Toutes les fleurs du genre des alliums (poireau, ciboulette, ail, ciboulette d’ail) sont comestibles et savoureuses! Les saveurs vont du poireau délicat à l’ail robuste. Chaque partie de ces plantes est comestible.
L’angélique
Selon la variété, les fleurs varient du bleu pâle lavande au rose foncé et ont une saveur ressemblant à la réglisse.
L’anis hysope
Les fleurs et les feuilles ont une saveur subtile d’anis ou de réglisse.
La roquette
Les fleurs sont petites avec des centres sombres et avec un goût poivré un peu comme les feuilles. Ils varient en couleur du blanc au jaune avec des rayures violet foncé.
Le bleuet
Avec un gout d’herbe, les pétales sont comestibles. Évitez le calice amer.
Le basilic
Les fleurs sont de différentes couleurs, du blanc au rose à la couleur de lavande; la saveur est similaire aux feuilles, mais plus douce.
La mélisse
Les fleurs rouges ont une saveur de menthe.
La bourrache
Les fleurs ont une belle teinte bleue et un goût de concombre!
Le souci / calendula
Une excellente fleur à manger, les fleurs de calendula sont poivrées, piquantes et épicées – et leur couleur dorée et vibrante ajoute une touche à n’importe quel plat.
Les oeillets
Les pétales sont sucrés, s’il sont prélevés loin de la base. Les fleurs ont le même goût que leur arôme sucré et parfumé.
La camomille
Petites et comme les marguerites, les fleurs ont une saveur douce et sont souvent utilisées dans le thé. Les personnes allergiques à l’herbe à poux peuvent être allergiques à la camomille. 12. Le cerfeuil
Fleurs et saveur délicates, qui ont une teinte d’anis.
La chicorée
La truculence légèrement amère de la chicorée est manifeste dans les pétales et les bourgeons, qui peuvent être marinés.
Le chrysanthème
Un peu amers, les chrysanthèmes ont un arc en ciel de couleurs et une gamme de saveurs qui vont de poivrées à âcres. Utilisez uniquement les pétales.
La coriandre
Comme les feuilles, les gens adorent les fleurs ou les détestent. Les fleurs partagent la saveur herbeuse de la plante. Utilisez-les fraiches, car elles perdent leur charme lorsqu’elles sont chauffées.
Fleurs comestibles des agrumes (orange, citron, citron vert, pamplemousse, kumquat)
Les fleurs d’agrumes sont sucrées et très parfumées. Utilisez les avec parcimonie ou elles vont trop parfumer un plat.
Le trèfle
Les fleurs sont douces avec un soupçon de réglisse.
Le pissenlit
En savoir plus sur les pissenlits ici: Cueillettes de pissenlits.
L’aneth
Les fleurs jaunes d’aneth ont un peu le même goût que les feuilles.
La pâquerette
Ce ne sont pas les pétales qui ont le meilleur goût – ils sont un peu amer – mais ils ont fière allure!
Le fenouil
Les fleurs jaunes de fenouil sont un régal pour les yeux avec une saveur subtile de réglisse, un peu comme la plante elle-même.
Le fuchsia
Les fleurs acidulées des fuchsias décorent bien les plats.
Le Glaïeul
Qui l’aurait cru? Bien que les glaïeuls soient fades, ils peuvent être farcis, ou retirer leurs pétales pour une garniture de salade intéressante.
L’hibiscus
Connu et utilisé dans le thé d’hibiscus, la saveur de canneberge dynamique est acidulée et peut être utilisé avec parcimonie.
La rose trémière
D’une saveur végétale et fade, les fleurs de roses trémières donnent une garniture comestible bien voyante.
L’impatiens
Les fleurs n’ont pas beaucoup de saveur – mieux comme jolie garniture ou pour confire.
La jasmine
Ces proliférations super-parfumées sont utilisées dans le thé; vous pouvez également les utiliser dans les plats sucrés, mais avec parcimonie.
La pensée sauvage
Adorables et délicieuces, les fleurs ont une subtile saveur de menthe bien adaptée pour les salades, les salades de fruits et les boissons.
La lavande
Sucrées, épicées et parfumées, les fleurs sont un excellent ajout à des plats aussi bien salés que sucrés.
La verveine
Les fleurs blanc cassé sont minuscules et évoquent le citron – et très bonnes pour les thés et les desserts.
Le lilas
Les fleurs sont piquantes, mais l’arôme floral d’agrumes se traduit par sa saveur aussi.
La menthe
Les fleurs sont – surprise! – mentholées. Leur intensité varie selon les variétés.
La capucine
L’une des fleurs comestibles les plus populaires, les fleurs de capucine sont brillamment colorées avec une explosion de saveurs douces et florales avec une finition de piment. Quand les fleurs montent en graine, la gousse est une merveille sucrée et épicée.
L’origan
Les fleurs sont une version jolie et subtile de la feuille.
La pensée
Les pétales sont un peu quelconque, mais si vous mangez la fleur en entier vous obtenez plus de goût.
Le radis
De différentes couleurs, les fleurs de radis ont un goût poivré distinctif.
La rose
Retirez la base blanche et amère et les pétales restants ont une saveur parfaite et très parfumée pour flotter dans les boissons ou en le dispersant dans les desserts, et pour une variété de confitures. Toutes les roses sont comestibles, avec une saveur plus prononcée dans les variétés plus sombres.
Le romarin
Les fleurs goûtent comme une version plus douce de la plante; utilisé agréablement comme garniture sur les plats qui intègrent du romarin.
La sauge
Les fleurs ont une saveur subtile semblable aux feuilles.
La courge et la citrouille
Les fleurs sont merveilleuses pour la farce, ayant une légère saveur de courge. Retirez les étamines avant de les utiliser.
Le tournesol
Les pétales peuvent être consommées, et le bourgeon peut être cuits à la vapeur comme un artichaut.
Les violettes
Une autre fameuse fleur comestible, les violettes sont florales, sucrées et magnifiques comme ornement. Utilisez les fleurs dans les salades et pour embellir les desserts et les boissons.
Les fêtes de fin d'année 2020 approchent, sur fond de crise du coronavirus. Règles, recommandations et conseils, voici comment éviter de se contaminer. Alors que la circulation épidémique du coronavirus est encore importante, il s'agit donc de trouver le bon équilibre entre les retrouvailles avec les proches et la prudence qui est de mise. Pour cela, il est utile de bien connaître les mesures de précaution, des dérogations du couvre-feu pour ceux qui prennent le train ou la route pour rejoindre leurs proches à partir du 15 décembre, au nombre de convives autorisé autour de la table, en passant par les subtilités d'un séjour ou d'un repas en famille avec le Covid qui "rôde". Dans les jours qui viennent, il s'agira de respecter les recommandations officielles des autorités comme celles des professionnels de santé sans gâcher la fête pour autant. L'objectif, encore une fois, qui résonne comme un credo en cette fin d'année : passer de belles fêtes en se protégeant au maximum, soi-même et ses proches.
La sonde chinoise Change’5, qui transporte des échantillons du sol de la Lune, est revenue sur Terre jeudi 17 décembre. Il s’agit de la première mission de ce type depuis 40 ans, a annoncé l'agence de presse Xinhua. Le module de retour a atterri dans la région de la Mongolie intérieure, au nord de la Chine. La sonde Chang’e 5, du nom d’une déesse de la Lune de la mythologie chinoise, a aluni le 1er décembre puis entamé son voyage de retour deux jours plus tard. Les scientifiques espèrent que les échantillons recueillis leur permettront d’en apprendre davantage sur les origines de la Lune, sa formation et l’activité volcanique à sa surface. L'Agence spatiale chinoise nous invite à revivre l'atterrissage de Chang'e 5 sur face visible de la Lune du 1er décembre 2020. L'atterrisseur s'est posé dans l'océan des Tempêtes pour une mission express de prélèvements d'échantillons. C'est la première fois depuis plus de 40 ans que des roches lunaires seront rapportées sur Terre.
Constitués de glace, les deux pôles n’ont pourtant pas le même climat.
Au pôle Sud, l’Antarctique est en effet l’endroit le plus froid sur Terre. La température moyenne en hiver avoisine -60 °C, avec un record mondial mesuré à -89 °C en 1983.
Au Nord, l’Arctique est légèrement plus chaud, avec une température moyenne de -40 °C, pouvant descendre jusqu’à -68 °C. Cette différence s’explique par la façon dont sont constitués les deux pôles.
C'est au Pôle sud que les températures es plus basses ont été enregistrées.
Au Sud, la calotte glaciaire a une épaisseur de plusieurs kilomètres. Les rayons du Soleil ne peuvent donc la pénétrer et le sol rocheux sous le «Continent blanc» conserve son extrême froideur quasiment toute l’année.
En revanche, au Nord, une partie de la banquise fond pendant l’été, ce qui permet à l’eau d’être réchauffée par les rayons du Soleil. Un phénomène qui tend d'ailleurs à s’accroître à cause du réchauffement.
Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous du Maghreb ont fait leur entrée ce mercredi sur la liste du Patrimoine immatériel de l'Humanité.
Après le repas gastronomique des Français (2010), la culture de la bière en Belgique (2016) ou l'art du pizzaïolo napolitain (2017), ce sont «Les savoirs, savoir-faire et pratiques liés à la production et à la consommation du couscous» qui viennent d'être inscrits sur la liste du Patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO.
Réuni en visioconférence, le comité du patrimoine de l'Unesco, sous la présidence de la Jamaïque, a approuvé ce mercredi le dossier conjointement porté par l'Algérie, la Mauritanie, le Maroc et la Tunisie.
Les quatre candidats unis avaient fait valoir que ces savoirs et pratiques, partie intégrante de leur patrimoine culturel, se rapportaient à toutes les populations de leur pays respectif, tous les genres, tous les âges, sédentaires ou nomades, ruraux ou citadins, émigrés compris, et en toutes circonstances: plat du quotidien comme festif. Ils avaient mis en lumière, outre sa qualité de «mets emblématique», ses dimensions sociales, ses symboliques très fortes - solidarité, vivre ensemble, partage...- mais aussi «universelle», le couscous étant aujourd'hui apprécié partout dans le monde. Ils avaient enfin argué que la tradition du couscous impliquait de multiples savoir-faire: artisans fabriquant les ustensiles relatifs au couscous, agriculteurs produisant les céréales, meuniers transformant celles-ci en semoule, commerçants, hôteliers...
L’homme, au fil du temps, a découvert des centaines de milliers de plantes qui nous étaient étrangères de part leur forme, leur couleur, leur goût… Aussi étranges les unes que les autres,
La Rafflesia arnoldii :
C’est une plante parasite, sans tige, dont la racine ne croît que dans les forêts de l’Indonésie. La plante consiste simplement en fleurs de cinq pétales avec un diamètre supérieur à 106 cm mais qui peut atteindre jusqu’à 10 kg ! Il existe également une plus petite espèce, la Rafflesia manillaza, avec des fleurs d’environ 20 cm de diamètre. La Rafflesia arnoldii est une espèce très rare et difficile à trouver, spécialement en fleur, puisque la floraison peut prendre des mois avant de se développer entièrement, et dure très peu de jours.
La Hydnora africaine :
La plante croît sous terre, à l’exception d’une fleur qui émerge sur le sol et émet une odeur d’excrément pour attirer ses pollinisateurs naturels, les scarabées du fumier, et autres. Les fleurs agissent comme des pièges à scarabées durant une brève période et les libèrent très rapidement quand la fleur est complètement ouverte.
La Dracunculus vulgaris ou herbe des sorcières :
C’est une plante permanente, de plus de 1 m de hauteur, dont le feuillage disparaît après la floraison. Une unique inflorescence de 30 à 130 cm apparaît au printemps ou au début de l’été suivant le climat.
L’Amorphophallus :
C’est une plante herbacée, tubéreuse qui produit une inflorescence appelée parfois la “plus grande fleur du monde”. En mai 2003, l’Université de Bonn (Allemagne) a présenté un exemplaire vivant de 2,74 m de hauteur. Cette espèce est originaire des forêts tropicales de Sumatra (Indonésie). En plus de sa taille extraordinaire, elle possède une autre caractéristique qui la rend unique : elle dégage une odeur fétide de viande pourrie qui empêche les hommes de s’en approcher.
Wollemia nobilis :
C’est un arbre conifère rare découvert en 1994 considéré comme un fossile vivant. Wollemia est arbre qui atteint une hauteur de 25 à 40 m. Son écorce est d’une couleur marron très caractéristique, obscure et noueuse, comme s’il était recouvert de chocolat. L’arbre, si on le coupe, forme rapidement de nombreux rejets comme un arbuste.
Welwitschia mirabilis :
Elle croît en Angola et en Namibie, et spécialement dans le désert du Namib. La plante absorbe l’eau à travers ses propres feuilles, qui lui servent à mettre à profit la rosée nocturne du désert. On la considère comme l’une des plus rares plantes qui existent mais qui est malheureusement en voie de disparition.
Drakaea glyptodon :
C’est un type d’orchidée native de l’Australie. Ces orchidées ont développé une méthode curieuse de pollinisation, puisqu’elles sont uniquement pollinisées par la guêpe Thynnid. Pour réussir à être pollinisée, la plante femelle imite la forme de l’abdomen de la guêpe et dégage même des phéromones pour attirer le mâle.
Wolffia angusta :
Ce sont des plantes aquatiques assimilées aux flocons de maïs. Elles flottent librement, sont de couleur verte ou jaune et n’ont pas de racines. Elles sont souvent isolées ou réunies par deux et forment des populations denses à la surface des eaux douces stagnantes.
Bleeding Tooth Fungus :
Ce champignon non comestible ressemble à une boule de chewing-gum. Il pousse entre la fin de l’été et l’automne dans les bois de conifères (pins, épicéas), et y compris les dunes. Il est dispersé ou en groupes dans la mousse et le lichen.
Tacca chantrieri :
Le Tacca Chantrieri est une plante tropicale qui a besoin de beaucoup d’humidité. Ses feuilles doivent être remplies d’eau (mais non inondées) pour qu’elle puisse produire de nouvelles fleurs.
Actaea pachypoda :
C’est une plante qui atteint les 50 cm de hauteur. Ses feuilles dentelées mesurent 40 cm de longueur et 30 cm de largeur. Son fruit est de couleur blanche pareil au globe oculaire. Les fruits sont hautement vénéneux et toute la plante est considérée comme toxique pour les êtres humains.
Clathrus archeri :
Ce champignon déploie 4 à 8 bras de couleur rouge qui rappellent les tentacules. Il a une odeur nauséabonde de viande en décomposition qui attire les insectes qui transportent les spores. Il n’est pas comestible.
Harpagophytum :
C’est une espèce de plante herbacée rampante, originaire du sud de l’Afrique et qui croît à l’état sauvage dans le Désert de Kalahari. Elle est plus connue sous le nom de “Griffe du diable” puisque ses fruits sont des capsules ligneuse recouvertes d’épines crochues.
Porcupine Tomato :
La tomate porc-épic croît à Madagascar. En plus d’être vénéneuse, la tomate porc-épic est potentiellement une plante envahissante : il est très difficile de s’en débarrasser, même dans des cas de fortes sécheresses.
Euphorbia obèse :
C’est une plante dioïque (qui a seulement des fleurs de sexe masculin ou féminin sur chaque pied). A l’état sauvage, elle est en voie de disparition à cause des récoltes excessives puisque sa croissance est très lente). Cependant, elle est amplement cultivée dans les jardins botaniques.
Le baobab :
Il est endémique au sud du Sahara, en Afrique, où on le trouve en grande abondance. Il peut habiter entre le niveau de la mer et 1.250 mètres d’altitude, dans un climat chaud. Des spécimens ont également été découverts au centre et à l’Est du continent.
Dracaena cinnabar :
Le Dracaena est un genre d’au moins 40 espèces d’arbres et d’arbustes classés chez la famille Ruscaceae. La majorité des espèces sont natives de l’Afrique et des îles environnantes. Il en existe certaines au sud de l’Asie et une seule en Amérique centrale.
Mimosa Pudica :
Il possède de très petites fleurs, de couleur rose mauve et a l’habitude d’atteindre plus d’un mètre de hauteur. Sa vie est courte : 5 ans à peu près. Une caractéristique très remarquable consiste en ce que les bouts de ses feuilles se contractent sur la tige comme si elles se refermaient, et reviennent à la base de la plante grâce à leur poids.
Drosera capensis :
C’est la plante carnassière la plus populaire, pour être une espèce très résistante et d’une culture facile, en comparaison d’autres plantes insectivores. C’est une plante originaire du Cap, en Afrique du Sud. Ses feuilles sont recouvertes de duvets et de mucilage, substance collante qui attrape les insectes qui seront digérés tout de suite grâce aux enzymes de la plante.
Night-blooming cereus :
Les fleurs sont presque toujours blanches, grandes, et parfumées. La majorité des fleurs s’ouvrent après la tombée de la nuit, et à l’aube.