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La "Jungle" de Calais est le plus grand bidonville d'Europe.


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Avec 6000 à 7000 migrants désormais installés, la "Jungle" de Calais constitue aujourd'hui le plus grand bidonville d'Europe.
Il s'agit d'une véritable petite ville, qui possède ses commerces, ses restaurants, ses écoles et ses lieux de culte.




La "Jungle" de Calais a aujourd'hui une population égale, voire supérieure à celles de communes comme Guînes ou Wimereux. En quelques mois seulement, lenombre de migrants a triplé dans ce bidonville, désormais le plus important d'Europe. Ils étaient 2 000 au printemps dernier, ils seraient maintenant entre 6 000 et 7 000.
Dans l'artère principale, on trouve des magasins (épiceries, boulangerie, articles de sport, des restaurants et des lieux de culte, notamment une église. Le tout installé sous des tentes ou des cabanes. Il y a aussi une école qui dispense des cours de français, un coiffeur et des artisans. La vie s'organise tant bien que mal dans "la Jungle", même si les migrants qui s'entassent dans la lande rêvent pour la plupart de la quitter au plus tôt pour traverser la Manche et rejoindre l'Angleterre qu'ils considèrent comme l'"eldorado".

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En attendant de tenter leur chance à la nuit tombée, les migrants vivent regroupés par nationalité ou par groupe linguistique. Il y a le quartier des Afghans, celui des Soudanais... la "Jungle" a cependant un "chef" surnommé "Alpha". Ce Mauritanien, arrivé à Calais il y a un an, sert surtout de coordonateur. Il connaît tout le monde et fait le lien avec les associations. C'est lui qui attribue notamment les matelas aux plus démunis. Après 10 ans d'une vie d'errance, "Alpha" dit avoir renoncé à passer en Angleterre. "J'ai demandé l'asile en France", explique-t-il à France 2. "J'ai fait 10 ans de route, je suis fatigué".

Cañada Real Galiana, le bidonville de la honte de Madrid ou la Favela de Madrid !

Au sud de Madrid se trouve Cañada Real Galiana, le plus grand bidonville d'Europe : 40 000 personnes y vivent dans des conditions insalubres. La ville a tenté de décourager les nouveaux arrivants. En vain. 

A la sortie Sud de Madrid, le long de l’autoroute M50, se trouve Cañada Real Galiana : le plus grand bidonville d’Europe occidentale. Environ 40 000 personnes y vivent dans l’insalubrité.
Véritable ville dans la ville, Cañada Real Galiana permet aux immigrés, venus en majorité du Maroc, de se loger à moindre frais. Des Espagnols, arrivés il y a trente ans y habitent aussi.  


Ces derniers occupent les quartiers les mieux lotis du bidonville, comme le secteur V. Ici, malgré la chaussée cabossée et l'absence de services publics, les maisons sont tout de même en dur.
En octobre 2007, sans préavis, la ville de Madrid essayé de déloger plusieurs familles de ce secteur pour démolir une partie des habitations illégales.

Les forces de l’ordre se sont heurtées aux habitants, déclenchant une véritable émeute qui a fait plusieurs blessés du côté des policiers. Les autorités ont alors suspendu les démolitions. Pourtant, fin avril, des bulldozers sont revenus détruire plusieurs maisons, une nouvelle fois sans préavis.

Depuis 40 ans, le secteur V de Canada Real n'a cessé de s'étendre sur cet ancien chemin de transhumance, classé inconstructible. Aujourd'hui, personne ne veut en partir. La plupart des habitants sont inscrits comme résidents des communes avoisinantes et payent la taxe foncière. 

Rendez-vous des taxis de la drogue

Au centre du bidonville, Valdemingomez est un quartier miné par la violence. Le trafic de drogue y est en pleine croissance depuis longtemps..
Le parking de l’église ne désemplit pas de junkies amenés en "kundas", les taxis de la drogue. Héroïne, crack, cocaïne : les dealers au volant vont chercher leurs clients dans le centre de Madrid. Dans ce quartier, où les toxicomanes sont partout, le manque d'hygiène est total. 




Depuis que les différents points de vente de drogue du centre-ville sont surveillés par la police, et depuis qu'un net ralentissement économique touche l'Espagne, le bidonville madrilène est en constante extension.

La Région de Madrid, comme les mairies concernées, paraissent dépassées par la situation. Les quelques ordres de démolitions prononcés ces dernièrs temps semblent surtout avoir pour but de dissuader de nouveaux arrivants. En vain.