portugais, et a ensuite été annexée par les Britanniques, qui craignaient que les Français pourraient l'utiliser comme un point de départ pour faire évader Napoléon, qui avait été exilé à proximité de Sainte-Hélène. Un petit groupe de colons britanniques, italiens et américains ont commencé à vivre sur l'île dans les années 1800, Tristan da Cunha est encore sous la juridiction du Royaume-Uni aujourd'hui.
 


      Les îles comptent présentement une population totale 271 personnes. La  plupart sont les descendants de ces colons et gagnent leur vie comme agriculteurs et  artisans. Bien que l'île dispose  à présent de certaines stations de télévision et de l'accès à l'Internet par satellite, elle est toujours l'endroit le plus isolé physiquement sur la planète Terre. La  physique rocheuse de l'île ne permet pas de construire une piste d'atterrissage, la seule façon de s’y rendre est par bateau. Elle était autrefois régulièrement connectés à l'Afrique du Sud par un navire de transport britannique, mais ce navire a depuis cessé de s’arrêter sur l'île, en dehors des bateaux occasionnelles, désormais les seuls visiteurs de Tristan da Cunha sont les bateaux de pêche en mer profonde.

Tristan da Cunha Island ZD9T

CLe Comté de Motuo, Chine : Considéré comme le dernier comté en Chine sans une route qui y conduit, Motuo est une petite communauté dans la région autonome du Tibet qui reste l'un des rares endroits en Asie encore épargnée par le monde moderne.

O caminho do Pai em Motuo é uma das rotas mais perigosas na China.
      
JJJuste arriver à Motuo est une tâche herculéenne, car les voyageurs doivent suivre un itinéraire terrestre épuisant à travers parties gelées de l'Himalaya avant de traverser dans le comté par le biais d'un pont suspendu de 200 mètres de long.


      Le comté est réputé pour la beauté de ses écritures bouddhistes. Il considère comme l’endroit le plus sacré du Tibet, on dit de lui qu’il est un Eden virtuel de la vie végétale, regorgeant les un dixième de la flore de Chine. En dépit de sa géographie étonnante et des ressources naturelles, Motuo reste encore en quelque sorte une île isolée.
      Des millions de dollars ont été dépensés au cours des années pour essayer de construire une route carrossable, mais toutes ces tentatives ont finalement été abandonnées en raison de glissements de terrain, des avalanches, et un paysage généralement volatils. Il est dit que, dans les années 90 une autoroute de fortune fut construite elle reliait Motuo au monde extérieur en passant par  le cœur du comté. Il n'a duré que quelques jours avant de devenir impraticable, et fut bientôt réclamée  par la forêt dense.

Îles Kerguelen : Aussi connu sous le nom de "îles de la Désolation" leur distance leur mettent hors de portée de toute forme de civilisation, les îles Kerguelen sont un petit archipel situé dans le sud de l'océan Indien. 


      Il n'y a pas de piste d'atterrissage sur les îles, pour la visiter  les voyageurs doivent prendre un bateau pour une randonnée de six jours à partir de la Réunion, une petite île située au large des côtes de Madagascar. 


      Les îles n'ont pas la population indigène, mais comme l'Antarctique, qui se trouve à plusieurs centaines de miles au sud, les Kerguelen disposent toute l’année  d’une population de scientifiques et ingénieurs en provenance de la  France, qui la revendique comme son territoire. Les îles ont  connu un passé glorieux, et depuis, qu’elles ont été découvertes en 1772, elles ont été visités par un certain nombre de biologistes et d’explorateurs différents, y compris le capitaine James Cook, qui a fait une brève escale sur l'archipel en 1776. Aujourd'hui, l'île est principalement un centre scientifique, elle dispose également d'un satellite, et d’un système de missiles de défense française, et même sert comme une sorte de refuge pour un type particulier de bovins français qui sont  en voie de disparition sur le continent.




Ittoqqortoormiit, au Groenland : A 836.000 miles carrés, (1 345.411 km) le Groenland est la plus grande île du monde, mais sa petite population de 57.000 personnes signifie que c'est aussi la plus désolée.



      Et de toutes les villes du Groenland, aucune n'est aussi éloigné (ou aussi difficile à prononcer) que Ittoqqortoormiit, un  petit village de pêche et de chasse  situé sur la rive orientale de l'île, au nord de l'Islande. La contrée  fait partie d'un district municipal à peu près la taille de l'Angleterre, mais elle a une population de seulement un peu plus de 500 personnes, ce qui signifie que chaque personne a techniquement plus de 150 miles carrés (241 km)  qu’ils peuvent réclamer pour eux-mêmes. Les résidents  gagnent leur vie en pratiquant la chasse des ours polaires et les baleines, qui sont répandues dans la région, et par la pêche du flétan pendant les mois chauds.


      Ittoqqortoormiit se trouve sur la côte, mais les mers qui l'entourent sont presque perpétuellement gelées, laissant seulement une fenêtre de trois mois lorsque la ville est facilement accessible par bateau. Il y’a un aéroport a près de 25 miles (40 km) de là, mais les vols sont rares. Pour la plupart, le hameau, l'une des colonies la plus au nord du monde, est complètement isolé dans l'immensité de la toundra.


PPéninsule du Cap York, Australie : L'Australie est connue tant pour la densité de  sa population extrêmement faible et sa beauté naturelle intacte, ces deux  attributs ont pour le meilleur exemple le Cap York, la péninsule, est une vaste étendue de nature sauvage située sur la pointe nord du pays.



 
      La région a une population de seulement 18.000 personnes, dont la plupart est composée de tribus aborigènes du pays, et il est considéré comme l'un des plus grands espace enclavé le monde. Cela permet de contribuer à sa beauté naturelle, mais cela rend aussi le Cap York à peu près aussi difficile à atteindre que n'importe quelle autre destination en Australie. La péninsule est devenue une destination populaire pour les touristes aventureux, qui conduisent des jeeps et des camions sur la route de terre battue dans la Péninsule chaque fois qu'elle n'est pas fermée à cause des inondations pendant la saison des pluies.



      Mais même avec des camions à 4 roues motrices, un grand nombre des régions les plus fortement envahies par la nature de la péninsule du Cap York sont complètement inaccessibles, et certaines régions jusqu’aujourd’hui  n'ont été visitées que du haut d’un hélicoptère.