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FAITS AMUSANTS LED (Light Emitting Diode)

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  • LED est une abréviation pour "Light Emitting Diode". LEDS sont un type spécifique de diode qui éclaire lorsque la tension est appliquée aux bornes de la diode.
Image associée
  • La LED la plus ancienne connue a été inventé en 1927 par le scientifique d'origine russe Oleg Vladimirovich.
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  • Les avantages pour l'éclairage LED comprennent une haute efficacité énergétique, leur dur et facteur de forme compact, et enfin, la durabilité. LEDS consomment une quantité d'énergie similaire à une ampoule CFL, mais dans moins d'espace, sans verre cassable à combattre.
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  • Une LED typique a une durée de vie qui est près de cinq ans. Cela se compare favorablement aux ampoules fluorescentes, à environ 2-3 ans, et les lampes à incandescence, à un an ou moins.
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  • la vie professionnelle d'une LED est pas affectée par l'alimentation et l'éteindre. En fait, la plupart des signes de LED programmables ne sont pas allumés régulièrement, car ils pourraient semblent être. Ils vacillent en fait constamment, mais plus vite que vos yeux peuvent détecter. Cette technique est appelée "Pulse Modulation Vague", et est fait pour réduire la consommation d'énergie et de prolonger la durée de vie de la LED.


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Miss Guyane, Alicia Aylies, élue Miss France 2017.

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Trente candidates étaient en lice pour obtenir la couronne de Miss France 2017. C'est Alicia Aylies, Miss Guyane, qui a remporté le titre, samedi soir, à l'Arena de Montpellier. 


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Miss Guyane, Alicia Aylies, élue Miss France 2017


Elle a 18 ans, mesure 1,78 m et est en première année de Licence de droit.
Elle n'a pas hésité à s’entourer de coaches pour l'aider à améliorer sa culture générale, son élocution ou sa condition physique. 
Habituée des podiums depuis l’âge de 16 ans, et se préparant à une carrière de juriste, elle ne devrait pas rencontrer de problèmes lors des défilés.
Sportive elle a pratiqué l’escrime pendant 10 ans, ce qui lui a permis d’apprendre à se canaliser, à se forger son esprit compétitif et sa détermination.
Elle est une "Miss charismatique, bien représentative d’une jeunesse intelligente, qui tout en affirmant son appartenance nationale s’est forgée dans ses racines diverses et a symbolisé avec rayonnement les valeurs de la génération française en devenir."



8 aliments pour vous donner un coup de fouet

LE POIVRON ROUGE, UNE SOURCE DE VITAMINES !

C'est l’un des aliments les plus riches en vitamines C. Le poivron162 mg aux 100g. Il apporte de l’énergie et permet de vous rebooster pendant la journée.
Conseils de notre diététicienne :Découpez-le en fines lanières et mangez-le cru dans une salade. Si certain ne digère pas la peau, passez-le au four quelques minutes pour la faire ramollir et la retirer plus facilement.

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LE CASSIS, PETIT MAIS ÉNERGISANT !
Avec une teneur en vitamine C de 200MG pour 100g ce petit fruit rouge est une réelle source d’énergie. De plus, le cassis est riche en antioxydants qui luttent contre le vieillissement cellulaire et renouvellent les cellules.



LE PERSIL, HYPER CONCENTRÉ EN VITAMINE C
Un assaisonnement à ne pas négliger si vous avez besoin de vous revigorer. Le persil a une excellente teneur en vitamine C : 190 mg aux 100 g.
L’ajouter à un peu de boulghour avec du taboulé, du citron et de la tomate afin de réaliser un taboulé libanais. Surtout le manger cru sinon il va perdre 50% de sa teneur en vitamines.



LE CHOCOLAT, GRÂCE AU CACAO !
Son cacao est plein de magnésium, qui intervient dans diverses réactions physiologiques et sur le moral. De plus, le cacao comporte du polyphénol, un antioxydant qui intervient contre la fatigue.
Un petit carré de chocolat noir de 10 g par jour est recommandé.



LE CITRON, UN VÉRITABLE COUP DE FOUET
Tous les agrumes ont des vertus anti-fatigue. Le citron est l’aliment idéal pour vous réveiller. Son acidité n’est pas agréable pour tous, ainsi vous pouvez le mélanger à de l’orange et du pamplemousse pour en extraire un jus énergétique et savoureux.
Le citron est également revitalisant en assaisonnement. Pensez aussi au sorbet citron.

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LE KIWI, LE PLEIN DE FORCE DANS UN FRUIT
Le kiwi est lui aussi très riche en vitamine C : 93 mg aux 100 g. Si vous avez un petit coup de mou dans la journée, croquez dans un kiwi afin de vous revitaliser.
Le kiwi ne perd pas ses vitamines lorsqu’il est en smoothie. Une autre bonne idée donc pour le déguster !



LA GOYAVE EST TROPICALE ET REVITALISANTE
Un fruit des tropiques bien connu pour réveiller les papilles gustatives mais surtout pour faire le plein d’énergie ! La goyave contient 65 mg de vitamine C aux 100 g . Idéale dans les salades de fruits !



LE MIEL ET SES VERTUS REVITALISANTES
Le miel et ses vertus revitalisantes Le miel contient des enzymes provenant des glandes salivaires des abeilles. C ’est un aliment qui a des effets bactéricides, d’où son interêt si la fatigue est liée à une petite infection.
De plus le miel est riche en vitamines du groupe B6, B3 et B9 idéales pour la division cellulaire. En d’autres termes, le miel permet le renouvellement cellulaire de l’organisme qui joue un rôle fondamental sur notre état de fatigue.
Préférez la gelée royale, c'est le Top du top des produits de la ruche !
On rappelle l'importance d'une alimentation équilibrée et diversifiée associée à une activité physique régulière pour un apport de tous les nutriments nécessaires afin de rester en bonne santé et éviter les petits coups de pompe.


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Mal de dos : trouver l'origine de la douleur

Mal de dos : trouver l'origine de la douleur: image/jpeg


Face à un mal de dos, poser le bon diagnostic est un vrai casse-tête. La dorsalgie n'est en effet pas une maladie, mais un ensemble de symptômes qui peuvent provenir d'origines très différentes. La source de la douleur peut parfois même être localisée très loin du dos !


Mécanique ou inflammatoire ?

Chez un patient sur vingt, le mal est d'origine inflammatoire. Il peut résulter d'une maladie auto-immune, telle que la spondylarthrite ankylosante qui affecte les attaches des tendons et des ligaments sur les os. Aucune anomalie n'est visible sur une radio et il faut attendre au moins cinq ans avant que l'inflammation soit détectable à la prise de sang.

En attendant, les personnes atteintes ne bénéficient pas d'une prise en charge adéquate de leurs douleurs. Plusieurs indices peuvent alerter : l'apparition d'un mal de dos précoce (avant 40 ans), sa recrudescence au repos (essentiellement durant la nuit) et une raideur matinale qui persiste une demi-heure au réveil. Mais dans la majorité des cas, la dorsalgie est d'origine mécanique c'est-à-dire liée à une mauvaise posture ou un geste inadapté.

Des diagnostics précis

Déformation de la colonne, dégénérescence d'un disque intervertébral, fragilité d'un ligament… La radio classique ne permet pas toujours de les déceler car le dos, plaqué contre une surface rigide, est en posture inhabituelle.

A l'IRM ou au scanner, les images sont prises en position allongée, ce qui permet de repérer une hernie par exemple mais non sa cause. D'où de fréquentes erreurs de diagnostic. L'unique moyen de déceler la véritable source d'un déséquilibre ostéo-articulaire est de recourir à l'imagerie dynamique (idRN) afin de visualiser le comportement des chaînes musculaires vertébrales en situation réelle.

Torsion des vertèbres, alignement du bassin, inclinaison des épaules… : le moindre déséquilibre osseux est immédiatement révélé. Le système d'imagerie EOS établit des diagnostics encore plus précis en radiographiant l'intégralité du squelette debout ou assis sous tous ses angles.On peut appréhender ainsi l'équilibre global, affiner les traitements et éviter des opérations inutiles.

Des causes surprenantes

Nombre de dorsalgies sont le fruit d'un trouble à distance qui se répercute sur le dos. Un mauvais appui au sol (pieds trop plats ou convexes) ou un dysfonctionnement des yeux peuvent induire des postures douloureuses. Inutile dans ce cas de s'en remettre à un kiné. Le port de semelles orthopédiques ou des séances d'orthoptie suffisent à gommer les douleurs.

Des troubles digestifs ou gynécologiques peuvent aussi altérer l'équilibre osseux en raison de la proximité de certains nerfs ou de la présence d'adhérences qui tiraillent à l'intérieur de l'abdomen. Plus étonnant :une organisation dentaire défectueuse, un kyste sous une molaire ou une dent manquante sont aussi susceptibles d'induire des douleurs différées. Une déviation de cinq centièmes de millimètres au niveau des mâchoires – à peine l'épaisseur d'un cheveu – peut de fait engendrer des dérèglements en chaîne et faire vaciller toute l'architecture osseuse. Comme les muscles des mâchoires sont reliés fonctionnellement aux muscles du cou et du dos, la tension se transmet de proche en proche. En cas de mal de dos inexpliqué, parlez-en à votre dentiste. Enfin, le stress est l'ennemi du dos. Un choc émotionnel ou un sentiment négatif peuvent crisper les muscles exagérément. Sans compter la fatigue qui, cumulée à de l'angoisse, forme un terreau propice à l'installation d'un trouble psychosomatique, notamment au niveau des trapèzes. D'où l'expression « j'en ai plein le dos ».

Les femmes davantage touchées

 Chez la gent masculine, la testostérone réduit la perception de la douleur, mais pas chez la femme. De plus, les œstrogènes altèrent les mécanismes de contrôle de la douleur.

Accidents de MOTO CHOC

Voici un regroupement des meilleurs vidéos de motos du web. Sur route ou sur piste, des Fails, chutes, accidents, roads rages mais aussi du stunt. Pour les motards, motardes, automobilistes... bref pour tout le monde ! 

Les Plantes carnivores

Une plante peut être qualifiée de carnivore quand trois critères sont réunis : attirer une proie, la capturer et la manger.
Il existe une grande variété de plantes carnivores dans le monde. Pourquoi des plantes sont-elles devenues carnivores ? Cette convergence évolutive d’espèces, à l’origine différente, a-t-elle un point commun ? 
Dans cet univers fascinant, le végétal devient prédateur et l’animal la proie. Pourtant, ce sont bien des plantes, mais qui ont su s’adapter pour survivre.
Les pièges utilisés par les plantes carnivores sont différents selon les espèces. Si certaines sont surtout insectivores, d’autres n’hésitent pas à piéger des mammifères comme le rat.

Portrait de la plante carnivore

Ces végétaux appartiennent à plusieurs familles dont voici les principales :
  • Broméliacées. Exemple : Brocchinia originaire d’Amérique du Sud
  • Dioconphyllacées. Exemple Triphyophyllum peltatum originaire d’Afrique
  • Lentibulariacées. Exemple Grassette à grandes fleurs (Pinguicula grandiflora) originaire d’Europe
  • Népenthacées : Exemple Nepenthes mixta originaire de l’Insulinde
  • Byblidacées : Exemple Plante arc-en-ciel (Byblis liniflora) originaire d’Australie
  • Céphalotacées. Exemple Cruche à eau d’Albany (Cephalotus follicularis) originaire d’Australie
  • Drocéracées. Exemple : Attrape-mouche de Vénus (Dionaea muscipula) originaire d’Amérique du Nord
  • Martyniacées. Exemple Griffes du diable (Ibicella lutea) originaire du continent américain
  • Sarracéniacées. Exemple : Plante cobra (Darlingtonia californica) originaire d’Amérique du Nord

Les plantes carnivores sont présentes sur tous les continents. Il en existe environ 500 espèces. Cette adaptation est très ancienne puisque l’on a retrouvé des fossiles datant d’environ 85 millions d’années.

Une des nombreuses espèces de grassette (Pinguicula sp.) 

Leur point commun est d’attraper et de digérer des proies pour augmenter leur apport nutritionnel.
En effet, ces plantes sont très bien adaptées aux milieux pauvres. Elles prospèrent essentiellement dans des sols pauvres en matières organiques.
On peut par exemple en trouver dans des lacs au pH acide, dans des savanes sableuses ou en milieu très rocailleux.


Ces plantes se développent des plaines côtières jusqu’en haute altitude, à plus de 3000 mètres. La majorité des plantes carnivores sont terrestres, mais certaines sont aquatiques telle que la plante aquatique à roue (Aldrovanda vesiculosa).
Toutes les plantes carnivores possèdent des fleurs, mais ce ne sont pas ces fleurs qui jouent le rôle de piège. Ce sont toujours les feuilles.
 Rossolis du Cap (Drosera capensis)

Il semblerait donc que certains végétaux soient devenus carnivores pour compenser la pauvreté du biotope. Les proies leur apportent notamment de l’azote et du phosphore.
Elles survivent d’ailleurs beaucoup moins bien sur des sols riches.

Les techniques de chasse des plantes carnivores

Des mécanismes variés permettent d’attirer les proies : feuille-mâchoire, glu, feuille-toboggan, nasse, mimétisme…)
On peut classer les pièges en deux catégories : les pièges actifs et les pièges passifs.
 Rossolis à feuilles rondes (Drosera rotundifolia)
est présente en Europe. Les feuilles
sont couvertes de poils glanduleux.
Parmi les pièges les plus caractéristiques, certains sont très subtils comme les pièges à urnes. Par exemple, les sarracénias attirent les insectes par leurs superbes couleurs et leur nectar.


Attirée par ce festin, la victime se pose en haut du cornet pour récolter le nectar. Mais, aussitôt, elle glisse, tombant au fond du cornet, et ne pouvant se rattraper tant les parois sont cireuses et garnies de soies rigides tournées vers le bas.
Le fond du piège est rempli d’un liquide garni d’enzymes.

 Trompette blanche (Sarracenia leucophylla)

La dionée utilise le système de la feuille-mâchoire. Lorsqu’un insecte se pose à l’intérieur de la feuille, il touche des poils qui commandent l’ouverture et la fermeture de la feuille. Le piège se referme en une fraction de seconde.
Ces feuilles mâchoires sont formées de deux lobes bordés de cils qui s’imbriquent, empêchant toute fuite.
La noyade est utilisée par d’autres espèces comme le Brocchinia. Les feuilles sont étroites et forment une sorte de gouttière. Cette plante d’environ 25 cm de haut ressemble à un cornet dans lequel l’eau stagne.
Les insectes viennent s’y noyer.
On trouve également des pièges à tentacules. C’est le système du papier attrape-mouche. Ces plantes sécrètent de la glu qui immobilise la proie. Les tentacules peuvent alors se recourber emprisonnant définitivement la victime dans la feuille.
Il n’y a pas que les insectes ou les fourmis qui se laissent prendre aux pièges de ces plantes. En 1987, on a eu la confirmation que les népenthès piégeaient des rats. Apparemment, les rongeurs voulaient s’abreuver et sont tombés dans les urnes dont ils n’ont pu ressortir.

Les pièges les plus sophistiqués des plantes carnivores sont les pièges à aspiration des Utricularia, des plantes aquatiques.
Elles ressemblent à des outres. Dès qu’un insecte se laisse piéger et pénètre dans l’ouverture, une aspiration rapide se produit.
Elle entraîne la proie et l’eau vers l’intérieur. L’utricule évacue ensuite l’eau et peut digérer sa proie qui s’est noyée.

La digestion de la proie

Les vraies plantes carnivores (Dicotylédones) possèdent des enzymes pour la digestion. Ces plantes sécrètent une ou plusieurs enzymes et peuvent assimiler leurs proies en quelques heures.
Par contre, les protocarnivores (Monocotylédones) utilisent des bactéries pour la digestion. Le fond des urnes contient des bactéries qui liquéfient la proie et libèrent les éléments nutritifs nécessaires à la plante.
Comme chez l’être humain, les plantes carnivores peuvent avoir des indigestions si la proie est trop grosse. Cette « indigestion » peut entraîner le pourrissement de la feuille à cause d’un excès de sécrétions enzymatiques.
Les parties dures des insectes ne sont pas digérées, car non dissoutes.
Majoritairement, les proies sont des mouches, guêpes, papillons et autres insectes ainsi que des araignées, des mollusques et plus rarement des petits batraciens.

Zoom sur quelques espèces de plantes carnivores

La dionée : une prédatrice du règne végétal
La dionée est au monde végétal ce que le tigre est au monde animal : une prédatrice. Dans cet univers silencieux où tout semble immobile, la mort rôde. Une mouche explore le cœur rouge d’une belle fleur blanche avec insouciance. C’est la dernière erreur de sa brève existence. Aussitôt les feuilles se referment l’anéantissant sans un bruit.

La dionée (Dionea) est originaire de Caroline du Nord et du Sud. Ses feuilles pivotent sur une sorte de charnière, des ressorts, qui ressemblent à des filaments, assurant la bonne marche du piège. Au milieu des feuilles épanouies, cette jolie fleur blanche laisse admirer son cœur rouge particulièrement attractif pour les insectes.

L’insecte vient aussitôt explorer la belle et se retrouve subitement enfermé dans un piège mortel.
Les feuilles qui se referment possèdent des bords dentelés, à la façon d’un peigne, qui s’emboîtent avec précision.


Lorsque l’insecte effleure l’un de ces ressorts, le piège se détend et les sucs digestifs de la plante entrent en activité.
L’ensemble du processus de digestion prend environ 10 jours. Puis la dionée ouvre de nouveau ses feuilles. Elle se débarrasse ainsi des débris indigestes de la proie, ailes ou écailles.
Elle est prête à accueillir une nouvelle victime.
Le népenthès : une plante carnivore odorante
Le népenthès est originaire d’Australie et des régions orientales de l’Amérique du Nord. Cette plante est munie de petits récipients en forme de cruche qui pendent de ses feuilles.
L’insecte est attiré dans le piège par le parfum exotique que dégage la plante.
Lorsqu’il s’aventure sur les rebords glissants d’un des réservoirs, il perd aussitôt l’équilibre et tombe dans un bain d’acide.

Des poils rigides, pointés vers le bas, lui interdisent de s’en échapper. La proie succombe bientôt, empoisonnée par les sucs digestifs.
L’utriculaire : un trappeur astucieux
Le plus remarquable des pièges végétaux est dû à l’utriculaire qui se rencontre habituellement dans les régions tropicales à la surface des étangs et des eaux dormantes.
Dépourvue de racine, cette plante dérive au gré des vents et des courants. C’est une plante longue et mince, avec des feuilles très ramifiées, dont chacune supporte environ une douzaine de petites vésicules.

Ces petites outres, les utricules, constituent les pièges : devant leur ouverture se trouve une « trappe » que l’on peut ouvrir du dehors, mais non du dedans.
L’insecte ne choisit d’ailleurs pas de pénétrer dans l’antre du monstre, mais y est aspiré.
Le droséra : un papier tue-mouches
Certaines plantes carnivores recourent à des systèmes différents. C’est le cas du superbe droséra d’Australie et d’Afrique du Sud (Drosera hamiltonia. Drosera spatulata).
Les droséras sont surnommés « rosées du soleil ». Drosera longifolia. 
C’est une plante odorante, mais dont la fleur recèle des charmes mortels. Son cœur, qui ressemble à une pelote d’épingles, renferme une colle extrêmement puissante.
Tout insecte qui s’y pose ne peut plus s’en dégager.
Alors les scintillantes têtes d’épingle s’enroulent autour de la victime et le festin commence.

Zoom sur les têtes d'épingle d'un droséra. 
La grassette feuillue procède d’une façon semblable. Quand une abeille ou un papillon s’y pose pour se nourrir, la plante exsude une substance gluante et capture l’insecte.
Puis, elle sécrète une enzyme digestive qui immobilise la victime. Enfin, les rebords de la feuille enveloppent la proie dans une étreinte mortelle.

Documentaire sur Vladimir Poutine



Entre la plus petite et la plus grande fleur du monde

Dans le jardin des extrêmes, certaines fleurs se distinguent par leur taille, mais aussi par leur odeur.
La plus petite fleur du monde, Wolffia arrhiza, est originaire d’Amérique du Sud tandis que la plus grande, Rafflesia arnoldii, nous vient d’Asie.
Paradoxalement, Rafflesia arnoldii est également une des fleurs qui dégage l’odeur la plus nauséabonde.
Cependant, ce n’est pas elle qui détient le record de l’odeur la plus fétide.


La plus petite fleur du monde

Wolffia arrhiza est une lentille d’eau. C’est non seulement la plus petite fleur, mais également la plus petite des plantes à fleurs.
Originaire du Brésil, la plante mesure entre 0,5 et 1 mm et sa fleur est deux fois plus petite.
Cependant, cette lentille d’eau, malgré sa petite taille, peut représenter un danger pour la faune aquatique.
En effet, les lentilles d’eau recouvrant par milliers les mares et les étangs au point de devenir une entrave à la photosynthèse.

Wolfia arrhiza
Wolfia arrhiza, la plus petite fleur du monde 
Cette plante ne possède pas de racines. Elle flotte simplement à la surface des eaux dormantes.

Wolffia punctata, une autre lentille d’eau, arrive juste après avec un diamètre de 0,5 à 0,7 mm.
Ces minuscules plantes ont été découvertes par le naturaliste français Weddell. Elles croissaient sur les feuilles de la plus grosse des plantes à fleurs d’eau douce, la victoria d'Amazonie (Victoria amazonica).


Victoria amazonica
 Victoria d'Amazonie (Victoria amazonica) 

Cette plante tire son nom de la reine Victoria et du cours d’eau sur lequel elle prospère.

Elle détient un autre record. De toutes les plantes à fleurs, c’est celle dont la croissance est la plus rapide.

Victoria d'Amazonie
 Victoria amazonica.

En l’espace de six jours seulement, ses minuscules bourgeons épineux deviennent des feuilles larges de 90 cm.
Adultes, elles atteignent 3 m de diamètre. La fleur est très éphémère et fane au bout de deux jours.
La plus grande fleur du monde

La plus grande fleur simple du monde est Rafflesia arnoldii. La rafflésie est un parasite des racines des lianes sauvages dans les jungles épaisses de l’Asie du Sud-Est, en particulier de Malaisie et de Bornéo.
Elle pousse également en Indonésie.
Elle n’a pratiquement ni racines, ni tige, ni feuilles. En revanche, sa fleur peut atteindre 1 m de large, 2cm d’épaisseur et peser jusqu’à 10 kg.
Elle évoque le cœur d’un chou rouge monstrueux.
Rafflesia arnoldii
Rafflesia arnoldii 

Hôte invisible pendant un ou deux ans des lianes, elle se met à pousser subitement et en quelques mois atteint sa taille adulte.
La rafflésie dégage malheureusement une odeur nauséabonde qui rappelle celle de la viande pourrie.
C’est d’ailleurs cette odeur qui attire les insectes qui joueront le rôle de pollinisateurs.
Cette plante est rare et protégée. Il est vrai que la pollinisation est difficile, car mâle et femelle doivent s’ouvrir au même moment. L’éclosion n’intervenant que durant moins d’une semaine, elle se reproduit très peu.

La fleur la plus nauséabonde

Si la rafflésie sent très mauvais, ce n’est rien à côté de certaines espèces qui appartiennent à la famille des Aracées.
L’Arum titan (Amorphophallus titanum) est encore plus impressionnant que la rafflésie. Son inflorescence est la plus grande du monde.
Note : En botanique, l’inflorescence est la disposition des fleurs d’une plante les unes par rapport aux autres. Par exemple, la grappe ou les épis sont des inflorescences.
Rafflesia arnoldii conserve par contre le record de taille de la plus grande fleur simple.

Arum titan. Amorphophallus titanum
 Arum titan. Amorphophallus titanum.

L’Arum titan peut dépasser 2 m de haut et peser jusqu’à 70 kg. Vous pouvez notamment en admirer au Jardin botanique national de Belgique qui se situe près de Bruxelles. Deux spécimens ont en effet fleuri pendant l’été 2008, ce qui est très rare.

Arum titan. Amorphophallus titanum
Arum titan  (Amorphophallus titanum). 

Son odeur est l’une des plus repoussantes du monde et sert à attirer les mouches transportant le pollen.
Les Aracées sont des adeptes des odeurs fortes. Arum rupicola possède une fleur dans laquelle les mouches viennent déposer leurs œufs.
Lorsqu’elle s’ouvre, elle dévoile tout autour de ses graines naissantes un véritable grouillement d’asticots.
L’odeur est plus que fétide.

La plante la plus étrange

Toujours dans la famille des Aracées, Helicodiceros muscivorus est une plante bien surprenante. Appelée petit dragon mange-mouches ou arum mange mouches, on ne la trouve que dans quelques îles de Méditerranée, Sardaigne, Corse et Baléares.
Cette plante rare vit en symbiose avec les mouettes. Ces dernières se rassemblent au moment de la reproduction et construisent leurs nids avec divers matériaux.
Le nid est encombré d’excréments, de nourriture régurgitée et même d’oisillons morts. Ce sont donc des endroits idylliques pour les mouches à viande.
L’arum semble avoir compris que c’était aussi une aubaine pour elle. Elle pousse au milieu des nids et fleurit au moment de la reproduction des mouettes.
Chaque plante fabrique des inflorescences formées de la spathe qui ressemble à une grande assiette d’où émerge une sorte de massue, le spadice, portant des fleurs minuscules.
Les mouches accourent vers la spathe qui est tachetée de gris vert et parcourue de veinules imitant à la perfection la viande en décomposition.
La plante dégage d’ailleurs une odeur de chair en décomposition.

Helicodiceros muscivorus . Arum mange mouches
Helicodiceros muscivorus ou Arum mange mouches. 

Les insectes sont apparemment fous de cette odeur et inspectent donc la spathe à la recherche de nourriture et pour y pondre leurs œufs.
Mais, un piège les attend.
Le spadice est enfoncé dans les tissus de la spathe où se forme une cavité.
Les mouches arrivent à l’entrée de cette cavité qui les attire avec sa couleur rouge, ses poils denses et une odeur encore plus attractive.
Elles tombent dans la chambre florale et y pondent leurs œufs. L’odeur de pourriture et l’humidité semblent les rendre totalement hystériques.
La plupart ne pourront plus ressortir du piège, pas plus d’ailleurs que les asticots qui y naîtront.


Helicodiceros muscivorus ou Arum mange mouches
Helicodiceros muscivorus. 

L’arum mange-mouches a besoin des insectes pour sa pollinisation. Les fleurs femelles fleurissent en premier et les mâles ensuite.
Les mouches porteuses de pollen pollinisent les fleurs femelles puis sont emprisonnées par la belle pendant trois jours jusqu’à ce que les fleurs mâles fleurissent à leur tour. Les insectes survivants emportent alors du pollen en s’échappant du piège, car les poils qui bloquent l’entrée de la chambre se flétrissent.
Tout est donc parfaitement coordonné. La fécondation des fleurs femelles est assurée par les insectes chargés de pollen qui meurent peu après.
Par contre, les mouches vierges de pollen sont séquestrées puis se chargent à leur tour de pollen, sortent du piège et vont assurer la fécondation des fleurs mâles. 

À Taliouine, l’hôtel Ibn Toumert, est à l’abandon

L’hôtel Ibn Toumert, à Taliouine, qui abrite des œuvres intégrées de Mohamed Melehi et de Mohamed Chabâa, est laissé à l’abandon. Fermé depuis 2013, l'établissement garde jalousement le secret des œuvres qui sont supposées y être encore logées.




A la (re)découverte de cet hôtel, construit en 1975 et qui a vécu ses heures de gloire pendant plus de 30 ans, un seul mot vient à l’esprit: désolation. L’hôtel est en effet fermé depuis 2013 et il n’est pas possible d’accéder à l’intérieur, ni pour constater si les œuvres de Melehi et de Chabâa sont encore à leur place, ni dans quel état elles se trouvent.

Mohamed Melihi





Cœur battant de Taliouine, dans la région de Taroudant, l’hôtel qui attirait de grandes personnalités de différents domaines, est aujourd'hui réduit à l’état d’établissement-fantôme depuis sa fermeture en 2013 pour des raisons économiques




Taliouine (en tifinagh : ⵜⴰⵍⵉⵡⵉⵏ, en arabe : تاليوين) est une ville du Maroc. Elle est située dans la région de Souss-Massa sur la route nationale n ° 10 entre Ouarzazate et Agadir, à 100 km de Taroudant . Elle est limitée au nord par la province d’El Haouz, à l’ouest par Aoulouz (Province de Taroudant) à l’est par Taznakht (Province d’Ouarzazate) et au sud par la province de Tata. La zone de Taliouine est le centre de production du safran dans le Royaume du Maroc. Y opère depuis des lustres la coopérative Souktana, structure emblématique et vitrine de la filière en matière de commercialisation de cette épice, mais aussi d’amélioration de la qualité de production. Taliouine est appelée la capitale de l'or rouge, et la culture du safran est l'une des cultures les plus importantes qui emploie une grande partie de la population locale et leur donne la possibilité de travailler et d'obtenir un revenu car c'est une culture nécessaire en raison du prix élevé du safran, et donc sa culture et son commerce sont devenus un revenu important pour les familles.