Quand le soleil entame sa descente sur l’île de Bohol, aux Philippines, les ombres s’étirent sur une armée de collines parfaitement dessinées. Par centaines, elles s’alignent, se répondent, se fondent dans un camaïeu de brun et de vert, comme si la terre avait modelé un paysage de confiserie.
Les Chocolate Hills fascinent autant par leur uniformité que par leur étrangeté. Ni montagnes, ni dunes, ni tumuli antiques : ces formations à l’étonnante régularité défient l’imagination autant que les lois de la géologie.
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