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EQUATEUR.



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L’Équateur, en forme longue la République d'Équateur ou la République de l'Équateur, en espagnol Ecuador et República del Ecuador, est un pays d'Amérique du Sud, entouré par le Pérou au sud et la Colombie au nord. Sa superficie est de 283 520 km2. Le nom du pays vient de sa position sur l’équateur.



La capitale est Quito et la plus grande ville est Guayaquil, l’un des ports les plus importants d’Amérique du Sud. Le pays compte environ 15 millions d'habitants (2011) et est divisé en 24 provinces (îles Galápagos comprises). C'est le pays avec la plus grande concentration de rivières par kilomètre carré dans le monde.



Dans le territoire équatorien (qui inclut les îles Galapagos mille km à l'ouest de la côte) se trouve la biodiversité la plus dense de la planète. Ses habitants sont les Équatoriens.
Les restes archéologiques les plus anciens trouvés en Équateur datent de 3500 av. J.-C. et ont été trouvés dans la province du Guayas. Ils correspondent à la culture Valdivia. D'autres sites archéologiques ont été découverts sur la côte aussi bien que dans la sierra équatorienne, datant pour la plupart des deux derniers millénaires. Malgré ces découvertes, ces cultures restent mystérieuses et on dispose de relativement peu de connaissances certaines sur l'histoire de l'Équateur jusqu'au xve siècle. Au xve siècle, l'Équateur était peuplé par différentes ethnies parlant des langues distinctes : sur la côte les cultures Esmeralda, Manta, Huancavilca et Puná (du nord au sud), pratiquant toutes la pêche, la chasse, l'agriculture et le commerce (aussi bien par la mer entre différentes zones côtières qu'avec les indiens de la sierra). Dans la sierra, les principales cultures à cette même période étaient les Pastos, les Caras, les Panzaleo, les Puruhá, les Cañaris et les Paltas. Leur économie était essentiellement agricole, avec un mode de vie sédentaire et un important usage de l'irrigation en particulier pour les Cañaris. L'organisation politique se faisait autour de caciques, qui nouaient entre eux des alliances fluctuantes et étaient capables de lever des armées et d'administrer certains territoires. Les andes équatoriales sont conquises par les incas sous les règnes de Tupac Yupanqui, qui conquiert le sud de l'actuel Équateur, puis de son fils Huayna Capac, né à Tomebamba, qui conquiert Quito et en réduit les dernières résistances des Otavalos lors du massacre de Yahuarcocha, vers 1505. À la mort de Huayna Capac en 1527, la noblesse, divisée sur le choix du successeur légitime, partage l'empire inca en deux, attribuant à Atahualpa la partie nord, avec pour capitale Quito, et à Huascar (son demi-frère) la partie sud, avec pour capitale Cuzco. Une guerre civile se déclenche rapidement entre les deux empereurs, qui tourne finalement à l'avantage d'Atahualpa, qui parvient à pénétrer profondément dans le territoire de Huascar et fait prisonnier ce dernier en 1532. C'est alors qu'Atahualpa est aux bains de Cajamarca, se préparant à entrer en vainqueur à Cuzco, qu'a lieu sa rencontre avec Francisco Pizarro. Le conquistador, à la tête d'une petite armée et malgré l'escorte imposante d'Atahualpa, parvient à s'emparer de l'Inca et à le faire prisonnier le 16 novembre 1532. Malgré une forte résistance opposée aux conquérants espagnols par certains généraux d'Atahualpa, dont Rumiñahui, l'Équateur est conquis entre 1532 et 1534, et Sebastián de Belalcázar fonde Quito le 6 décembre 1534, sur les ruines du Quito inca détruit par Rumiñahui avant de l'abandonner aux espagnols.
Drapeau de l’Equateur :


Armoiries de l’Equateur :


Devise nationale : Dieu, patrie et liberté, (en espagnol : « Dios, patria y libertad »)
Hymne national : Salve, Oh Patria


Forme de l'État : République
 Langues officielles :  Espagnol, Kichwa et Shuar
Capitale :       Quito, 0° 09′ S 78° 21′ O
La ville de Quito est considérée comme étant la plus belle capitale de l'Amérique du Sud, c'est très vraissemblable si l'on considère la vieille ville coloniale, historique et bien sûr classée par l'Unesco, y flâner est un bon moment de plaisir de la découverte, ce diaporama vous y invite...




Plus grande ville : Guayaquil




Superficie totale :     283 520 km2
Superficie en eau : 8,8 %
Fuseau horaire : UTC -5
Indépendance : de l'Espagne, Date : 24 mai 1822
Gentilé : Équatorien, Équatorienne
Population totale (2011) : 15 007 3433 hab.
Densité : 55 8 hab./km2
IDH (2010) :  0,695 (moyen) (77e)
Monnaie : Dollar américain (sucre jusqu'en 2000) (USD​)
Code ISO 3166-1 : ECU, EC​
Domaine Internet :    .ec
Indicatif téléphonique : +593

TOURISME EN EQUATEUR :
A la découverte de l'Equateur, un pays situé au nord du Pérou et au sud de la Colombie, en plein sur la ligne imaginaire qui coupe le globe en deux.






ARCHEOLOGIES EQUATORIENNES :



Traversée du rio Pastaza à bord d'une nacelle suspendue à un cable.


FOLKLORE EQUATORIEN :



MUSIQUE EQUATORIENNE :





TRADITIONS ET COUTUMES EQUATORIENNE: Un petit tour en Equateur, une approche de la vie dans ce petit pays andin, de ses traditions, ses costumes...


En Equateur, tout au fond de la forêt amazonienne, la dernière communauté indigène tente de sauver son territoire ancestral afin de préserver son mode de vie. Aujourd'hui, à Bameno, des membres de la tribu Huaorani vivent encore de la chasse et de la cueillette. Pourtant, les ravages causés par l'arrivée de la civilisation semblent irréparables...


Au passage de l'équateur, la coutume veut que qu'un marin fasse une offrande à Neptune. Cette fois-ci, Jean Le Cam (SynerCiel) ne s'est pas moqué du dieu des océans en lui offrant quelques gouttes de Château Angélus 2009, un fameux vin rouge de Saint-Emilion.


La coutume des Tsantzas, têtes réduites, est sans doute celle qui a le plus marqué l'imagination des occidentaux et le plus contribué à la réputation des Jivaros.
Les conflits fréquents entre les différents groupes ou tribus n'avaient pas pour but de s'approprier des richesses ou des territoires, mais plutôt de s'emparer des forces et de l'esprit de l'ennemi ainsi que de se venger sur lui des exactions et meurtres passés, dans un cycle de « vendetta » sans fin. Ramenées comme trophées, les têtes des ennemis tués étaient transformées au cours d'un rituel long et complexe destiné à incorporer la force de l'âme de la victime et à obtenir une protection contre la vengeance du camp adverse. Comme l'ennemi fraîchement tué produit également une âme vengeresse, il faut absolument maintenir cette dernière prisonnière dans la tête de son propriétaire. Une fois vidée et désossée, la tête était desséchée à l'aide de cendres et de pierres chaudes, remplie de sable, cousue et remodelée. Elle servait ensuite pendue au cou de son propriétaire dans une cérémonie destinée à montrer aux ancêtres que la vengeance avait bien été accomplie.
Certains des premiers explorateurs européens, dont des missionnaires, firent les frais de cette pratique. Dès le début du XVe siècle, des collectionneurs et amateurs de curiosités occidentaux cherchèrent à se procurer des tsantzas. Cette demande ainsi que l'apparition d'armes à feu changea dangereusement les habitudes des indiens qui se mirent à produire des trophées uniquement destinés au troc. Ce n'est que dans les années soixante que les autorités équatoriennes et péruviennes interdirent cette pratique. Depuis, des trafics de tsantzas d'imitation ont été constatés. Soit fabriquées avec de la peau de chèvres ou de singes, soit avec des corps humains par des taxidermistes à partir de cadavres récupérés dans des morgues loin de tout contexte amérindien.


AMAZONIE EQUATORIENNE :
 La réserve de Cuyabeno, située dans le nord-est de l'Equateur, est située dans la zone à la biodiversité la plus dense du monde. Merveille de l'Amazonie, la réserve est néanmoins menacée par l'activité pétrolière à proximité. Des solutions existent pourtant: l'écotourisme permet ainsi aux touristes de passer quelques jours au coeur de la jungle dans un des écolodges, et les fonds dégagés permettent d'offrir des revenus durables aux communautés indigènes. Mais les enjeux restent nombreux, et le concept relativement peu connu. Les Ashamashné Productions se sont donc rendus en Amazonie equatorienne pour interroger un Shaman, un membre des communautés indigènes et le directeur d'un ecolodge (Tapir Lodge), et mieux comprendre le rôle de l'écotourisme dans le paradis vert de l'Amazonie.


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