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La Jaunisse de la banane ou jaunisse fusarienne : une maladie ravageuse pour les plantations de banane.

Appelée aussi maladie de Panama, ou fusariose, elle  est causé par un champignon vivant dans le sol, le Fusarium oxysporum. Sans danger pour l'homme, il provoque le dessèchement, le jaunissement puis le dépérissement des plantations.  Le champignon peut survivre pendant des décennies . Une fois que la maladie est déclarée dans un champ, elle ne peut plus être contrôlée avec les pratiques et les fongicides actuellement disponibles. Autrement dit, elle est aujourd'hui incurable.

Plants de banane atteints par la jaunisse fusarienne

La jaunisse fusarienne est l’une des maladies les plus destructrices de la planète pour les bananiers.
Sa diffusion  pourrait avoir de sérieuses conséquences pour les planteurs, les négociants et les familles qui tirent leurs moyens d'existence de cette filière. Il faudrait donc  éviter le pire des scénarios, qui serait de voir partir en fumée une grande partie de la récolte mondiale de bananes.


Il n'y a pas de génération spontanée. Le champignon a nécessairement été introduit par l'homme, par  l’introduction accidentelle des plants de bananiers infectés, par des chaussures ou des outils .
La situation est d'autant plus préoccupante que la souche infectieuse TR4 s'attaque aux bananes de la variété Cavendish, la plus cultivée et commercialisée dans le monde. Cette variété avait précisément été développée car elle résistait à d'autres formes du champignon, qui avaient décimé la variété Gros Michel dans les années 1940 et 1950.
Cultivée dans 135 pays et territoires des zones tropicales et subtropicales, pour un total annuel de plus de 130 millions de tonnes (toutes variétés confondues, douces, plantains, à cuire), la banane n'est exportée qu'à hauteur de 15%. Ce fruit, principalement produit par de petits exploitants agricoles pour leur propre consommation ou la vente sur des marchés locaux, constitue la huitième culture alimentaire mondiale, et la quatrième dans les pays les moins développés.


Que faire ? 
En l'absence de traitement, la FAO préconise des mesures de prévention, telles que la mise en quarantaine [des plants infectés], l'utilisation de matériel végétal indemne de la maladie, des précautions pour éviter que des particules de sol ou de matériel végétal entrent ou sortent des exploitations, la désinfection des véhicules entrants et sortants ». La seule solution est « de dresser un cordon sanitaire et d'aller produire ailleurs.

Une maladie appelée communément 'sina uruma' fait des ravages dans la région de Minova, à 50 km de la ville de Goma, et inquiète les habitants de la région dont les champs de bananiers constituent la principale source de revenues.
Les premières victimes sont les enfants qui, faute de moyens financiers, ne peuvent plus s'acquitter des frais de scolarité.
'On a une bananeraie mais celle-ci a été attaquée par sina uruma ... c'est grâce aux bananes que mes payaient pour mes études. Cette année je n'ai pas étudié!...je vends des galettes pour me procurer l'argent pour mes études l'année prochaine', a declaré un enfant.
Cette maladie est aussi à la base de la hausse des prix de bananes sur le marché.




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