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Les villes les plus anciennes du monde


Ces villes, qui sont les 20 plus anciens endroits continuellement habités de la planète, sont une véritable occasion de voyager dans le temps. Si peu de cités antiques ont réussi à résister à l’épreuve du temps, certaines tiennent encore debout, mieux que ça, elles vivent toujours.
  • Varanasi, Inde (1000 avant JC)


Située sur la rive ouest du Gange, Varanasi, également connue sous le nom de Bénarès, est une ville sainte importante à la fois pour les hindous et les bouddhistes. Selon la légende, elle a été fondée par le dieu hindou Shiva il y a 5000 ans, bien que chercheurs modernes pensent qu’elle soit vieille de près de 3000 ans.
  • Cadix, Espagne (1100 avant JC)

Blottie sur un étroite langue de terre qui s’avance dans l’océan Atlantique, Cadix est le berceau de la marine espagnole depuis le 18ème siècle. Elle a été fondée par les Phéniciens en tant que comptoir et tomba aux mains des Carthaginois autour de 500 avant JC, devenant une base pour Hannibal pour la conquête de l’Ibérie.
  • Thèbes, Grèce (1400 avant JC)

Grande rivale de l’ancienne Athènes, Thèbes a dominé la confédération béotienne et même prêté assistance à Xerxès lors de l’invasion perse de -480. Des fouilles archéologiques ont révélé des installations mycéniennes datant d’encore plus loin. Aujourd’hui, Thèbes n’est plus qu’un simple bourg, une petite ville commerciale.
  • Larnaca, Chypre (1400 avant JC)

Fondée par les Phéniciens sous le nom de Cition, Larnaca est bien connue pour son joli front de mer bordé de palmiers. Des sites archéologiques et de nombreuses plages attirent les visiteurs aujourd’hui.
  • Athènes, Grèce

Berceau de la civilisation occidentale et berceau de la démocratie, l’héritage d’Athènes est encore très évident. La ville est remplie de monuments romains, grecs, byzantins et ottomans et reste une destination touristique très populaire. Alexandre le Grand a un jour dit : « Grands sont les dangers auxquels je fais face pour gagner une renommée à Athènes. »
  • Balkh, Afghanistan (1500 avant JC)


Connue sous le nom de Bactres (ou Bactra) dans l’antiquité, Balkh se trouve dans le nord de l’Afghanistan et est décrite comme « la mère des villes » par les Arabes. Elle a atteint son apogée entre 2500 et 1900 avant JC avant l’ascension des empires perse et mède. La Balkh moderne abrite l’industrie du coton de la région.
  • Kirkouk, Irak (2200 avant JC)

Localisée à environ 240 km de Bagdad, Kirkouk se dresse sur le site de l’ancienne capitale assyrienne d’Arrapha. Son importance stratégique a été reconnue par les babyloniens et les mèdes, qui ont également contrôlés la ville. Les ruines d’une citadelle de 5000 ans sont encore visibles, alors que la ville est aujourd’hui le siège de l’industrie pétrolière en Irak.
  • Erbil, Irak (2300 avant JC)


Au nord de Kirkouk se trouve Erbil, qui a été dominée à plusieurs reprises par les Assyriens, les Perses, les Sassanides, les Arabes, et les Ottomans. C’était une étape majeure sur la route de la soie tandis que son ancienne citadelle, qui s’élève à 26 mètres de hauteur, surplombe encore l’horizon.
  • Tyr, Liban (2750 avant JC)


Lieu de naissance légendaire d’Europe et Didon, Tyr a été fondée vers 2750 avant JC, selon Hérodote. Elle fut conquise par Alexandre le Grand en 332 avant JC à la suite d’un siège de sept mois et est devenue une province romaine en 64 av JC. Aujourd’hui, c’est principalement le tourisme qui fait vivre l’ancienne cité romaine : l’hippodrome de Tyr est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Il est écrit dans la Bible : « Tyr, elle qui distribuait les couronnes, elle dont les marchands étaient des princes. »
  • Jérusalem, Israël (2800 avant JC)

Centre spirituel du peuple juif et troisième ville sainte de l’Islam, Jérusalem accueille plusieurs sites religieux principaux, y compris le Dôme du Rocher, le Mur des Lamentations, l’Église du Saint-Sépulcre et la mosquée al-Aqsa. Au cours de son histoire, la ville a été assiégée 23 fois, attaquée 52 fois, capturée 44 fois et détruite à deux reprises.
  • Beyrouth, Liban (3000 avant JC)

Capitale du Liban, de même que son centre culturel, administratif et économique, l’histoire de Beyrouth remonte à environ 5000 ans. Des fouilles dans la ville ont mis au jour des vestiges phéniciens, hellénistiques, romains, arabes et ottomans, tandis que la ville est mentionnée dans des lettres au pharaon d’Egypte dès le 14e siècle avant JC. Depuis la fin de la guerre civile libanaise, Beyrouth est devenue un centre touristique animé et moderne.
  • Gaziantep, Turquie (3650 avant JC)

Dans le sud de la Turquie, près de la frontière avec la Syrie, l’histoire de Gaziantep s’étend aussi loin que les Hittites. La citadelle Ravanda, restaurée par les Byzantins au 6ème siècle, se trouve dans le centre-ville, alors que des mosaïques romaines ont également été découvertes ici.
  • Plovdiv, Bulgarie (4000 avant JC)

Deuxième plus grande ville de Bulgarie, Plovdiv était à l’origine une ville fortifiée thrace, avant de devenir une grande ville romaine. Elle est tombée plus tard aux mains des byzantins et ottomans, avant d’intégrer la Bulgarie. La ville est un centre culturel important et abrite de nombreux vestiges antiques, dont un amphithéâtre et un aqueduc romain, ainsi que des bains ottomans.
  • Sidon, Liban (4000 avant JC)

Environ 40 km au sud de Beyrouth se trouve Sidon, l’une des plus importantes, et peut-être la plus ancienne des villes phéniciennes. C’était la base depuis laquelle le grand empire méditerranéen phénicien a grandi. Aussi bien Jésus que Saint Paul auraient visité Sidon, comme l’a fait Alexandre le Grand, qui s’empara de la ville en 333 avant JC.
  • Médinet el-Fayoum, Egypte (4000 avant JC)

Au sud-ouest du Caire, Fayoum occupe une partie de Crocodilopolis, une ancienne ville égyptienne qui vénérait Petsuchos, un crocodile sacré. La ville moderne de Fayoum se compose de plusieurs grands bazars, mosquées et bains, tandis que les pyramides de Lehin et Hawara se trouvent à proximité.
  • Suse, Iran (4200 avant JC)

Suse était la capitale de l’Empire élamite avant d’être capturée par les Assyriens. Elle a ensuite été prise par les Achéménides sous Cyrus le Grand. C’est la ville où se déroule la pièce de théâtre Les Perses d’Eschyle, une tragédie athénienne qui est la plus ancienne pièce de l’histoire du théâtre. La ville moderne, Shushan, est peuplée d’environ 65 000 habitants.
  • Damas, Syrie (4300 avant JC)

Citée par certaines sources comme la plus ancienne ville habitée du monde, Damas a peut-être été habitée dès 10 000 avant JC, mais le débat est toujours ouvert à ce jour. C’est devenu un centre important après l’arrivée des Araméens, qui ont établi un réseau de canaux, qui forment encore la base de ses réseaux hydrologiques modernes. Autre conquête d’Alexandre le Grand, Damas a depuis été en possession des romains, arabes et ottomans. Sa richesse en sites historiques fait d’elle une destination touristique populaire, jusqu’à ce que les troubles récents la frappe.
  • Alep, Syrie (4300 avant JC)

Ville la plus peuplée de Syrie avec près de 4,4 millions de citoyens dans son agglomération, Alep a été fondée sous le nom d’Halab aux alentours de 4300 av JC. Alors que l’ancien site est occupé par la ville moderne, elle est à peine touchée par les archéologues. La ville était sous contrôle hittite jusque vers 800 avant JC, avant de passer par les mains assyriennes, grecques et perses. Elle a ensuite été occupée par les Romains, les Byzantins et les Arabes, assiégée par les croisés, puis reprise par les Mongols et les Ottomans.
  • Byblos, Liban (5000 avant JC)

Fondée « Gebal » par les Phéniciens, Byblos a reçu son nom des Grecs, qui ont importé le papyrus depuis la ville. Le mot Bible est dérivé de Byblos. Les principaux sites touristiques de la ville sont d’anciens temples phéniciens, le château de Byblos et l’Église de Saint-Jean-Marc, construits par les Croisés au 12ème siècle, ainsi que les murs de vieille ville médiévale. Le Festival International de Byblos (musiques) est une attraction plus moderne.
  • Jéricho, Cisjordanie (9000 avant JC)

Plus ancienne ville continuellement habitée au monde, les archéologues ont mis au jour les vestiges de 20 peuplements successifs à Jéricho, datant de plus de 11 000 années. La ville se trouve près du fleuve Jourdain en Cisjordanie et abrite aujourd’hui environ 20 000 habitants.

Pour information, les autres villes européennes les plus anciennes sont: 
          - Lisbonne (environ 1000 avant JC), 
          - Rome (753 avant JC), 
          - Corfou (environ 700 avant JC) 
          - Mantoue (environ 500 avant JC).

Le vent solaire, c'est quoi ?


Le milieu interplanétaire est balayé en permanence par un vent de particules électriquement chargées en provenance du Soleil.
Ce vent est très peu dense (10 particules par centimètre cube), mais très rapide (400 à 800 km/s). C'est un vent supersonique (il se déplace plus vite que les ondes sonores).Le vent solaire est composé principalement d'électrons, de protons et de noyaux d'Hélium. Le vent Solaire est très fluctuant.
Le vent solaire est traversé par des ondes de choc. Il est émetteur d'émissions radio.

Hydrgène vert


Qu'est-ce que l'hydrogène vert ?


L'hydrogène est l'élément chimique le plus abondant sur terre, mais il a un problème : il n'est pas librement disponible dans l'environnement (par exemple, dans les réservoirs), mais il se combine toujours avec d'autres éléments (par exemple, dans l'eau, l'H2O ou le méthane, CH4). PourtantPour être utilisé dans des applications énergétiques, il doit d'abord être libéré, c'est-à-dire séparé du reste des éléments.
Pour effectuer cette séparation et obtenir de l'hydrogène libre, il est nécessaire de réaliser certains procédés et de l'énergie est dépensée pour ceux-ci. Cela définit l'hydrogène comme un vecteur énergétique, plutôt que comme l'énergie primaire ou le carburant que beaucoup de gens considèrent. L'hydrogène vert est un vecteur d'énergie, pas la principale source d'énergie. En d'autres termes, l'hydrogène est une substance qui peut stocker de l'énergie, qui peut ensuite être libérée de manière contrôlée ailleurs. De cette façon, peut être comparable aux batteries au lithium qui stockent l'électricité, plutôt que des combustibles fossiles comme le gaz naturel.
Le potentiel de l'hydrogène pour lutter contre le changement climatique réside dans sa capacité à remplacer les énergies fossiles dans des applications où la décarbonation est plus complexe, comme le transport maritime et aérien ou certains procédés industriels. En outre, a un grand potentiel en tant que système de stockage d'énergie saisonnier (à long terme), qui peut accumuler de l'énergie pendant longtemps, puis l'utiliser à la demande.
Origine et types d'hydrogène


En tant que gaz incolore, la vérité est que lorsque nous parlons d'hydrogène, nous utilisons généralement des termes très colorés pour l'exprimer. Vous êtes nombreux à avoir entendu parler du vert hydrogène, du gris, du bleu, etc. La couleur attribuée à l'hydrogène n'est rien de plus qu'une étiquette qui permet de le classer selon son origine et la quantité de dioxyde de carbone libérée lors de sa production. En d'autres termes, un moyen simple de comprendre à quel point c'est "propre":
  • Hydrogène brun : Il est obtenu grâce à la gazéification du charbon et, au cours du processus de production, du dioxyde de carbone est libéré. Il est parfois appelé hydrogène noir.
  • Hydrogène gris : obtenu à partir du reformage du gaz naturel. Il s'agit actuellement de la production la plus abondante et la moins chère, même si son coût devrait augmenter en raison du prix des droits d'émission de dioxyde de carbone. La production de 1 tonne de cendres H2 émettra 9 à 12 tonnes de CO2.
  • Hydrogène bleu : Il est également produit par reformage du gaz naturel, la différence est qu'une partie ou la totalité des émissions de CO2 sont évitées grâce au système de captage du carbone. Ce dioxyde de carbone pourra par la suite être utilisé pour fabriquer des carburants synthétiques, par exemple.
  • Hydrogène vert: Il est obtenu par électrolyse de l'eau en utilisant de l'électricité issue de sources d'énergie renouvelables. C'est le plus cher, mais à mesure que le coût des énergies renouvelables et des électrolyseurs diminue, son prix devrait diminuer progressivement. Un autre type d'hydrogène vert est produit à partir de biogaz à partir de déchets d'élevage, agricoles et/ou municipaux.

En fait, le processus de production d'hydrogène vert n'est pas compliqué du tout : l'électrolyse utilise simplement le courant électrique pour décomposer l'eau (H2O) en oxygène (O2) et en hydrogène (H2). Le vrai défi est d'être compétitif, ce qui nécessite beaucoup d'électricité renouvelable bon marché (qui est plus ou moins fixe), et une technologie de cellule d'électrolyse efficace et évolutive.

Utilisations de l'hydrogène vert

En théorie, l'un des moyens les plus efficaces de décarboniser l'économie est d'essayer d'électrifier l'ensemble du système énergétique. Cependant, pour l'instant, les technologies de batterie et électriques ne sont pas réalisables, selon l'application. Dans beaucoup d'entre eux, l'hydrogène vert peut remplacer les combustibles fossiles, bien que tous ne soient pas aussi matures ou simples :

Utilisez plutôt de l'hydrogène brun et gris. La première étape devrait être de remplacer tout l'hydrogène fossile actuellement utilisé dans l'industrie, d'utiliser des technologies développées et de réduire les coûts. Le défi n'est pas mince : la demande mondiale d'hydrogène issue de la production d'électricité consommera 3.600 XNUMX TWh, soit plus que la production annuelle totale d'électricité de l'UE. Voici les principales utilisations de l'hydrogène vert :

  • Industrie lourde. Les gros consommateurs d'acier, de ciment, d'entreprises chimiques et d'autres combustibles fossiles ne sont pas facilement accessibles ou directement réalisables.
  • Réserve d'énergie. C'est sans aucun doute l'une des applications les plus prometteuses de l'hydrogène : en tant que système de stockage d'énergie saisonnier. Avec la popularité croissante des énergies renouvelables, nous constaterons que le coût de l'électricité est vraiment bon marché, et il y aura même un surplus car il n'y a pas de place pour la consommer. C'est là qu'interviendra l'hydrogène, qui pourra être produit à moindre coût puis utilisé à la demande pour toute application, qu'il s'agisse de production d'électricité ou de toute autre application.
  • Transport. Le transport est sans aucun doute une autre des applications les plus prometteuses de l'hydrogène. Dans les transports légers d'aujourd'hui, les batteries gagnent la concurrence, mais certains constructeurs (notamment le Japon) continuent de développer leurs modèles de piles à combustible et les résultats sont de plus en plus prometteurs.
  • Chauffage Le chauffage domestique et industriel est un secteur qui ne peut pas toujours être électrifié (les pompes à chaleur ne sont pas toujours une option), et l'hydrogène peut être une solution partielle. De plus, les infrastructures existantes (telles que les réseaux de gaz naturel) peuvent être utilisées pour augmenter la demande. En effet, mélanger jusqu'à 20 % en volume d'hydrogène dans un réseau de gaz naturel existant nécessite des modifications minimales du réseau ou des appareils de l'utilisateur final.


Stimulation cognitive


Au fil du temps, le système cognitif (mémoire, raisonnement, orientation, etc.) peut se détériorer et malheureusement réduire l’autonomie des personnes âgées. Avec l’âge, vient un manque d’activités qui peut venir affecter notamment la mémoire et les autres fonctions cognitives des seniors.
Si tel est le cas, cela peut se ressentir particulièrement chez les personnes âgées, à partir de 70 ans, qui voient apparaître des difficultés d’adaptation, de mémorisation et une diminution de la réactivité, de la rapidité de réflexion et de la résistance au stress.


Pour ralentir l’accroissement d’une perte d’autonomie physique, psychique ou encore sociale, il est important de stimuler les personnes âgées à l’aide d’exercices, de jeux ou encore de simples activités permettant de faire travailler le cerveau et de conserver une autonomie. Ces exercices de stimulation peuvent être réalisés quel que soit l’âge. Voici un éclairage sur la stimulation cognitive de la personne âgée, afin de prévenir les pertes intellectuelles de vos proches.

La stimulation cognitive pour les personnes âgées :
  •  définition
«La stimulation cognitive désigne la sollicitation méthodique des fonctions cognitives, psychologiques et sociales».
Stimuler son proche âgé, c’est donc essentiel pour qu’il conserve un lien social et qu’il fasse travailler sa santé psychique. Mais il n’est parfois pas simple de trouver de nouvelles idées, sans l’ennuyer. Il existe pourtant de nombreuses activités riches et variées, permettant une stimulation de la personne âgée sur différents plans, tous utiles au travail du cerveau. La stimulation cognitive est d’autant plus utile que l’âge peut affecter les parties du cerveau utilisées lorsque l’on veut se remémorer quelque chose. Elle permet de pouvoir accompagner au mieux les personnes atteintes de pathologies liées à l’âge: telles que celles d’Alzheimer ou de Parkinson qui engendrent des pertes de mémoire.
Conseils et objectifs
La stimulation cognitive de la personne âgée a pour objectif principal de ralentir le déclin de la mémoire, qu’elle soit visuelle, spatiale ou encore auditive. En fonction des activités effectuées, elle peut de plus faire progresser la personne âgée sur sa capacité de concentration et d’adaptation.

La stimulation intellectuelle a aussi un effet sur les liens sociaux et la psychologie des personnes stimulées. Ainsi, le progrès cognitif est accompagné d’une amélioration de la qualité de la vie de la personne aidée : elle conserve ou améliore son estime de soi face à ses réussites, et apprend à réagir face à d’autres futurs troubles de mémoire probables.
  • Conseils pour une stimulation cognitive réussie
Il est important d’adapter les activités et exercices de stimulation cognitive à la capacité intellectuelle de la personne âgée. Des activités trop simples peuvent l’ennuyer et être inefficaces. Au contraire, des exercices trop compliqués ou en trop grande quantité peuvent créer un sentiment d’étouffement et de découragement. Il faut se focaliser sur le positif et les réussites de votre proche.


La stimulation de la personne âgée ne doit pas tomber dans l’infantilisation. Vous pouvez, d’ailleurs, l’inciter à participer aux tâches quotidiennes comme la préparation des repas, si la personne âgée est assistée habituellement par une aide à domicile par exemple.
Si vous constatez une importante perte de mémoire de votre proche, n’hésitez pas à consulter des médecins qui sauront vous guider vers la méthode la plus efficace et personnalisée.
  • Pratiques de la stimulation cognitive pour personnes âgées
Les exercices de stimulation cognitive peuvent porter sur différentes capacités de la personne âgée : la mémorisation (de mots par exemple), la réflexion (ex : trouver des antonymes, faire des exercices de calcul) ou encore l’orientation (ex: lors de promenades).
  • Activités de stimulation cognitive
Beaucoup d’activités permettent aussi l’exercice cérébral de la personne âgée. Parmi elles, le sport qui stimule les sens et les réflexes, la lecture qui fait travailler de nombreuses fonctions du cerveau : la compréhension, la mémorisation et l’imagination, ou encore la musique pour le rythme et la stimulation de l’ouïe.
Il est aussi conseillé d’inscrire la personne âgée dans des clubs afin de faire des rencontres et de recréer ou améliorer la vie sociale du senior. Les nouvelles rencontres obligent la mémorisation des informations données par l’interlocuteur dans le but de ne pas reposer des questions déjà évoquées. Le travail de la mémoire se fait donc sans s’en rendre compte, ce qui est bénéfique pour la personne âgée.  Dans le cas où vous n’avez pas l’opportunité de stimuler votre proche, il existe des animations de groupe en institutions, telles que les maisons de retraite, les hôpitaux ou encore les centres sociaux. L’état de défiance cognitive est alors premièrement évalué par un médecin, notamment à l’aide du GIR (Groupe iso-ressources), qui permet de déterminer un nombre de séances conseillées. Ces ateliers se font en groupe pendant 1 à 2h30, ce qui favorise le bien-être social. Les aides à domicile peuvent aussi être une solution afin de tenir compagnie en stimulant la personne en perte d’autonomie.
Une bonne hygiène de vie reste indispensable pour limiter les troubles de la mémoire : pratiquer une activité physique et manger sainement sont vivement recommandés.

Une méthode révolutionnaire pour extraire 99% du CO2 de l’air

Les piles à combustible à membrane échangeuse d’hydroxyde sont actuellement à l’étude en tant que solution alternative aux piles à combustible traditionnelles. Elles seraient en effet plus économiques et plus écologiques que les piles utilisées aujourd’hui. Elles présentent cependant l’inconvénient d’être extrêmement sensibles au dioxyde de carbone de l’air, qui réduit ses performances. Après plus de 15 ans de recherche, un groupe de scientifiques décide de tirer profit de cet obstacle et propose une solution particulièrement rentable permettant d’extraire 99% du CO2 présent dans l’air.


Une pile à combustible génère une tension électrique grâce à l’oxydation d’un combustible réducteur (par exemple le dihydrogène) couplée à la réduction d’un oxydant, tel que l’oxygène de l’air. Elle est constituée de deux plaques bipolaires (une qui distribue l’hydrogène, l’autre qui distribue l’oxygène), de deux électrodes et d’une membrane échangeuse d’ions (qui fait office d’électrolyte). De plus, l’oxydation est généralement catalysée par du platine. Mais ce métal est rare et cher, c’est pourquoi les scientifiques recherchent des alternatives.
Contrairement aux piles traditionnelles dont l’électrolyte est acide (ions H+), les piles à combustible à membrane échangeuse d’hydroxyde (HEM) implique un environnement alcalin qui permet d’utiliser des catalyseurs et des plaques bipolaires plus rentables. Cependant, leur fonctionnement est largement impacté par le CO2 ambiant, qui empêche la pile de fonctionner de façon optimale. Ce problème induit jusqu’à 20% de baisse de performance, selon les chercheurs. Le professeur Yushan Yan, et son équipe du Centre pour la science et la technologie catalytiques de l’Université du Delaware, ont réalisé que cet inconvénient pouvait en fait servir à éliminer le dioxyde de carbone de l’air.

Une technique de séparation innovante
Capturer le CO2 de l’air via un dispositif alimenté à l’hydrogène pourrait mener non seulement au développement de piles à combustible plus respectueuses de l’environnement, mais pourrait potentiellement contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique. « Nous avons réalisé que les piles à combustible capturaient pratiquement tout le dioxyde de carbone de l’air qui y pénétrait, et qu’elles étaient très efficaces pour le séparer de l’autre côté », explique dans un communiqué Brian Setzler, professeur adjoint pour la recherche en génie chimique et biomoléculaire et co-auteur de l’article de recherche.
Le phénomène affecte le fonctionnement de la pile, mais l’équipe a réalisé qu’elle pouvait de ce fait servir de séparateur de dioxyde de carbone — en d’autres termes, la pile permettrait d’extraire efficacement le CO2 de l’air. « Il s’avère que notre approche est très efficace. Nous pouvons capturer 99% du dioxyde de carbone de l’air en un seul passage si nous avons la bonne conception et la bonne configuration », a précisé Yan
.
Le module conçu par les chercheurs absorbe de l’hydrogène et de l’air
 par deux entrées distinctes, puis rejette le dioxyde de carbone
 et l’air « épuré » (après avoir traversé deux membranes 
court-circuitées recouvertes d’un catalyseur).

Pour atteindre ce haut niveau de rendement, ils ont intégré au système électrochimique une membrane court-circuitée, qui conduit à la fois les anions (CO32-) et les électrons. Le dispositif est alimenté par l’hydrogène, comme une pile à combustible, mais ne nécessite pas de fils électriques, de plaques bipolaires ou de collecteurs de courant, et peut donc être modulé comme une membrane de séparation typique, explique l’équipe dans la revue Nature Energy.

Un dispositif très efficace et économique
Intégrer les fils du dispositif directement à l’intérieur de la membrane a permis de mettre au point un module plus compact, enroulé sur lui-même — et ainsi de disposer d’une plus grande surface d’échange tout en limitant le volume. Cette structure permet également aux particules de dioxyde de carbone de se déplacer plus facilement d’un côté à l’autre ; le module est donc capable de filtrer de plus grandes quantités d’air à la fois.
Les résultats montrent qu’une cellule électrochimique dotée d’une membrane court-circuitée de 25 cm² peut éliminer plus de 99% du CO2 présent dans l’air, dont le débit est de 2000 cm³/min, pendant 450 heures, et peut fonctionner efficacement dans des conditions dynamiques de suivi de charge. Un premier prototype du dispositif, de la taille d’une canette de soda, s’est avéré capable de filtrer 10 litres d’air par minute en éliminant plus de 98% du dioxyde de carbone, ont ajouté les chercheurs. Pour une application automobile, le dispositif aurait à peu près la taille d’un gallon de lait (soit environ 3,7 litres), a précisé Setzler.
Ce système innovant apparaît donc à la fois efficace et rentable pour les applications des piles à combustible. En outre, la réduction du nombre de composants nécessaires entraîne une diminution notable des coûts et, surtout, permet d’envisager une entrée rapide sur le marché. « Notre analyse technico-économique indique qu’un module compact capable d’éliminer plus de 99 % du CO2 coûte 112 dollars pour une pile HEM de 80 kWnet », précisent les auteurs de l’étude.
Bien entendu, un tel dispositif pourrait également être utilisé pour éliminer le dioxyde de carbone dans d’autres contextes. L’équipe évoque notamment la possibilité de l’installer à bord des vaisseaux spatiaux ou des sous-marins, où la filtration continue de l’air est essentielle. Il pourrait par ailleurs être mis à profit dans les avions et les bâtiments, où la recirculation de l’air constitue l’une des mesures d’économie d’énergie envisagées.

La nouvelle alliance de la Russie et la Chine fait trembler l'Occident


«Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.»
 Alors que les tensions entre la Russie et l'Occident sont à leur comble en Europe, c'est maintenant au tour de la Chine de rejoindre la partie. 
Après des années de suspicion réciproque entre les deux puissances, la Chine et la Russie disent désormais former une alliance stratégique face à l'Occident. 
Est-ce le début d'une nouvelle ère, ou simplement un bluff pour briser l'impasse? Il semble que la réponse se trouve quelque part entre les deux. Cette semaine, Benjamin Tremblay et 7 jours sur Terre analysent la nature multidimensionnelle de la relation entre Moscou et Beijing afin d'en exposer le potentiel et les contraintes.
 Qui sort gagnant? Quel sera l'impact dans l'équilibre de la force?

Le Top 18 des Animaux les plus Redoutables du Monde

  • Le requin

Avec moins de 10 morts par an en moyenne, le requin se fait plus croquer qu'il ne croque. Victime du succès du film " Les dents de la mer ", sa vie tient surtout au fait que l'homme ne tente pas de le chasser, bien qu'il ait déjà réduit de 80 % la population de cet animal vieux de plusieurs centaines de millions d'années. Car si la chair humaine n'est pas au goût des requins (même pour le requin blanc), qui attaque les hommes par erreur, la sienne est un mets de choix dans plusieurs pays asiatiques. Ainsi, plus de 50 millions de requins sont pêchés chaque année et bon nombre d'espèces sont en voie de disparition.
  • Le loup

Là encore les croyances populaires ont fait une mauvaise publicité à cet animal. Il est bien loin le prédateur qui tue les grands-mères, mange les petites filles et dévore les moutons de la bergerie. Espèce en voie de disparition dans certaines régions du monde, il n'est à l'origine que de 10 morts par an dans le monde.
  • La méduse

La principale responsable des accidents mortels dus aux méduses est la méduse-boîte (cabuzoaire ou cabozoa), un animal marin à 24 yeux pouvant peser jusqu'à 2 kilos. Se déplaçant très rapidement (jusqu'à 6 mètres/seconde), il se défend et attaque avec ses tentacules de 6 mètres de long et contenant un venin pouvant être mortel pour l'homme, selon les espèces.
  • Le lion

Ce fauve n'est pourtant pas le plus friand d'humains. Comme pour le loup, ses attaques sont dues à une intrusion de l'homme sur son territoire.
  • L'éléphant

Végétarien, l'éléphant n'en est pas moins l'un des mammifères les plus gros du monde. Aussi, rien de bien étonnant à ce que des hommes succombent à la charge de cet animal ou d'un troupeau entier.
  • L'abeille et le frelon

Si les morts pour cause de piqûre d'abeilles ou de frelons sont nombreuses, elles sont en grande majorité dues à des allergies au venin injecté par ces insectes.
  • L'hippopotame

Bien que l'hippopotame soit herbivore, il peut être très dangereux pour l'homme, pesant jusqu'à 3,2 tonnes. Protégeant son territoire, il peut mortellement blesser les humains en les chargeant et en utilisant ses grandes dents.
  • Le crocodile

Si Steve Irwin, alias The crocodile Hunter (le chasseur de crocodile) est mort suite à une blessure venimeuse d'une raie pastenague, il aurait très bien pu faire les frais d'un coup de mâchoire d'un des animaux qu'il aimait tant capturer. De même, des dresseurs thaïlandais allant jusqu'à plonger leurs têtes dans la gueule de crocodiles viennent sans doute alimenter ce nombre de morts impressionnant. Il faut dire que lorsque la mâchoire de l'animal se referme, c'est une force de 2 300 kilos qui s'abat sur la victime.
  • Le ténia ou ver solitaire
Petit ver deviendra grand en le nourrissant. Le ténia touchant les êtres humains provient soit de la viande de porc ou de bœuf mal cuite. Une fois dans le corps, ce parasite s'installe dans les intestins de son hôte et absorbe directement les aliments qui y passent. Sans traitement, il continue de grandir pouvant atteindre jusqu'à 10 mètres de long. À ce stade, l'humain l'hébergeant ne profite plus du tout de la nourriture qu'il absorbe et peut maigrir rapidement sans raison. Il arrive aussi qu'aucun symptôme ne se déclare avant plusieurs années.
  • Le scorpion

Installé dans le sud de la France et en Corse, le scorpion n'est alors pas dangereux pour l'homme. En revanche, les piqûres de quelques espèces d'Afrique ou d'Amérique du Sud peuvent être fatales. Se cachant dans les endroits frais dans les pays chauds (sous les pierres, à l'ombre, sous les lits…), ils sont responsables de plus d'un million de piqûres par an, dont 3 500 deviennent mortelles. En 2006, plus de 80 personnes en sont mortes au Maroc, 60 en Algérie et, " durant les années fortes au Mexique, il a été fait état de plus de 1 000 morts en une seule année ".
  • La mouche tsé-tsé

Porteuse de la maladie du sommeil qui peut être mortelle, la mouche tsé-tsé sévit majoritairement dans les pays d'Afrique subsaharienne. La maladie touche près de 70 000 personnes par an, mais peut être soignée, si elle est diagnostiquée rapidement.
  • Les réduves

Sorte de punaises mangeuses de sang, les réduves sont porteuses de trypanosomes, un parasite provoquant la maladie du sommeil ou le mal de Chagas. Les traces de ce dernier remontent à l'Égypte ancienne où des traces de cette maladie ont été retrouvées sur une momie de plus de 4 000 ans. Transmise à l'homme, elle touche jusqu'à 300 000 personnes chaque année, dont 13 000 en meurent selon l'OMS.
  • Le ver ascaris

Petit ver présent majoritairement dans les zones tropicales ou subtropicales, le ver ascaris (Ascaris lumbricoides) est à l'origine de l'ascaridiase, une maladie liée à l'eau et à l'hygiène. Contractées majoritairement par les enfants, les infections qu'elle provoque touchent " jusqu'à 10 % de la population en développement […] et causent environ 60 000 décès par an", selon les chiffres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
  • Les chiens

Selon l'OMS, la rage était en 2007 la 10e cause de décès par infection chez les humains. Si elle peut être véhiculée par de nombreux animaux, les plus touchés restent les chiens, où qu'ils soient dans le monde. Si en Europe, cette maladie a été éradiquée grâce à la vaccination préventive elle continue de faire entre 40 000 et 70 000 décès par an.
  • Les mollusques d'eau douce/schistosome

Tous les mollusques ne sont pas des tueurs nés, seulement ceux dans lesquels le schistosome, un ver hématophage, est venu se nicher. Transmis à l'homme, il provoque différents types de bilharziose ou schistosomiase, une maladie pouvant provoquer des varices au niveau de l'oesophage, qui en éclatant entraîne des hémorragies internes mortelles. Très répandu en Afrique, en Asie, au Moyen-Orient et Amérique du Sud, ce ver est à l'origine de la plus forte pandémie parasitaire dans le monde, après le paludisme, infectant 261 millions de personnes en 2013 et étant à l'origine de 20 000 à 200 000 décès par an selon l'OMS.
  • Les serpents

Selon l'OMS, les morsures de serpents provoquent plus de 100 000 décès par an dans le monde. Si elles ne sont pas toujours mortelles, elles se traduisent très souvent par une amputation du membre empoisonné, dans plus de 300 000 cas, par manque d'accès aux soins ou aux dispositifs anti-venin.
  • Le moustique

Selon les chiffres de l'OMS, le paludisme a provoqué à lui seul 584 000 décès en 2013 (" avec une marge d'incertitude comprise entre 367 000 et 755 000 "). Cette maladie transmise par des moustiques infectés est un véritable fléau depuis des décennies majoritairement dans les pays d'Afrique, où les moustiques infectés préfèrent piquer les humains que les animaux.
  • L'homme

L'homme est un loup pour l'homme et il semble qu'il n'ait pas vraiment besoin des animaux pour rendre son environnement hostile.