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Deux des plus grands joueurs de tous les temps : Cristiano Ronaldo et Pelé.

Et Voici, Pelé.
Tout au long de sa carrière et depuis son départ à la retraite, Pelé est connu et reconnu comme étant l'un des plus célèbres footballeurs au monde. Parmi ses nombreuses distinctions, il a été nommé comme étant le Joueur du Siècle par la FIFA en 1999 et l'une des 100 Personnalités les plus Importantes du Siècle par le Time Magazine.


Sur le plan international, il a joué contre des icônes du football comme Franz Beckenbauer, Eusébio et George Best, tout en soulevant le trophée de la Coupe du Monde un nombre record de trois fois.


La réputation légendaire de Pelé continue d'inspirer les fans du monde entier et continuera de les faire rêver, dans son pays natal, le Brésil.

Et Voici, Cristiano Ronaldo.
Elu joueur de l'année par la FIFA, Cristiano Ronaldo est un joueur de football passionnant qui maîtrise parfaitement la technique et l'agilité. Ces qualités font de lui l'un des plus grands joueurs des terrains du moment. Depuis son entrée sur le devant de la scène lorsqu'il a rejoint Manchester United, Ronaldo a toujours été un joueur à regarder et à suivre.


Cet été, il sera prêt à mener son équipe nationale pour sa troisième Coupe du Monde, deuxième en tant que Capitaine. Il détient déjà le titre du plus jeune Portugais ayant atteint 100 sélections et se présente comme le meilleur joueur de tous les temps du Réal Madrid.

 






EQUATEUR.



Description de l'image  ECU orthographic.svg.

L’Équateur, en forme longue la République d'Équateur ou la République de l'Équateur, en espagnol Ecuador et República del Ecuador, est un pays d'Amérique du Sud, entouré par le Pérou au sud et la Colombie au nord. Sa superficie est de 283 520 km2. Le nom du pays vient de sa position sur l’équateur.



La capitale est Quito et la plus grande ville est Guayaquil, l’un des ports les plus importants d’Amérique du Sud. Le pays compte environ 15 millions d'habitants (2011) et est divisé en 24 provinces (îles Galápagos comprises). C'est le pays avec la plus grande concentration de rivières par kilomètre carré dans le monde.



Dans le territoire équatorien (qui inclut les îles Galapagos mille km à l'ouest de la côte) se trouve la biodiversité la plus dense de la planète. Ses habitants sont les Équatoriens.
Les restes archéologiques les plus anciens trouvés en Équateur datent de 3500 av. J.-C. et ont été trouvés dans la province du Guayas. Ils correspondent à la culture Valdivia. D'autres sites archéologiques ont été découverts sur la côte aussi bien que dans la sierra équatorienne, datant pour la plupart des deux derniers millénaires. Malgré ces découvertes, ces cultures restent mystérieuses et on dispose de relativement peu de connaissances certaines sur l'histoire de l'Équateur jusqu'au xve siècle. Au xve siècle, l'Équateur était peuplé par différentes ethnies parlant des langues distinctes : sur la côte les cultures Esmeralda, Manta, Huancavilca et Puná (du nord au sud), pratiquant toutes la pêche, la chasse, l'agriculture et le commerce (aussi bien par la mer entre différentes zones côtières qu'avec les indiens de la sierra). Dans la sierra, les principales cultures à cette même période étaient les Pastos, les Caras, les Panzaleo, les Puruhá, les Cañaris et les Paltas. Leur économie était essentiellement agricole, avec un mode de vie sédentaire et un important usage de l'irrigation en particulier pour les Cañaris. L'organisation politique se faisait autour de caciques, qui nouaient entre eux des alliances fluctuantes et étaient capables de lever des armées et d'administrer certains territoires. Les andes équatoriales sont conquises par les incas sous les règnes de Tupac Yupanqui, qui conquiert le sud de l'actuel Équateur, puis de son fils Huayna Capac, né à Tomebamba, qui conquiert Quito et en réduit les dernières résistances des Otavalos lors du massacre de Yahuarcocha, vers 1505. À la mort de Huayna Capac en 1527, la noblesse, divisée sur le choix du successeur légitime, partage l'empire inca en deux, attribuant à Atahualpa la partie nord, avec pour capitale Quito, et à Huascar (son demi-frère) la partie sud, avec pour capitale Cuzco. Une guerre civile se déclenche rapidement entre les deux empereurs, qui tourne finalement à l'avantage d'Atahualpa, qui parvient à pénétrer profondément dans le territoire de Huascar et fait prisonnier ce dernier en 1532. C'est alors qu'Atahualpa est aux bains de Cajamarca, se préparant à entrer en vainqueur à Cuzco, qu'a lieu sa rencontre avec Francisco Pizarro. Le conquistador, à la tête d'une petite armée et malgré l'escorte imposante d'Atahualpa, parvient à s'emparer de l'Inca et à le faire prisonnier le 16 novembre 1532. Malgré une forte résistance opposée aux conquérants espagnols par certains généraux d'Atahualpa, dont Rumiñahui, l'Équateur est conquis entre 1532 et 1534, et Sebastián de Belalcázar fonde Quito le 6 décembre 1534, sur les ruines du Quito inca détruit par Rumiñahui avant de l'abandonner aux espagnols.
Drapeau de l’Equateur :


Armoiries de l’Equateur :


Devise nationale : Dieu, patrie et liberté, (en espagnol : « Dios, patria y libertad »)
Hymne national : Salve, Oh Patria


Forme de l'État : République
 Langues officielles :  Espagnol, Kichwa et Shuar
Capitale :       Quito, 0° 09′ S 78° 21′ O
La ville de Quito est considérée comme étant la plus belle capitale de l'Amérique du Sud, c'est très vraissemblable si l'on considère la vieille ville coloniale, historique et bien sûr classée par l'Unesco, y flâner est un bon moment de plaisir de la découverte, ce diaporama vous y invite...




Plus grande ville : Guayaquil




Superficie totale :     283 520 km2
Superficie en eau : 8,8 %
Fuseau horaire : UTC -5
Indépendance : de l'Espagne, Date : 24 mai 1822
Gentilé : Équatorien, Équatorienne
Population totale (2011) : 15 007 3433 hab.
Densité : 55 8 hab./km2
IDH (2010) :  0,695 (moyen) (77e)
Monnaie : Dollar américain (sucre jusqu'en 2000) (USD​)
Code ISO 3166-1 : ECU, EC​
Domaine Internet :    .ec
Indicatif téléphonique : +593

TOURISME EN EQUATEUR :
A la découverte de l'Equateur, un pays situé au nord du Pérou et au sud de la Colombie, en plein sur la ligne imaginaire qui coupe le globe en deux.






ARCHEOLOGIES EQUATORIENNES :



Traversée du rio Pastaza à bord d'une nacelle suspendue à un cable.


FOLKLORE EQUATORIEN :



MUSIQUE EQUATORIENNE :





TRADITIONS ET COUTUMES EQUATORIENNE: Un petit tour en Equateur, une approche de la vie dans ce petit pays andin, de ses traditions, ses costumes...


En Equateur, tout au fond de la forêt amazonienne, la dernière communauté indigène tente de sauver son territoire ancestral afin de préserver son mode de vie. Aujourd'hui, à Bameno, des membres de la tribu Huaorani vivent encore de la chasse et de la cueillette. Pourtant, les ravages causés par l'arrivée de la civilisation semblent irréparables...


Au passage de l'équateur, la coutume veut que qu'un marin fasse une offrande à Neptune. Cette fois-ci, Jean Le Cam (SynerCiel) ne s'est pas moqué du dieu des océans en lui offrant quelques gouttes de Château Angélus 2009, un fameux vin rouge de Saint-Emilion.


La coutume des Tsantzas, têtes réduites, est sans doute celle qui a le plus marqué l'imagination des occidentaux et le plus contribué à la réputation des Jivaros.
Les conflits fréquents entre les différents groupes ou tribus n'avaient pas pour but de s'approprier des richesses ou des territoires, mais plutôt de s'emparer des forces et de l'esprit de l'ennemi ainsi que de se venger sur lui des exactions et meurtres passés, dans un cycle de « vendetta » sans fin. Ramenées comme trophées, les têtes des ennemis tués étaient transformées au cours d'un rituel long et complexe destiné à incorporer la force de l'âme de la victime et à obtenir une protection contre la vengeance du camp adverse. Comme l'ennemi fraîchement tué produit également une âme vengeresse, il faut absolument maintenir cette dernière prisonnière dans la tête de son propriétaire. Une fois vidée et désossée, la tête était desséchée à l'aide de cendres et de pierres chaudes, remplie de sable, cousue et remodelée. Elle servait ensuite pendue au cou de son propriétaire dans une cérémonie destinée à montrer aux ancêtres que la vengeance avait bien été accomplie.
Certains des premiers explorateurs européens, dont des missionnaires, firent les frais de cette pratique. Dès le début du XVe siècle, des collectionneurs et amateurs de curiosités occidentaux cherchèrent à se procurer des tsantzas. Cette demande ainsi que l'apparition d'armes à feu changea dangereusement les habitudes des indiens qui se mirent à produire des trophées uniquement destinés au troc. Ce n'est que dans les années soixante que les autorités équatoriennes et péruviennes interdirent cette pratique. Depuis, des trafics de tsantzas d'imitation ont été constatés. Soit fabriquées avec de la peau de chèvres ou de singes, soit avec des corps humains par des taxidermistes à partir de cadavres récupérés dans des morgues loin de tout contexte amérindien.


AMAZONIE EQUATORIENNE :
 La réserve de Cuyabeno, située dans le nord-est de l'Equateur, est située dans la zone à la biodiversité la plus dense du monde. Merveille de l'Amazonie, la réserve est néanmoins menacée par l'activité pétrolière à proximité. Des solutions existent pourtant: l'écotourisme permet ainsi aux touristes de passer quelques jours au coeur de la jungle dans un des écolodges, et les fonds dégagés permettent d'offrir des revenus durables aux communautés indigènes. Mais les enjeux restent nombreux, et le concept relativement peu connu. Les Ashamashné Productions se sont donc rendus en Amazonie equatorienne pour interroger un Shaman, un membre des communautés indigènes et le directeur d'un ecolodge (Tapir Lodge), et mieux comprendre le rôle de l'écotourisme dans le paradis vert de l'Amazonie.


La Jaunisse de la banane ou jaunisse fusarienne : une maladie ravageuse pour les plantations de banane.

Appelée aussi maladie de Panama, ou fusariose, elle  est causé par un champignon vivant dans le sol, le Fusarium oxysporum. Sans danger pour l'homme, il provoque le dessèchement, le jaunissement puis le dépérissement des plantations.  Le champignon peut survivre pendant des décennies . Une fois que la maladie est déclarée dans un champ, elle ne peut plus être contrôlée avec les pratiques et les fongicides actuellement disponibles. Autrement dit, elle est aujourd'hui incurable.

Plants de banane atteints par la jaunisse fusarienne

La jaunisse fusarienne est l’une des maladies les plus destructrices de la planète pour les bananiers.
Sa diffusion  pourrait avoir de sérieuses conséquences pour les planteurs, les négociants et les familles qui tirent leurs moyens d'existence de cette filière. Il faudrait donc  éviter le pire des scénarios, qui serait de voir partir en fumée une grande partie de la récolte mondiale de bananes.


Il n'y a pas de génération spontanée. Le champignon a nécessairement été introduit par l'homme, par  l’introduction accidentelle des plants de bananiers infectés, par des chaussures ou des outils .
La situation est d'autant plus préoccupante que la souche infectieuse TR4 s'attaque aux bananes de la variété Cavendish, la plus cultivée et commercialisée dans le monde. Cette variété avait précisément été développée car elle résistait à d'autres formes du champignon, qui avaient décimé la variété Gros Michel dans les années 1940 et 1950.
Cultivée dans 135 pays et territoires des zones tropicales et subtropicales, pour un total annuel de plus de 130 millions de tonnes (toutes variétés confondues, douces, plantains, à cuire), la banane n'est exportée qu'à hauteur de 15%. Ce fruit, principalement produit par de petits exploitants agricoles pour leur propre consommation ou la vente sur des marchés locaux, constitue la huitième culture alimentaire mondiale, et la quatrième dans les pays les moins développés.


Que faire ? 
En l'absence de traitement, la FAO préconise des mesures de prévention, telles que la mise en quarantaine [des plants infectés], l'utilisation de matériel végétal indemne de la maladie, des précautions pour éviter que des particules de sol ou de matériel végétal entrent ou sortent des exploitations, la désinfection des véhicules entrants et sortants ». La seule solution est « de dresser un cordon sanitaire et d'aller produire ailleurs.

Une maladie appelée communément 'sina uruma' fait des ravages dans la région de Minova, à 50 km de la ville de Goma, et inquiète les habitants de la région dont les champs de bananiers constituent la principale source de revenues.
Les premières victimes sont les enfants qui, faute de moyens financiers, ne peuvent plus s'acquitter des frais de scolarité.
'On a une bananeraie mais celle-ci a été attaquée par sina uruma ... c'est grâce aux bananes que mes payaient pour mes études. Cette année je n'ai pas étudié!...je vends des galettes pour me procurer l'argent pour mes études l'année prochaine', a declaré un enfant.
Cette maladie est aussi à la base de la hausse des prix de bananes sur le marché.




Un chargeur universel de téléphone portable dans trois ans

Bonne nouvelle pour les utilisateurs de téléphones portables. L'Europe va imposer un chargeur universel pour smartphones et autres appareils mobiles. Il faudra toutefois attendre trois ans pour le voir arriver dans les rayons. 
Le Parlement européen a voté ce jeudi une directive, fruit d'un accord informel avec les gouvernements européens, qui stipule qu'un chargeur identique devra être développé pour tous les téléphones mobiles vendus dans l'Union européenne. Avec un triple objectif : réduire les déchets, réduire les coûts et simplifier la vie des consommateurs. 
Il faudra toutefois patienter encore un peu pour en bénéficier. Une fois le texte formellement adopté par le Conseil, les Etats membres auront en effet deux ans pour transposer la disposition en droit national. 
Les constructeurs disposeront alors d'une année supplémentaire pour s'y conformer. Soit une mise en application en 2017. 

Les fermes verticales

au Japon, il y a des fermes verticales urbaines. Ce pays aux milliers d'îles, victime de la récente catastrophe de Fukushima, travaille à imaginer ce qui pourrait être l'agriculture du futur : des usines verticales où les salades s'élèvent aux diodes électroluminescentes.


Le Top 10 des animaux

                                              Des animaux les plus intellingents au monde :
Des animaux Aquatiques les plus dangereux au monde :Ces animaux aquatiques sont dangereux à cause de leurs piqûres et de leurs morsures!
                                              Des animaux les plus dangereux et mortels au monde :


 Des animaux les plus rares au monde :
 


 
Des animaux les plus rapides au monde :
 


 
Des animaux les plus moches et étranges au monde :
 


 
Des animaux les plus rares au monde :
 


Des animaux les plus dangereux du monde :


Des animaux les plus forts au monde :


 
Des animaux les plus beaux du monde :
 


 
Des animaux les plus drôles au monde :
 


 
Des animaux les plus gros du monde :
 




Le sultanat de Brunei instaure la charia



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Carte géographique de Brunei


Le sultan Hassanal Bolkiah durant la cérémonie d’adoption de la charia au Brunei, le 30 avril.
Le sultan Hassanal Bolkiah durant la cérémonie d’adoption
de la charia au Brunei, le 30 avril.

Le micro-Etat de Brunei, l’un des pays les plus riches du monde, est le premier État de l’est asiatique à appliquer la loi islamique – charia – sur son territoire à partir de jeudi 1er mai. La décision a été prise autoritairement par le sultan Hassanal Bolkiah, qui dirige depuis 30 ans cette petite enclave de l’Asie du Sud-Est, située sur l’île de Bornéo. Au terme d’un processus d’instauration qui se déroulera en plusieurs étapes, des actes comme les relations sexuelles de musulmans hors mariage, l’adultère, la profanation du Coran ou la renonciation publique à l’islam seront punis de la peine de mort.
Pour le sultan Hassanal Bolkia, 67 ans, il s’agit d’opérer la transition d’un système pénal hérité de l’empire britannique vers une législation islamique qui constitue pour lui un « pare-feu » contre les influences occidentales. En fait, on ne connaît pas vraiment les motivations du richissime monarque qui habite un palais de 1 788 pièces et dont la fortune tirée du pétrole est estimée à plus de 30 milliards d’euros. Les minorités chrétiennes et bouddhistes qui ont exprimé leurs craintes sur les réseaux sociaux ont été réduites au silence.

Les femmes, premières victimes de la lapidation

La première phase ne prévoit cependant que des peines d’amende ou d’arrestation pour des délits comme le non-respect du jeûne durant le Ramadan, ou la non-participation à la prière du vendredi. Les châtiments corporels comme la flagellation ou l’amputation de membres ne seront introduits que dans une deuxième phase, et la peine de mort par lapidation dans un troisième temps.
La commission des droits de l’homme de l’ONU a dénoncé la révision du droit pénal adoptée en octobre au Brunei et introduite maintenant. Elle relève que la peine de mort par lapidation est totalement contraire au droit international. Des études démontrent qu’en grande majorité, ce sont des femmes qui sont condamnées à la lapidation. Le droit pénal du Sultanat de Brunei risque de renforcer la discrimination à l’égard des femmes et des homosexuels, a affirmé vers la mi-avril la commission des droits de l’homme de l'ONU.
Les 400 000 habitants de Brunei sont musulmans aux deux tiers (l’islam sunnite est religion d’État), avec une forte présence bouddhiste (13 %) et chrétienne (10 %). En Indonésie, plus grand pays musulman au monde, seule la province autonome d’Aceh, sur l’île de Sumatra, a introduit la loi islamique.