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Le moringa, arbre de vie ou arbre aux miracles

 
Cet arbuste originaire d’Inde brille pour ses puissants pouvoir nutritifs et ses nombreux bienfaits.
Il existe 13 variétés de moringa, mais celle qui nous intéresse pour ses nombreuses qualités nutritives et thérapeutiques est le moringa oleifera.
Originaire d’Inde, ce petit arbre à croissance rapide s’épanouit dans des sols particulièrement secs et arides, même si aujourd’hui, il s’est acclimaté dans presque toutes les régions tropicales d’Asie et d’Afrique.
Tout est bon dans le moringa : ses racines au goût de raifort, ses fruits (gousses), ses graines, son écorce et surtout ses feuilles à l’impressionnante densité minérale et vitaminique.
En Inde et en Thaïlande, ses fruits sont dégustés dans de nombreuses recettes traditionnelles (curry, dals, korma, sautés, soupes …) et ses fleurs en beignets, en Indonésie, aux Philippines et au Cambodge, les feuilles entrent dans la composition de soupes et bouillons de légumes et au Sahel, les feuilles sont un légume à part entière, consommées cuites comme des épinards.
Le moringa n’a pas volé ses surnoms d’« arbre de vie » ou « arbre aux miracles » : utilisé depuis des siècles en médecine Ayurvédique, elle lui attribue le pouvoir de combattre plus de 300 maladies, dont le rhume, le diabète, l’hypertension artérielle ou encore pour stimuler le système immunitaire.
En France, on parle de lui depuis quelques années seulement, et ce sont ses feuilles, séchées et réduites en poudre, qui sont utilisées pour leur très grande richesse en minéraux, vitamines et antioxydants.


Atouts Nutritionnels.


Même si toutes les parties du moringa peuvent être utilisées pour leurs vertus, ce sont les feuilles de moringa qui brillent par leur richesse nutritionnelle. Elles contiennent la majorité des minéraux et vitamines dont notre organisme a besoin, dans des quantités très élevées !
A poids égal, ce super-aliment contient autant de protéines que dans un steak de bœuf, 4 fois plus de calcium que dans le lait de vache, 9 fois plus de vitamine C que dans le kiwi, 4 fois plus de vitamine A que dans la carotte et autant de magnésium que dans le chocolat noir ! Bien que les quantités de moringa consommées soient bien moins importantes que celles de tous les aliments cités ci-dessus, une cuillère à café quotidienne suffit à palier de nombreuses carences !
Le moringa contient également de la chlorophylle en très grande quantité, aux nombreuses vertus santé (digestion, cicatrisation, défenses immunitaires …).
Les feuilles de moringa sont consommées déshydratées, souvent sous forme de poudre, tout comme la spiruline. Elle conserve ainsi la grande majorité de ses qualités nutritives, exceptée la vitamine C, sensible à la chaleur, à la lumière et à l’oxydation, qui est donc largement affectée par le séchage et le broyage des feuilles.
Enfin, le moringa se distingue par sa très grande concentration en antioxydants (terpènes, acide phénolique, flavonoïdes) qui contribuent largement à ses nombreuses vertus santé.


Bienfaits et vertus.

  • Combler les carences nutritives
Ce cocktail de minéraux, vitamines et antioxydants n’a pas son pareil pour palier toutes les carences nutritionnelles. Le moringa est notamment utilisé pour lutter contre la malnutrition et les carences dans les pays pauvres, et un grand nombre d’ONG l’utilisent à cet effet.
  • Antioxydant
Le moringa possède une très forte action antioxydante qui a été étudiée à de nombreuses reprises1 2 3. Elles concluent toutes à la forte capacité des antioxydants contenu dans le moringa à piéger les radicaux libres responsable de l’oxydation des cellules, de leur vieillissement.
  • Hypoglycémiant
Une revue scientifique datant de 20124 regroupe toutes les études scientifiques qui ont été faites sur l’effet hypoglycémiant du Moringa. Elle conclue que « Les études rapportées chez les animaux de laboratoire et les humains, bien que limitées en nombre et de conception variable, semblent concordantes dans leur soutien à ce potentiel hypoglycémiant », bien que de nouvelles études plus rigoureuses soient nécessaires pour le confirmer.
  • Action purifiante
C’est la chlorophylle, présente en très grande quantité dans le moringa qui lui confère cette action purifiante. Ce pigment, responsable de la couleur verte des feuilles de moringa favorise la détoxification des cellules de l’organisme. Elle est également bénéfique à la santé de la flore intestinale et permet de lutter contre les ballonnements et la prolifération bactérienne.
  • Antidiabétique
Plusieurs études suggèrent un effet positif du moringa dans le traitement du diabète. La plupart ont été faites sur des rats, à l’image de cette étude de 20155 menée en Arabie Saoudite a étudié l’effet du moringa sur le rat mâle, qui montre un effet positif sur les marqueurs du diabète et sur l’histologie du rein.
  • Hypocholestérolémiant
Les feuilles de moringa fraîches étaient utilisées par les Indiens pour faire baisser le taux de cholestérol chez les patients obèses. Une étude Nigérienne a étudié l’effet de l’extrait de feuilles de moringa associé à un régime pauvre en graisses, et a révélé une diminution de 14% des taux de cholestérol dans le sérum, le foie et les reins.
  • Anticancéreux
Une étude menée en 2011 à l’Université nationale de Singapour a étudié l’action des extraits de feuilles de moringa sur les cellules cancéreuses humaines. Les résultats suggèrent que « les extraits de feuilles de M. oleifera présentaient une forte anti-prolifération et une puissante induction de l’apoptose [mort des cellules]» et l’étude conclue que « les extraits de feuilles de M. oleifera ont un potentiel de chimioprévention du cancer et peuvent être revendiqués comme cible thérapeutique du cancer. »
Posologie
En France, le moringa est principalement commercialisé sous forme de poudre libre ou en gélules.
Pour bénéficier de ses bienfaits nutritifs et santé, on préconise une à deux cuillères à café de poudre par jour. Lorsqu’il est conditionné sous forme de gélules, la posologie est indiquée sur l’emballage. La cure doit idéalement durer 4 mois.


Effets secondaires et contre-indications
Les effets secondaires et contre-indications des feuilles séchées de moringa viennent de ses fortes richesses nutritionnelles et de ses effets thérapeutiques. Ainsi, les personnes souffrant d’hypoglycémies ne doivent pas entamer de cure de moringa sans avis médical. Une consommation importante de moringa peut provoquer des troubles du sommeil ou de l’insomnie, des troubles digestifs (effet laxatif) et plus rarement des brûlures d’estomac.
Enfin, du fait de sa forte teneur en vitamine A, le moringa est déconseillé aux femmes enceintes et allaitantes.

Les oiseaux migrateurs

Au printemps, des dizaines de milliers d’oiseaux qui avaient migré à l’arrivée de l’hiver reviennent. Ce phénomène a toujours fasciné les hommes, lesquels ont cherché à comprendre les raisons et les moyens qu’utilisent les oiseaux pour accomplir cet extraordinaire voyage. Plusieurs méthodes d’observation, et des recherches menées sur le sujet, ont permis de comprendre une grande partie de ce phénomène.

  • Qu’est-ce que la migration?
Les cigognes nichent sur les toits

En hiver, lorsque les conditions climatiques ne sont plus aussi favorables que durant l’été, des dizaines de millions d’oiseaux migrent: ils volent en direction de leurs habitats d’hiver, appelé «zones d’hivernage». Les oiseaux dits «migrateurs», par exemple la cigogne, se distinguent des oiseaux «sédentaires», c’est-à-dire ceux qui restent au même endroit toute l’année, comme la pie. Le plus souvent, les oiseaux sédentaires habitent dans des régions où le climat est plus doux. L’arrivée de l’hiver et de ce qui l’accompagne - le froid, le manque de nourriture - n’est pas un problème pour eux.
En revanche, pour ceux qui ne peuvent rester au même endroit toute l’année, parfois un très long voyage les attend. Les oiseaux migrateurs peuvent parcourir, pendant des semaines et parfois même des mois, des milliers de kilomètres. La migration est aussi nommée «déplacement migratoire». On distingue aussi deux types de comportements migratoires: alors que les jeunes oiseaux ont tendance à se séparer pour trouver des zones d’hivernage différentes (comportement dispersif),
 les oiseaux plus âgés retrouvent régulièrement les mêmes zones d’un hiver à l’autre (comportement erratique).
  • Observer la migration
Plusieurs méthodes sont utilisées pour savoir d’où viennent les oiseaux migrateurs et où ils se rendent. Ces méthodes de suivi des oiseaux migrateurs permettent non seulement leur identification, mais aussi leur comptage.
       - Observation directe
La première méthode est l’observation directe sur des passages de grandes migrations connus et des sites propices au passage des oiseaux en raison de leurs conditions topographiques et de leur emplacement sur des voies migratoires recensées. Par exemple, les cols de montagne voient souvent de nombreux oiseaux passer au printemps et en automne.
        - Bagage et recapture nécessaire
La deuxième méthode utilisée, et qui date du début du XXe siècle, est le baguage: un petit cercle de métal, sur lequel est inscrit un numéro unique, est accroché sur la patte d’un oiseau capturé à cet effet. Après l’avoir identifié, mesuré et pesé, il est relâché au milieu de ses congénères afin de poursuivre son long voyage migratoire. Une recapture, par exemple sur la zone d’hivernage, permet ainsi de connaître un peu mieux le déplacement des groupes d’oiseaux similaires à celui de l’individu bagué.
         - Détection par radars et analyses isotopique des plumes
Enfin, il existe des méthodes plus récentes, comme les radars de détection des flux de migration et l’analyse isotopique des plumes des oiseaux. Cette dernière méthode analyse la composition chimique des éléments les plus abondants des plumes des oiseaux migrateurs lorsqu’ils sont capturés sur leur zone d’hivernage et permet ainsi d’estimer leur type d’habitat d’origine.
  • La migration: un long voyage… avec GPS embarqué!
La barge rousse peut voyager 11'500 km 
sans escale, c'est un record! 

La migration est un long voyage qui s’étend, pour certain, à presque un tour du monde chaque année! Par exemple, la sterne arctique parcourt près de 20’000 km pour rejoindre l’Arctique et l’Antarctique, et ce deux fois par année. D’autres oiseaux, comme la mésange, ne font «que» quelques centaines de kilomètres.
Durant ce périple, les oiseaux migrateurs ne doivent pas se perdre! Ils utilisent, en premier lieu, les repères visuels géographiques connus. Ils emploient aussi ce que l’on nomme les «compas biologiques internes». Il s’agit de mécanismes physiologiques qu’utilisent les oiseaux pour conserver, sur de courtes ou longues distances, la même direction.
        - Le compas solaire
Il permet de s’orienter en fonction de l’azimut solaire qui donne la position du soleil dans la journée, comme si il était à l’horizon, sans tenir compte de sa hauteur dans le ciel. C’est ainsi que s’orientent les oiseaux dans les zones polaires.
         - Le compas stellaire
Les oiseaux peuvent également migrer la nuit. Bien que le compas solaire soit plus efficace, des chercheurs ont observé dans un planétarium que les oiseaux modifiaient leur parcours en fonction des étoiles. Avec un ciel de printemps, les oiseaux se dirigent vers le nord; à l’inverse, lorsque le ciel nocturne de l’automne est projeté sur le planétarium, les oiseaux s’orientent vers le sud. Les fauvettes, les gobemouches et les rougequeues utilisent tout particulièrement ce compas pour s’orienter.
         - Le compas magnétique
De même que pour le compas stellaire, des expériences ont été effectuées sur des oiseaux en cage et sur des gobes mouches noirs et ont confirmé que les oiseaux étaient sensibles au champ magnétique. En les soumettant à des champs magnétiques variés, les chercheurs ont découvert que les oiseaux choisissent leur direction en fonction du champ magnétique terrestre. Les oiseaux peuvent ainsi garder leur cap lors de la migration, en particulier lorsque le ciel est couvert.
  • Pourquoi les oiseaux reviennent-ils?
La migration répond à un besoin: les oiseaux migrent lorsqu’il fait trop froid et que la nourriture n’est plus suffisamment abondante. S’ils trouvent suffisamment de nourriture et que leur plumage les protège du froid, ils ne migrent pas. Les oiseaux migrateurs suivent donc les conditions climatiques qui leur sont le plus favorables en termes d’ensoleillement et de ressources.
La deuxième raison est que la plupart des zones d’hivernage accueillent un nombre très important d’oiseaux venus de la Terre entière: comme ils sont nombreux sur un espace restreint, la compétition pour les ressources alimentaires est très forte. Ces zones ne pourraient suffire, toute l’année, pour nourrir tous les oiseaux migrateurs.
  • Une très longue histoire partagée
L’Homme a toujours été fasciné par la migration des oiseaux. De nombreuses croyances contiennent des éléments y faisant référence. De plus, comme la migration a lieu chaque année, elle sert d’indicateur afin de savoir que la mauvaise saison arrive. La migration rythme les saisons et la vie des Hommes, qui ensemencent les champs lorsque les oiseaux reviennent au retour du printemps. Les Hommes ont également pu compléter leur alimentation en chassant des oiseaux se trouvant sur les aires de repos intermédiaires (endroits où certains oiseaux migrateurs font une halte pour se reposer durant leur migration) ou à proximité des zones d’hivernage.
  • Quels sont les oiseaux migrateurs qui parcourent les plus longues distances ?
Certains oiseaux migrateurs voyagent sur des distances absolument incroyables. Une performance d'autant plus remarquable qu'ils ont un poids réduit et doivent affronter des vents contraires et des conditions climatiques parfois éprouvantes. Voici les champions du monde en la matière.
Sur environ 600 espèces d'oiseaux terrestres qui nichent en Europe et en Asie, 40 % migrent en automne pour gagner des régions plus favorables et trouver de la nourriture. Si la plupart restent sur leur continent d'origine, certaines espèces effectuent des milliers de kilomètres pour rejoindre leur destination finale. L'aire de reproduction de la sterne se situe, par exemple, dans les plus hautes latitudes de l'hémisphère Nord, alors que sa zone d'hivernage se situe dans l'hémisphère opposé, en Antarctique. Cette migration lui permet de profiter de deux étés en un an et de se nourrir toute l'année.
       - Sterne arctique : 4 fois la distance Terre-Lune au cours de sa vie
Cela explique en partie pourquoi c'est une sterne arctique qui détient le record du plus long vol migratoire avec 96.000 kilomètres parcourus entre juillet 2015 et mai 2016. Partie des îles Farne dans le nord de l'Angleterre, l'oiseau a fait un périple autour du monde en passant par l'Afrique du Sud, l'Antarctique et l'océan Indien. Sachant qu'une sterne arctique peut vivre jusqu'à 30 ans, on estime qu'elle peut parcourir l'équivalent de quatre fois la distance Terre-Lune au cours de sa vie. Deuxième du classement, le puffin fuligineux couvre sans problème les 64.000 kilomètres aller-retour au-dessus du Pacifique durant sa migration, alors qu'il pèse à peine 800 grammes !




Autre exploit, celui du manchot Adélie qui effectue les 18.000 kilomètres de sa migration... à pied, puisqu'il ne sait pas voler. Durant l'hiver, il vit dans les eaux au nord du cercle Antarctique, près de la bordure de la banquise. L'été, il rejoint le continent pour rejoindre la terre ferme et se reproduire, parcourant entre 13.000 et 18.000 kilomètres. Avec toutefois une petite astuce : embarquer à bord des icebergs dérivant pour accélérer le voyage.



       - Albatros



       - Les Bergeronettes


       - Bernache à cou roux



       - Bruant des neiges



       - Canard colvert



       - Cigogne



       - Cigogne noire



       - Colibri


       - Étourneau sansonnet



       - Fauvette



       - Grives : mauvis,musicienne,litorne,draine.



       - Grue cendrée



       - Hirondelle



       - Martinet


       - Milan Noir



       - Oie blanche



       - Palombes



       - Sarcelle d'été


 


La fête du Mawlid an-nabaoui ou Naissance du Prophète

 Le Mawlid (arabe : al-mawlid an-nabawîy, المولد النبويّ, la naissance du prophète, on trouve parfois aussi Mouloud, Maouloud, Mouled ou Maoulide) est la commémoration de la naissance du prophète Sidna Mohammed.

Elle se célèbre à la date du 12 de Rabia al Awal, troisième mois de l'année musulmane. Cet événement, qui est aujourd'hui célébré par bon nombre de communautés musulmanes dans le monde, aussi bien sunnites que chiites, ne fait pas partie des deux fêtes religieuses canoniques que sont les deux aïds : le petit (l'Aïd el-Fitr) et le grand (l'Aïd al-Adha).


A l'occasion de la naissance du prophète le vénéré Sayidouna Mohammad, que la paix et le salut de Dieu soit sur lui, je vous souhaite à tous une bonne et heureuse fête..


L’artiste peintre Mohamed Melehi est décédé


L’artiste plasticien Mohamed Melehi est décédé à l’âge de 84 ans, ce mercredi 28 octobre, à Paris suite à sa contamination par le Covid-19, apprend Le360 auprès de sa famille. Admis en réanimation à l'hôpital Ambroise Paré, l’artiste marocain n’a pas survécu à son infection par le coronavirus.
C’est une bien triste nouvelle pour le monde de l’art au Maroc, et bien au-delà. L’artiste plasticien Mohamed Melehi est décédé à l’âge de 84 ans, ce mercredi 28 octobre, à Paris, suite à sa contamination par le Covid-19, apprend Le360 auprès de sa famille. Admis en réanimation à l'hôpital Ambroise Paré, l’artiste marocain n’a pas survécu à son infection par le coronavirus.
Mohamed Melehi s’était rendu à Paris, en vue de se faire opérer, suite à une fracture de la cheville, qui avait été soignée, mais sans résorber complètement la douleur ni venir à bout d’un gonflement du pied.
Mohamed Melehi occupe une place à part dans les arts plastiques au Maroc, en Afrique, dans le monde arabe, et bien au-delà. C’est l’une des grandes figures de la modernité esthétique des pays non-occidentaux de l’après-guerre. Homme de dialogue et de débat, il a toujours su apporter des réponses à la fois intelligentes et enrichissantes aux polémiques. Il a toujours invité au débat qui produit du sens.
L’une des anecdotes qui permettent le mieux de comprendre la démarche artistique et l’état d’esprit qui prédominait à son approche des choses a eu pour théâtre la galerie nationale Bab Rouah à Rabat. C’était en 1965. Melehi, fraîchement rentré des Etats-Unis, occupe par une exposition personnelle l’espace de la galerie Bab Rouah.

Hausse du nombre des représentations diplomatiques au Sahara marocain

 La hausse du nombre des représentations diplomatiques au Sahara marocain, renforce la reconnaissance africaine de la souveraineté du Maroc sur ses provinces du Sud.  

la ville de Laâyoune a connu une grande dynamique diplomatique durant les derniers mois, marqués par l’ouverture par la République des Comores, le Gabon, Sao Tomé-et-Principe, la République centrafricaine, la Côte d’Ivoire et le Burundi de leurs consulats respectifs avant que cette liste ne s’étoffe avec la Zambie et le Royaume d’Eswatini.
La hausse du nombre
 des pays africains ayant inauguré leurs représentations diplomatiques à Laâyoune et Dakhla, consolide le soutien du continent à la souveraineté du Royaume du Maroc sur l’ensemble de ses provinces du Sud, notant que ces développements sont de nature à renforcer l’isolement de l’entité séparatiste illégitime dont la thèse séparatiste ne cesse de perdre du terrain. Le Maroc compte faire du Sahara un pôle international de développement et d’investissement au moyen de projets prometteurs lancés par le Roi Mohammed VI, qui a mis l’accent sur la corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes pour garantir l’aboutissement de ces projets,Le Souverain avait noté, à l’occasion de la Marche verte, que le Sahara marocain est la porte d’entrée du Royaume vers le continent.

Les Emirats Arabes Unis vont ouvrir prochainement un consulat général à Laâyoune, chef-lieu des provinces du sud du Royaume,

Long entretien entre le Pr Didier Raoult et David Pujadas

Long et intéressant entretien entre le Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU-Méditerranée Infection et David Pujadas.