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Quelques belles photos du Maroc

Il n’y a pas de doute, le Maroc a tout. Une riche culture (mélange d’arabe, berbère, et d’autres influences africaines et européennes), une histoire ancienne (habitée depuis l’époque paléolithique), et une géographie variée (des plages, des plaines agricoles, des montagnes), et surtout de la nourriture savoureuse.
  • Des femmes qui font la lessive…en pleine rivière
Philippe Lafond 
“HAUT ATLAS, L’EXIL DE PIERRES”, PHOTOGRAPHIES
 DE PHILIPPE LAFOND, TEXTE DE TAHAR BEN JELLOUN, 
EDITIONS DU CHÊNE, 1982.
  • Une caravane de chameaux dans le désert

Le trekking à dos de chameau est une chose très populaire à faire lors de la visite au Maroc. Ceux-ci peuvent être des excursions courtes ou des excursions sur plusieurs journées.
  • Des enfants berbères

Les Berbères sont indigènes en Afrique du Nord. La plupart qui parlent berbères résident au Maroc et en Algérie, bien que de petites communautés vivent aussi ailleurs en Afrique et en Europe. Il y’a 25 à 35.000.000 de personnes qui parlent le berbère en Afrique du Nord.
  • Des chèvres sur un arganier

Dans et autour de la ville d’Essaouira sur la côte atlantique, les chèvres grimpent souvent sur des arganiers. Ces arbres sont endémiques à la région; un produit intéressant fait de la combinaison de l’arbre et de chèvre est l’huile d’argan. Traditionnellement,  récoltées à partir de leurs déchets pour produire de l’huile. Aujourd’hui, la plupart de l’huile est produite par extraction par pression.
  •  La solitude dans le désert
Le désert du Sahara est le troisième désert le plus chaud dans le monde. Il occupe une grande partie de la partie sud-est du Maroc.
  • La palmeraie

Marrakech compte plus de 180 000 palmiers, ainsi que orangers, de figuiers, de grenadiers, et d’oliviers.
  • Le couché de soleil du Sahara

Selon l’inclinaison de l’axe de la terre, le désert du Sahara oscille entre sec et humide. Dans environ 15000 années, il sera vert.
  • Azilal

Ce paysage donne des instants de sérénité, de quiétude, brefs mais très intenses.
  • Le Moussem de Tan-Tan

Le Moussem de Tan-Tan est un rassemblement annuel des tribus du Maroc et de l’Afrique du nord-ouest. Le premièr Moussem officiel a eu lieu en 1963; il est destiné à «promouvoir les traditions locales et de faire de cet événement un lieu d’échange, de rencontre et de célébration.” Sur cette photo, ce sont des cavaliers participant à la «Tbourida” ( “fantasia”), dans lequel ils mettent en valeur leurs capacités de manutention chevaux.
  • Les escaliers bleus

Chefchaouen, ville dans le nord ouest du Maroc, est bien connu pour ses bâtiments bleus. Elle est aussi populaire comme étant une destination shopping grâce à un artisanat local unique et son fromage de chèvre tout aussi unique. Elle a été fondée en 1471.
  • Les gorges de Dadès

La route menant vers le bas dans (ou à partir) les gorges du Dadès. La rivière du Dadès sépare les montagnes de l’Atlas et l’Anti-Atlas, et sa vallée est le foyer de centaines de kasbah berbères.
  • Un champs de lauriers dans la vallée du Dadès

Quel meilleur jardin que ce champs de lauriers dits sauvages?
  • La plage de Temara

Témara est une ville située juste au sud de Rabat sur la côte nord-ouest du Maroc.
  • Des pieds

Cette photo des pieds de vache à côté de chaussures pour femmes a été prise dans la médina de Rabat. Rabat est la capitale du Maroc, qui abrite 1,2 million de personnes. Il a été décerné 2ème place dans les destinations de voyage de Top 2013 par CNN.
  • Le mouvement en flou

Une Capture fantastique d’une mère et ses enfants sur un chariot tiré par des chevaux, une méthode commune de transport au Maroc.
  • La route pour la montagne


Une grande partie du Maroc se trouve sur la côte nord et l’intérieur au niveau de l’est est plutôt montagneux. Le plus haut sommet est le Jebel Toubkal, son sommet s’élève à 13 665 pieds (4,165m) au dessus du niveau de la mer.
  • La tannerie de Fès

Fès, ville fondée en 789, est très appréciée pour la qualité de ses cuirs. Le bronzage est le processus qui transforme les peaux d’animaux au cuir; elle modifie la structure de la protéine de la peau à conserver.
  • Les tagines de Marrakech

Traditionnellement, le tajine est fabriqué à partir de la céramique et a été historiquement utilisé par les Berbères. Il est généralement utilisé pour ralentir-ragoût de viandes et de légumes; tajines non vitrés donnent la nourriture une saveur plus authentique.
  • L’Atlas

Plusieurs personnes pensent qu’au Maroc il n’y a pas de neige. Il neige beaucoup sur les montagnes marocaines. La chaîne de l’Atlas se étend 1,600 miles à travers le Maroc, l’Algérie et la Tunisie.
  • Le musicien ambulant

Cette artiste de rue à Marrakech joue le guimbri. L’instrument à trois cordes est traditionnellement utilisé par les musiciens Gnawa. Ce dernier emet des sons semblables à une contrebasse.
  • Les cônes d’épices à Marrakech

Une des images les plus emblématiques de Marrakech: coloré, épices coniques. Les épices ont été importées au Maroc pour des milliers d’années, certains sont plus communs à savoir la cannelle, le cumin, le curcuma et le safran.
  • Une tempête de sable

Le meilleur moment pour visiter le Maroc si vous voulez éviter les tempêtes de sable est en dehors de Février-Avril.
  • Ait Benhaddou

Cette kasbah qui se trouve près de Ouarzazate, est un site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1987. Elle a servi de décor de cinéma pour les films à savoir La Momie, Gladiator, et Babel.
  • Père et fils

Cette photo, prise à Rabat, capture un beau moment entre père et fils.
  • Chefchaouen

Voici une preuve que tout Chefchaouen n’est pas bleu! La ville tire son nom des deux sommets qui se élèvent au-dessus, qui ressemblent à des cornes de chèvre: Chaoua.
  • Azrou
  • Le souk d’Agadir…

“…On y trouve vraiment tout !” Sur cette photo, un chat qui fait sa sieste a trouvé son aise sur la marchandise.
  • Les dunes de Merzouga

Les dunes de sable près de la ville de Merzouga.
  • Les bateaux de pêches d’Essaouira

La pêche est une industrie importante au Maroc, ce qui représente 56% de ses exportations de produits agricoles; il apporte en plus de poissons que ne importe quel autre pays d’Afrique.
  • Le couché de soleil à Skhirat

Le Groenland intéresse les Etats-Unis de part son abondance en terres rares !

Trump chercherait à racheter ce pays... mais ça serait une catastrophe environnementale si ça arrivait...


Trump envisage d'acheter le Groenland au Danemark

Trump envisage d'acheter le Groenland au Danemark
Pour l'instant, ni le Royaume du Danemark, ni l'ambassade danoise à Washington, ni même le Premier ministre groenlandais n'a souhaité s'exprimer sur le sujet. En septembre, Donald Trump doit pourtant rencontrer les autorités danoises et groenlandaises. L'île polaire étant prévue dans les questions abordées.
Les Etats-Unis ne sont pourtant pas absents du Groenland. Depuis 1941, ils y possèdent la base militaire de Thulé, dans le nord de l'île, dans le cadre des accords de l'Otan. Située à 750 miles du cercle arctique, la base inclut une station radar antimissiles. Le site est également occupé par les forces spatiales américaines et la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord. En 2018, les Etats-Unis avaient par ailleurs réussi à empêcher la Chine de financer trois aéroports sur l'île. 
 Ce n'est pas la première fois que les Etats-Unis évoquent l'acquisition de l'île. En 1867, le ministère des Affaires étrangères avait déjà proposé une offre pour l'achat du Groenland et de l'Islande. Offre réitérée uniquement pour le Groenland en 1946 par le président Harry Truman pour 100 millions de dollars. Les deux propositions successives avaient essuyé des refus du Danemark.
A hauteur de 591 millions de dollars, soit 60 % du budget annuel, le Groenland est toujours dépendant du Danemark, selon des statistiques danoises et américaines. L'île subit de plus la fonte des glaces qui a été multipliée par quatre entre 2003 et 2013.







Une sélection des meilleures photos des Marocains dans le passé

Le Maroc est un pays riche en termes d’histoire, de traditions, de peuples, de culture, de religion, de climat, de géographie et plus encore. Il suffit de voir tous les visages du Maroc pour réaliser que les Marocains possèdent plusieurs caractéristiques et ne sont pas des gens qu’on identifie facilement.
En effet, on trouve les caractéristiques physiques de toutes les ethnies du monde au Maroc. On a des jaunes, des blancs, des bruns, des noirs…On a des visages mexicains, américains , turcs , indiens , malaisiens , espagnols, sino asiatiques… Enfin, il y a du tout au Maroc… La seule chose qui peut identifier serait donc certainement un Marocain est quand il ouvre la bouche pour parler.
Ceci dit, nous nous sommes intéressés à savoir à quoi ressemblent les Marocains d’autrefois. Ci-joint plusieurs photos de Marocains dans différents réseaux sociaux, mais aussi dans différents sites communautaires pour sélectionner les photos les plus représentatives des Marocains d’antan.


  • Une belle communauté aujourd’hui disparue
Cette carte postale des années 1910-1915 est un émouvant témoignage sur la petite communauté juive de Debdou, qui était implantée en ces lieux depuis plus de 2000 ans, avant d’en être totalement déracinée. Un crève-cœur et la perte irrémédiable d’un pan de la culture du pays.

  • Un représentant de la grande bourgeoisie marocaine, dans les années 1930
  • Deux amoureux fassis
Voici la photo la plus emblématique de la séduction marocaine à l’époque.

  • Des soussis sans soucis

Pendant des générations, les commerçants du Souss ont constitué l’ossature du commerce de proximité dans les grandes villes. L’arrivée en masse de la grande distribution est en train de changer profondément la structure du commerce traditionnel.
  • Une femme de la montagne


L’archétype de la riffaine, telle qu’on peut en croiser encore aujourd’hui: large chapeau à pompons et serviette rayée autour de la taille. Mère courage aux pieds nus, mais au regard d’acier, exaltant la fierté et la détermination des Montagnards du Rif.

  • Un enfant de Tétouan
Un petit Tétouani portant l’habit traditionnel.

  • Le prototype du facteur Marocain

Le rakkas assurait une fonction importante, parcourant parfois plusieurs dizaines de kilomètres et mettant plusieurs journées de marche pour transmettre courrier et valeurs entre les villes.
On prétend que sa tenue déguenillée lui servait de camouflage pour ne pas attirer l’attention des coupe-jarrets, nombreux à l’époque sur les routes.

  • La Musicienne ornée de bijoux
  • Des enfants au café des Maures aux Oudayas

  • Les fillettes berbères

Ces jeunes filles arborent de riches parures traditionnelles : les Taounzas (frontal traditionnel) faits de bagues anciennes, les beaux pendentifs en ambre et pièces Hassanis et autres fibules taoukka, autant de bijoux aujourd’hui rares et de grande valeur ethnographique.

  • Les Marocains du Makhzen
  • Une autre musicienne de Doukkala
Les boucles d’oreilles sont des Douwahs, et le tapis derrière un Tiflet. Son regard un peu sévère certes, mais son répertoire probablement bien fourni…

  • Une servante à Fès

  • Une beauté du Sud
  • Un noble vieillard
Une belle barbe blanche, et le regard d’un être qui a du en voir, des choses. Et pourtant, un indéniable sentiment de dignité…

Sahara marocain : Un magnifique retour à l’envoyeur algérien

Voilà plus de 44 ans qu’un conflit oppose le Maroc aux hauts responsables algériens par Polisario interposé au sujet du Sahara marocain, un ancien territoire sous domination espagnole depuis 1884 et que le Maroc n’avait jamais cessé, depuis son accession à l’indépendance le 18 novembre 1956, de revendiquer.
SAHARA MAROCAIN

Fort de son droit, confirmé par la Cour Internationale de Justice (C.I.J), le 16 octobre 1975, le Maroc a récupéré ses provinces sahariennes grâce à l’organisation d’une Marche Verte le 06 novembre 1975 qui a abouti à la conclusion de l’Accord de Madrid le 14 novembre 1975.
Mais, les autorités algériennes soucieuses de leur hégémonie régionale et ayant un litige frontalier avec le Maroc au sujet des territoires de l’Est s’opposèrent et s’opposent toujours à la réalisation de l’unité territoriale de ce dernier.
Nul ne peut faire abstraction du morcellement du Maroc et de ses revendications territoriales légitimes après une simple lecture des archives coloniales françaises, anglaises, portugaises, allemandes, belges et espagnoles.
En effet, entre 1900 et 1912, les rivalités entre ces grandes puissances coloniales s’accentuèrent en raison des opportunités qu’offrait le Maroc dans les domaines économiques et stratégiques car en occupant le Maroc, on pouvait contrôler le détroit de Gibraltar et la route du Cap, en République d’Afrique du Sud et l’Empire coloniale français, installé confortablement en territoire algérien, cherchait à parachever son indispensable débouché sur l’Atlantique.
Nul ne peut ignorer la profusion de traités et d’accords intervenus pour la plupart entre les puissances coloniales et en dehors du Maroc, mais qui excluaient toute perte de souveraineté sur le territoire nationale marocain ou une extension du territoire algérien, à partir de la ville de Figuig en direction du Sud-Ouest.
Aussi, dans toutes ses négociations avec la France, le Maroc, à l’aube de son indépendance, manifesta sa volonté de rétablir sa souveraineté sur les territoires qui lui furent soustraits pendant l’occupation française. La proclamation de l’indépendance posait officiellement la question des limitations des frontières de l’Est et du Sud marocain.
Cependant, si l’Espagne reconnût formellement les droits du Maroc lors des Accords d’Avril 1956 pour la rétrocession de la zone Nord, il ne pût récupérer Tarfaya et Sidi Ifni qu’après de longues négociations mais non ses provinces sahariennes qu’il n’a jamais cessé de revendiquer.
Le processus de décolonisation du Sahara marocain débuta le 25 février 1956, jour où feu Sa Majesté Mohammed V prononça à M’Hhamid El Ghizlaine, devant les tribus du Sahara, un discours au cours duquel il réitéra la ferme volonté du Maroc de récupérer ses provinces sahariennes spoliées.
De cette date à 1974, la décolonisation du Sahara marocain fut retardée par les atermoiements et les procédés machiavéliques du régime franquiste espagnol qui entendait se maintenir dans ces provinces marocaines en raison de ses mines de phosphates, de sa richesse Halieutique, de sa proximité avec les Iles Canaries et de détourner le Maroc de sa revendication sur Sebta, Mellilia et les Iles voisines.
Cependant les choses changèrent en 1974, lorsque l’Espagne franquiste, invoquant la notion de territoire sans maître, prévoyait l’organisation d’un référendum d’autodétermination pour le début de l’année 1975.
Craignant à juste titre, une politique unilatérale de Madrid, qui risquait de provoquer la naissance d’un Etat fantoche au Sahara, le Maroc proposa une consultation à la Cour de Justice Internationale qui rendit, le 16 octobre 1975, un avis favorable au Maroc.
Ainsi, le Maroc organisa la Marche Verte pour récupérer ses provinces sahariennes et le 14 novembre 1975, à Madrid était signé l’accord tripartite hispano-marocco-mauritanien aux termes duquel l’Espagne remettait le territoire saharien aux deux autres signataires de cet accord.
Mais loin d’être clos, la question du Sahara marocain se mua en conflit algéro-marocain résultant d’une succession de crises toujours ouvertes et de promesses non tenues, qui font que la question des frontières entre les deux pays n’a jamais pu trouver de solution.
Deux raisons majeures ont toujours déterminé la politique hégémonique algérienne à savoir, la quête d’un accès à l’Océan Atlantique, érigée en nécessité économique pour l’écoulement des produits de son sous-sol (gaz, fer, pétrole) et pour son commerce africain et international mais aussi, et surtout, par son souci de créer au Sahara marocain un Etat satellite, la pseudo République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) et son pantin le polisario, en vue réaliser ses trois objectifs qui sont : devenir une puissance atlantique, étouffer le Maroc et se poser comme carrefour obligé entre l’Europe, l’Afrique, l’Orient, l’Asie et les Amériques.
Mais, au moment où la communauté internationale s’active pour éteindre les foyers de tensions et rétablir la paix et la sécurité, le polisario continue de poser une sérieuse menace pour la paix et la stabilité en Afrique du Nord et dans le Sahel et ce, sous la houlette des responsables algériens qui leur offrent le gîte, la soupe, la logistique et les armes.
D’ailleurs, dans son édition du 11 août 2019, le quotidien américain à grand tirage, « The Wall Street Journal » a publié un article de Dion Nissembaum, grand reporter et spécialiste des questions de sécurité nationale, titré « Sahara : Washington will not support a plan leading to a new African nation » traitant de la genèse de ce mouvement marxiste qu’est le polisario ainsi que sur ses liens avec le terrorisme régional.
Cet article signale que la situation sécuritaire dans la région rend le conflit une urgence à régler. Une réalité largement admise par les décideurs politiques américains dont l’Administration américaine, déjà sur plusieurs fronts pour faire face à la menace terroriste, est attentive à la situation dans la région du Sahara marocain et du Sahel.
C’est pourquoi, consciente des dangers que posent la fantomatique RASD, la Maison Blanche est déterminée à mettre fin à ce conflit, selon le quotidien, qui relève que la dynamique en cours sous les auspices des Nations-Unies est l’option la plus sûre et la moins coûteuse pour aboutir à une issue consensuelle. Les États-Unis « sont clairs, ils ne soutiendront pas un plan qui conduit à la création d’un nouvel État africain », relève en outre la prestigieuse publication US.
« Un nouvel État en Afrique pourrait en réalité être moins sûr. Si vous essayez d’établir un nouveau pays, cela pourrait créer une zone dont des insurgés et des groupes comme l’État islamique pourraient profiter et utiliser comme refuge », indique le journaliste dans une vidéo accompagnant son analyse en relevant que Washington et Rabat partagent la même position à cet égard.
Citant des responsables occidentaux et marocains, l’auteur assurent que les États-Unis soutiennent le Maroc en privé sur le dossier du Sahara marocain. Pour les États-Unis, l’indépendance n’est pas une option pour le règlement du différend autour du Sahara marocain, affirme le quotidien américain « The Wall Street Journal ».
Un article publié à point nommé puisque le Maroc, de Tanger à Lagouira, ville au fin fond du Sahara marocain fête ce 14 août 2019 le 40ème anniversaire du retour légitime de la province saharienne d’Oued Eddahab à la Mère-Patrie.
Ce à quoi Feu Sa Majesté Hassan II, tout à sa lucidité prémonitoire, répondra entre autres : « Nous nous faisons un devoir de garantir votre défense et votre sécurité et d’œuvrer sans relâche pour votre bien » ! Ce fut en vérité une manière de serment sacré, il s’inscrit dans le « Kassam d’Al-Massira », irrévocable, imprégné sans aucun doute de ce qu’il y a de plus profondément enraciné dans le coeur de cette vertu dénommée pacte entre le Trône et le peuple. Une dimension quasi messianique qui est au rapport entre les deux ce que l’engagement irréversible est à la fidélité proclamée entre deux forces de la Nation.
Quelque sept mois plus tard, en mars 1980, Feu Sa Majesté Hassan II s’était rendu à Dakhla pour une visite historique où il avait reçu un accueil plus que chaleureux et enthousiaste.
Cette visite ineffaçable, accomplie dans la tradition du Sultan Moulay Ismaïl et du Sultan Moulay Hassan 1er, traduisait ainsi sa ferme volonté de défendre cette province, ses populations et le patrimoine historique du Maroc ; visite qui fut poursuivie à plusieurs reprises par Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Quelques belles photos en souvenir d’un passé des Juifs du Maroc.

Installés au Maroc depuis l’Antiquité, la communauté juive du Maroc comptait jusqu’au siècle dernier, plusieurs centaines de milliers de personnes en son sein. Au XX siècle, les juifs marocains représentaient la plus grande communauté juive du monde arabe avec près de 265.000 personnes. Ils étaient principalement répartis en communautés urbaines dont les plus anciennes habitent Casablanca, Rabat, Tanger, El Jadida, Tétouan, Fès, Marrakech, Meknès… Il existe également de nombreuses communautés rurales, essentiellement repartis dans les zones berbérophones (à savoir les montagnes de l’Atlas, la vallée du Draa et l’Anti-Atlas) où elles vivent sous la protection des tribus. Avec la création de l’État d’Israël en 1948, plusieurs juifs marocains ont été contraints à quitter le Maroc pour Israël. Dans les années 1970, avec une population juive de quelque 20 000 personnes, les deux tiers d’entre eux ont été concentrés à Casablanca et le reste à Rabat, Marrakech, Tanger et Fès, Maroc avait la plus grande communauté juive organisée de tout pays arabe. Aujourd’hui, on ne compte plus environ qu’entre 3 000 et 7 000 juifs encore installés sur le territoire. Le reste s’est éparpillé dans une diaspora à travers le monde entier. Ce reportage de photos regroupe des souvenirs photos que la communauté juive marocaine a partagés sur des forums. Ce sont des photos qui retracent les coutumes et les traditions de la communauté juive marocaine : de la bar-mitsvah jusqu’au mariage, on n’aura jamais vu autant de belles photos souvenirs des Juifs du Maroc d’antan.
  • Un anniversaire, aux Roches Noires à la rue Eugène lendrat à Casablanca



  • Une belle photo


  • Chez l’épicier du coin de la rue Henri Popp et de la Rue de Perpignan à Rabat


  • Une très belle photo d’une bar-mitzvah


  • Un Mariage dont tous les Jdidis se souviennent


  • Une soirée de musique orientale à Rabat


  • Une belle photo lors d’une soirée dansante


  • Une soiree au Cercle de l’Alliance Israelite, rue de Bordeaux à Rabat. Beaux sourires des anciens membres de la communauté…


  • Sortie des Jdidis à l’orangeraie en 1953


  • Les beaux gosses en balade sur le Boulevard Mohamed V à Casablanca


  • Les soeurs Obadia sur le Boulevard de la Gare


  • Trois jeunes filles dans le boulevard de la gare à Casablanca


  • Un jeune homme sur le Boulevard de la Gare en 1957


  • Samy Elbaz et sa petite soeur Yehoudith Elbaz


  • Un jeune couple en balade


  • La famille Levy


  • Des amies en balade à Casablanca !


  • Un couple en voyage de noce à Casablanca en 1957


  • Une fille et son père sur le Boulevard de la Gare à Casablanca


  • Deux jeunes filles en 1956


  • Une mère en compagnie de sa fille au boulevard de la gare à Casablanca


  • Une famille qui se met sur son trente et un


  • Photos de quatre enfants pas comme les autres


  • Paul Elkabas lors de son mariage à Casablanca


  • Une magnifique photo d’un jeune couple


  • Une autre très belle photo d’une bar-mitsvah


  • Deux jeunes filles à la plage de Mazagan


  • Une famille à la plage de Témara en 1947


  • La célébration de la Mimouna au sein d’une famille


  • La jeunesse à Rabat