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Des maisons arboricoles pour en finir avec la traditionnelle cabane

Voilà une vision bien particulière de la traditionnelle cabane au fond du jardin. Sur une idée originale de l'architecte Raimond de Hullu, le cabinet OAS1S qu'il a fondé a imaginé ces maisons arboricoles installées en pleine nature ou en périphérie des villes.
Mieux qu'un écoquartier, ces logements futuristes sont décrits par de Hullu comme un concept "gagnant-gagnant-gagnant pour l'homme, la nature et la société". Dans des propos rapportés par le Huffington Post américain, l'architecte hollandais explique avoir puisé son inspiration dans ses souvenirs d'enfance.

maison arbre

Il faudra patienter avant de vivre dans cette forêt de maisons. Aucun des logements OAS1S n'a encore été construit mais de Hullu aimerait en développer pour "transformer certaines zones urbaines pas spécialement attirantes" ou créer une station de vacances écologique. "Le concept semble futuriste mais il n'utilise que des techniques traditionnelles du bâtiment."







Jihadi John ou Mohammed Emwazi, l’exécutant exécuté.

Mohammed Emwazi, un programmeur informatique de Londres, est né au Koweït en 1988 d’une famille apatride d’origine irakienne. Ses parents avaient déménagé en Grande-Bretagne en 1993, après avoir perdu tout espoir d’obtenir la nationalité koweïtienne.
 Mohammed Emwazi, responsable de nombreuses décapitations, aurait été tué par les Américains à Raqqa. Elevé à Birmingham, il était considéré comme l’un des meilleurs pirates informatiques de l’Etat islamique.

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Il avait disparu. Depuis février, les visions de ses harangues enragées, de sa main gauche brandissant un couteau de boucher, de son corps dissimulé dans des voiles noirs, et, souvent, à ses pieds, d’un corps sans vie décapité, avaient cessé. 

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Pas de présence sur les réseaux sociaux, rien. Mais depuis cette date, il avait un nom : Mohammed Emwazi. Et le Britannique de 28 ans se savait sur les écrans-radar américain et britannique, inscrit sur une «kill list». Sa mort probable jeudi soir, au cœur de Raqqa en Syrie, via un drone dirigé par les Américains qui se disent «raisonnablement certains» de l’avoir tué, a été qualifiée par le Premier ministre du Royaume-Uni, David Cameron, de «geste d’autodéfense» réalisé grâce au travail «main dans la main» de Londres et Washington.

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Qui était Mohammed Emwazi ?

Depuis août 2014, il jouait un rôle de propagandiste pour l’Etat islamique (EI). C’est lui qui, devant une caméra, a décapité les travailleurs humanitaires britanniques David Haines et Alan Henning, l’Américain Abdul-Rahman Kassig, les journalistes américains Steven Sotloff et James Foley et le japonais Kenji Goto. Ces otages avaient été emprisonnés avec les journalistes français libérés l’an dernier, Didier François, Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torres. Comme Emwazi et ses trois acolytes avaient un accent britannique, les otages les avaient affublés des prénoms des Beatles : Paul, George, Ringo et John. Très vite, Mohammed Emwazi, à l’identité alors inconnue, était devenu «Jihadi John».

Les tatouages les plus difficiles à porter

Un tatouage n'est pas une décision à prendre à la légère. A moins de recourir à une opération (coûteuse et douloureuse) pour l'enlever, le tatouage fait partie intégrante de votre corps à vie. C'est pourquoi il est conseillé de bien réfléchir et surtout de se poser la question suivante : vais-je l'assumer jusqu'à la fin ?
Entre les tatouages faits sur un coup de tête (généralement sur la mode du moment) et ceux qui sont de véritables œuvres d'art mais pas vraiment discrets, nous vous avons demandé lequel était le plus dur à porter et à assumer ?

Drake




Au moins il en est conscient :




L'indescriptible :




Le tatouage pour les amoureux :




Les bretelles intégrées :




Les concerts qu'on a vus :




Le cupcake aux toilettes :




Le portrait (raté) de son enfant :




La faute d'orthographe :




Le Facebook fan :




Des fesses discrètes :




Après Facebook, Google :




Le fan de Green Day :




Un Harlem Shake original :




Hello Kitty :




Il déteste les iPhones, et pourtant...




Les Jonas brothers :




Des lunettes permanentes :




Un tatouage de luxe :




Le tatouage gourmand :




My Space :




Le phénomène Psy est partout :




Tatoué de sites pornographiques :




Twilight :




La blague qu'il faut assumer à vie :




Le fan de 9gag :




Les sept nains :




Le fan de Gangnam style :




La Mexicaine Maria José appelée "la femme vampire" pose pendant l'Expotattoo Venezuela.




L'américain Matt Gone à l'Expotattoo Venezuela :





La Britannique Isobel Varley en 2001 à la convention internationale de tatouages de Madrid. Isobel Varley affirme être la femme la plus tatouée au monde :




Une panthère tatouée sur le crâne d'un homme à la 15ème convention de tatouages de New York en mai 2012 :




19ème convention internationale de tatouages de Francfort, avril 2011 :




Vous avez sans doute entendu parler de la jeune belge Kimberley Vlaeminck. Elle avait accusé son tatoueur d'avoir profité de son assoupissement pour lui tatouer 56 étoiles sur le visage. Une version que dément le tatoueur qui affirme qu'il a seulement respecté le désir de la jeune fille :




Salon du tatouage et de l'art corporel de Sydney, mars 2011 :




Larry Harp, 68 ans, au concours du plus grand tatouage dans la catégorie "senior". Convention de Lors Angeles, mars 1998 :




Convention internationale de Londres, septembre 2009 :




Convention internationale de Londres, septembre 2009 :




Un guerrier maori pendant le "Powhiri", une cérémonie pour accueillir les visiteurs, octobre 2009 :




Un membre de la tribu Dayak de l'île de Borneo, janvier 2011 :




Salon du tatouage et de l'art corporel de Sydney, mars 2011:




Le tatoueur britannique Karma Webb pendant la convention de Katmandou au Népal, avril 2011:




Le modèle canadien Rick Genest alias Zombie boy lors de la présentation du créateur Thierry Mugler, janvier 2011 :




Convention internationale de Francfort, mars 2012 :




Le vénézuélien Emilio Gonzalez à l'Expotattoo de Caracas, janvier 2013 :