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La forêt de Daintree, en Australie


Daintree n’est pas un bled, mais un géologue et photographe qui a légué son nom à la forêt et au parc national qui l’accueille. Il s’agit d’une forêt tropicale qui abrite une importante biodiversité, notamment de grenouilles, de marsupiaux et de chauve-souris.



La forêt des nuages


Il ne s’agit pas d’une forêt qui contient des nuages en guise d’arbre. C’est en raison de la brume qui la recouvre toute l’année qu’elle tire ce surnom et fait d’elle une forêt si mystérieuse. La forêt de Mindo de son véritable nom est située en Equateur. Un sanctuaire naturel où une multitude d’oiseaux vivent.

La forêt de Hei Zhu Gou, Chine

Située dans la province du Sichuan, cette forêt de bambous est une zone digne des grandes oeuvres de science-fiction. A l’instar du Triangle des Bermudes, elle est hors du temps et ne semble pas laisser repartir les malheureux qui pénètrent dans ses bois. Enclavée et régulièrement assaillie par le brouillard, la terrible « Vallée de la mort » devrait conserver ses mystères encore longtemps. Et on ne vous parle pas du squelette géant d’oiseau à deux cranes trouvé là-bas…

  

Le volcan cracheur de boue en Indonésie


Le 28 mai 2006, dans la province de Sidoarjo à Java (Indonésie), la compagnie Lapindo Brantas fore le sous-sol à la recherche de gaz naturel lorsqu'une éruption de boue brûlante et de gaz se produit à proximité.

Conséquences de l'éruption de boue
Le volcan de boue nouveau-né vomit alors des flots ininterrompus de boue mêlée de gaz qui recouvrent les terres environnantes et les villages. Plusieurs dizaines de milliers de personnes sont évacuées.
En 2008, le volcan baptisé Lusi, pour Lumpur Sidoarjo (boues de Sidoarjo en indonésien), crache encore plus de 100.000 mètres cubes de boue par jour, et cela continue en 2010.
Il n'a pas été possible de combler le volcan. Quant aux boues, chargées en métaux lourds et hydrocarbures, elles sont canalisées par des digues pour être rejetées dans une rivière. Le lit de cette dernière se comble peu à peu et l'écosystème aquatique est contaminé, de même que les ressources halieutiques (poissons, crevettes).

Les causes supposées du volcan de boue
Deux théories s'affrontent pour expliquer l'origine de ce volcan de boue.                  - 
La première, celle qui a été retenue lors du procès, se base sur un séisme qui s'est produit deux jours auparavant dans cette région connue pour abriter d'anciens volcans de boue. Le séisme d'une amplitude de 6,3 sur l'échelle de Richter aurait fragilisé la zone, déjà géologiquement très active.                                 - L'autre théorie, qui a la faveur des spécialistes étrangers, incrimine le forage. Une étude britannique de 2010 confirme cette dernière hypothèse et pointe du doigt plusieurs erreurs : sous-estimation de la pression sur le site, absence de mesure de protection, retrait de la colonne de forage, etc.

Le trou magnétique terrestre de l’Atlantique


L'anomalie magnétique de l'Atlantique Sud (Amas) est une brèche béante dans le bouclier magnétique qui protège la Terre des particules cosmiques. Cette vaste zone s'étendant du Chili au Zimbabwe couvre près de 7,8 millions de km² et ne cesse de s'agrandir. Un « trou » qui entraîne des perturbations dans les satellites de communication et d'observation spatiale, mais dont l'origine demeure inexpliquée. Il pourrait s'agir d'un flux magnétique provenant des mouvements de roches en fusion dans le noyau terrestre, composé de fer liquide, ou d'un début d'inversion des pôles magnétiques, qui intervient tous les 400.000 ans en moyenne. Si c'était le cas, ce genre de brèches pourrait se multiplier et causer des gros problèmes pour la santé ou pour les vols commerciaux.

Dans la zone bleue appelée Anomalie magnétique de l’Atlantique Sud,
 le champ magnétique est deux fois plus faible qu’en Europe.

La mystérieuse plaine des jarres au Laos


La plaine des jarres est un site archéologique qui se situe dans la province de Xieng Khouang, dans les environs de la ville de Phonsavan. Ce site est daté entre 5000 avant JC et 800 après JC et serait l’œuvre des premiers habitants de la péninsule indochinoise. Mais les jarres ne disposant pas d’inscriptions, le mystère reste complet quant à leur origine, leur utilité et leur signification.On ne peut qu’observer ces gigantesques mégalithes pesants entre 600kg et 7 tonnes, sans savoir comment ni pourquoi ils se situent à cet endroit. Ce site fait partie de la lignée des grands mystères antiques, à l’instar des Moais de l’île de Pâques ou de Stonehenge. Pour le moment, on peut seulement confirmer que ces jarres proviennent d’une montagne de grès située à cheval entre Louang Prabang et Xieng Khouang.

La découverte des plaines

C’est en 1930 que les premières études sont réalisées sur le site par l’archéologue Française Madeleine Colani. C’est en 1898 qu’elle embarque pour l’Indochine pour devenir institutrice puis professeure d’histoire naturelle à Hanoï. Ses travaux en science et en géologie lui valent la reconnaissance de l’archéologue et orientaliste Louis Finot, explorateur des sites d’Angkor et directeur de l’École Française d’Extrême Orient. C’est d’ailleurs cette institution qui missionnera Madeleine Colani d’explorer et d’étudier la plaine des jarres.
L’archéologue se lance donc dans ses recherches et découvre les restes d’une cheminée. Ainsi que des restes humains calcinés dans une grotte des alentours de la plaine. Ainsi, elle en déduit dans un premier temps que ce site était à vocation funéraire dans son ouvrage Les mégalithes du Laos. Les études de Madeleine Colani s’achèvent avec la guerre et ne reprennent que plusieurs décennies plus tard, à la fin des grands conflits qui ont secoué la région.
Cependant, les travaux de l’archéologue resteront une référence pour l’ensemble des chercheurs qui se sont intéressés à la plaine des jarres.


Quelle fut la fonction des jarres ?
La grande question qui se pose encore à l’heure actuelle est : à quoi pouvaient bien servir ces gigantesques jarres de plusieurs tonnes disséminées sur près 1000 km² ?
Tout d’abord, il est important de noter que la taille des jarres peut varier très grandement. Il faut également noter que des pillards ont dérobé la grande majorité des plus petites urnes. Mais on trouve encore de nos jours des jarres de 1 à 3 mètres de haut. Et atteignant parfois plus de 8 mètres de diamètre. De plus, près de certaines des jarres, des couvercles ont été mis au jour, ce qui pourrait signifier qu’elles furent (au moins pour un temps) fermées.


De nombreuses légendes racontées par les locaux, notamment aux touristes, ont donc émergé. Certaines évoquent un moyen d’entreposer de la nourriture, de l’eau de pluie ou encore de procéder à la fermentation d’alcool.

Les études les plus récentes
Mais des études plus récentes, dont celles de l’Australien Douglas O’Reilly, tendent à confirmer la première hypothèse émise par Madeleine Colani. En effet, des urnes de petites tailles contenant des ossements humains, entourées de ce qui semble être des offrandes (objets de bronze, coquillages, perles…), ont été découvertes à proximité du site. Puis, en 2016, une sépulture datée de 2500 ans a été mis au jour. Cela semble donc confirmer l’hypothèse d’un site destinés aux rites funéraires.
Douglas O’Reilly a donc émis l’hypothèse que les gigantesques jarres auraient donc pu être des tombes temporaires. Notamment le temps de la décomposition du corps. Cependant, on ne peut pas émettre une idée claire sur la raison de ce rituel.
Même si le mystère s’éclaircit à mesure des recherches, le site de la plaine des jarres reste toujours entouré d’un grand nombre de questions. Des hypothèses peuvent être émises, mais des preuves scientifiques sont difficiles à mettre au jour sur le site. C’est ce voile d’énigmes qui entoure la plaine des jarres qui fait aussi une partie de sa renommée.

La forêt albinos en Californie

Une lugubre forêt de fantômes blancs se dresse le long des côtes californiennes dans les parcs nationaux de Big Basin Redwoods ou Humbolt Redwoods. Ces séquoias n'ont pas été victimes d'une pollution chimique ou de pluies acides : ils sont albinos, dépourvus de chlorophylle, laquelle donne leur couleur verte aux autres végétaux. Mais comment ces séquoias blancs peuvent-ils survivre sans photosynthèse ? Selon Zane Moore, un étudiant chercheur de l'université de Californie, ces arbres seraient des sortes de chimères, les branches albinos profitant des ressources des branches vertes. En retour, les parties albinos séquestrent les métaux lourds qui empoisonnent les sols et aboutiraient normalement à la mort des arbres. Voici une possible explication à cette énigme scientifique.


Dyspareunie


Ce sont des douleurs pendant la pénétration.

Les différents types de dyspareunies
Motif fréquent de consultation, les dyspareunies féminines (douleurs ressenties lors de la pénétration) concerne de nombreuses femmes. Cette problématique touche 20 % des femmes environ. On distingue :
          - la dyspareunie primaire, quand les douleurs apparaissent dès premier rapport sexuel, 
          - la dyspareunie secondaire lorsqu’elles surviennent plus tardivement, à un moment particulier dans la vie des femmes.

Il convient également de faire la distinction entre la dyspareunie superficielle, c’est-à-dire lorsque les douleurs apparaissent au moindre contact avec l’orifice vaginal et la dyspareunie profonde, lorsque les douleurs sont ressenties dans le fond du vagin.


Des causes multiples et complexes
        - Souvent réactionnel à un traumatisme (accouchement, rapport sexuel brutal, viol), le vaginisme se traduit par une forte contraction des muscles du plancher pelvien, rendant toute pénétration impossible, y compris en dehors de la sphère sexuelle (lors de l’introduction d’un tampon hygiénique, ou d’un examen gynécologique…).

        - En dehors des traumatismes psycho-émotionnels, les causes de douleurs à la pénétration peuvent être médicales : une rétroversion de l’utérus peut ainsi rendre la pénétration douloureuse, notamment dans certaines positions. "Souvent difficile à diagnostiquer, l’endométriose, qui touche une femme sur dix, fait aussi partie des causes possibles", ajoute le médecin.

         - Par ailleurs, un fibrome, un kyste, une infection locale (mycose, herpès, lichen), voire une simple inflammation vaginale peuvent également être à l’origine de douleurs. Lorsqu’il est mal positionné par exemple, le stérilet peut parfois être incriminé. Fréquente, la sécheresse vaginale joue aussi un rôle. Les femmes en période de ménopause sont donc davantage susceptibles d’être exposées à ce problème.

         - Une éducation stricte où la sexualité est perçue comme taboue, voire culpabilisante, peut aussi avoir un impact mais souvent, la cause est difficile à élucider. Dans bien des cas, il n’existe pas de motif médical ou traumatique à ces douleurs. C’est un problème complexe à traiter.


Des répercussions psychologiques importantes
Si elle n’est pas traitée rapidement, cette problématique sexuelle peut avoir des retentissements psychologiques importants, entraînant une perte d’estime de soi et une fragilisation du couple. Après un rapport sexuel douloureux, la peur d’avoir mal à nouveau entraîne bien souvent un évitement des relations sexuelles, créant ainsi un cycle tout à fait pernicieux. Comme la sexualité devient très compliquée, la femme peut se demander si son conjoint la trompe ou envisage de la quitter. Une situation également difficile en cas de désir d’enfant. De nombreuses femmes consultent à l’approche de la quarantaine, en raison de leur difficultés à concevoir un enfant. Elles ressentent l’urgence de trouver une solution à leurs problèmes.

Une prise en charge globale
Complexe à traiter, la prise en charge des dyspareunies requiert du temps, de la patience et une approche médicale pluridisciplinaire. 
      - En premier lieu, une consultation chez un gynécologue permettra de cerner l’origine des douleurs. Si le diagnostic d’endométriose est confirmé, un traitement, voire une intervention chirurgicale, pourront être envisagés. Si une infection est diagnostiquée, des traitements efficaces seront prescrits.

      - Une prise en charge conjointe avec un kinésithérapeute spécialisé en rééducation périnéale (notamment en cas de vaginisme) et un sexologue, voire un psychothérapeute devrait ensuite être envisagée. Même après des séances de rééducation périnéale chez le kinésithérapeute, il arrive que les douleurs persistent. Le versant psychologique est très important dans cette problématique.

        - Malgré la complexité du problème, rappelons que la pénétration n’est pas la condition sine que non d’une sexualité épanouie et qu’il est possible d’envisager d’autres façons de vivre sa sexualité.

        - Si vous êtes concernée, ne restez pas seule avec vos interrogations. N’attendez pas pour consulter un médecin (gynécologue et sexologue) afin d’envisager conjointement une solution.


Le grand nord autour du cercle polaire arctique

 Le pôle Nord , notion à séparer en 2 parties principales: le pôle nord géographique et le pôle nord magnétique. Les deux pôles ont exercés une fascination pour les explorateurs. De part les conditions climatiques extrèmes, ce challenge a couté de nombreuses vies. Atteindre le pôle géographique n'est toujours pas donné à tout le monde.

  • Pôle Nord géographique

Découverte :

La première expédition à avoir atteint le pôle nord qui sera reconnue par la communauté scientifique mondiale est celle du norvégien Roald Amundsen et de l'iltalen Umberto Nobile . Celle ci a eu lieu à bord d'un dirigeable (le Norge) le 12 Mai 1926.

     Par voie terrestre :

         Les américains attriburont cette première à Robert Peary . Celui ci l'aurait atteint le 06 Avril 1909. Cette décision de sénat américain s'est faite au détriment de Frederick Cook qui l'aurait lui atteint le 21 avril 1908. Il faut attendre bien plus tard pour avoir une exploration reconnue avec certitude: le britannique Wally Herbert l'atteint en traineau le 5 avril 1969. 

      Par les voies aériennes:

        - En balllon:     C'est l'expédition de Roald Amundsen qui sera la première le 12 mai 1926 à l'atteindre pour la première fois et donc aussi la première fois par les airs.

         - En avion  Le soviétique Papanine s'y pose en avion le 21 mai 1937.

      Par les voies maritimes:

         -  En bateauC'est le brise-glaces à propulsion nucléaire soviétique ARKTIKA qui a atteint le pôle Nord le 17 Aout 1977. 

         - En sous marin: C'est le sous marin USS Nautilus, qui perce la banquise à l'endroit du pôle nord en 1958.

Tentative en 1931 par Hubert Wilkins ,citoyen australien.Il part à l'aventure avec un sous marin réformé de la première guerre mondiale, loué symbolquement 1 dollar l'année par les Etats Unis.   Il part le 4 Juin 1931.Lors de la traversée en direction de l'Angleterre, les moteurs tombent en panne.Après avoir dérivés; ils sont secourus par un navire militaire américain qui remorque le sous marin jusqu'à Plymouth. Après sa réparation, il repart vers la Suède. De nouveau, il passe un mois en cale sèche. Un officier de la marine suédoise, après une inspection, le déclara non conforme pour l'armée suédoise. Il appareille ensuite vers le spitzberg et la banquise. Une inspection de la coque avant la plongée, montre que les gouvernes de plongée ont disparues. Les conditions sont dures, le sous marin n'est pas équipé de chauffage.

  • Pôle Nord magnétique

Le pôle Nord Magnétique se trouve actuellement au Canada, sur l'île d'Ellemere, il dérive de 55  km par an vers la Sibérie qu'il devrait atteindre vers 2040. Il a été situé réellement pour la première fois par James Ross en 1831, suivi en 1904 par Roald Amundsen. A cette époque, il se trouvait plus bas dans la péninsule de Boothia au Nunavut.