Un groupe de géologue après avoir foré un trou d'environ 14.4 kilomètres de profondeur dirent qu'ils ont entendu des cris humains. Les cris perçants des âmes condamnées de l'enfer. Les scientifiques terrifiés ont eu peur d'avoir lâché les forces maléfiques de l'enfer jusqu'à la surface de la terre. Cette rumeur a circulé sur Internet, preuves sonores à l'appui... c'est la découverte de l'Enfer par les Soviétiques en Sibérie occidentale, fin 1989.
Avons- nous découvert l'enfer ? Des scientifiques ayant percé un trou d'une profondeur de 15 km environ pour étudier les mouvements de plaques terrestres massives, affirment avoir découvert l'enfer. C'est ce qu'écrit un journal finlandais très respecté du nom de Ammenusastia qui citait un géologue soviétique, le Dr Smitri Azzacov disant qu'une créature ailée était sortie de l'encavure en question avant qu'on y descende des microphones révélant les cris des condamnés.
" En tant que communiste, je ne crois ni à la Bible, ni à l'existence du Ciel, mais en tant que scientifique je crois maintenant à l'existence de l'enfer" dit le Dr Azzacov. "Il va sans dire que nous avons tous été stupéfaits de faire une telle découverte". "Mais nous savons ce que nous avons vu et nous savons ce que nous avons entendu. Et nous sommes absolument convaincus que nous avons percé les portes de l'enfer". Ce drame terrifiant s'est déroulé, selon les dires des géologues et savants soviétiques, lorsque ceux-ci perçaient un puits sur un site qui n'a pas été identifié à l'ouest de la Sibérie, en atteignant une profondeur de 15 km.
D'après le Dr Azzacov, "le trépan (mèche) s'est soudainement mis à pivoter à une vitesse folle, indiquant que nous avions atteint une large poche ou caverne vide. Les thermomètres ont tout à coup indiqué une hausse importante de la température lorsque celle-ci eut atteint 2000° farenheit.
D'après le Dr Azzacov, "le trépan (mèche) s'est soudainement mis à pivoter à une vitesse folle, indiquant que nous avions atteint une large poche ou caverne vide. Les thermomètres ont tout à coup indiqué une hausse importante de la température lorsque celle-ci eut atteint 2000° farenheit.
Lorsque nous avons retiré la foreuse, nous ne pouvions en croire nos yeux !".
"Une créature munie de crocs et d'immenses yeux maléfiques est apparue dans un nuage gazeux et s'est mise à pousser des hurlements tel un animal sauvage avant de disparaître.
Certains des techniciens et travailleurs se sont enfuis, mais ceux d'entre nous qui sommes demeurés là désiraient en connaître davantage". " Nous avons donc fait descendre un microphone destiné à prélever les sons qu'émettent les mouvements des plaques terrestres, à l'intérieur du puits. Mais au lieu d'entendre les mouvements des plaques terrestres, nous avons entendu une voix humaine hurlant de douleur.
Tout d'abord, nous avons cru que ces bruits provenaient de notre propre équipement". "Mais après avoir fait quelques ajustements, nos pires craintes ont été confirmées. Ces cris et ces hurlements ne provenaient pas d'un seul humain, ils étaient les cris de millions d'êtres humains.
Cependant, nous avons pu tout enregistrer sur bande magnétique et nous avons conservé cette expérience de cauchemar".
"A ce moment-là, nous avons cessé nos recherches et nous avons recouvert le puits. Il était alors évident que nous avions découvert quelque chose qui était au-delà de toute compréhension.
Nous avions vu et entendu des choses qui ne devaient jamais être vues et entendus" raconte le Dr Azzacov. " Les responsables soviétiques ont refusé de commenter le rapport suite à l'étude de ces renseignements et à l'enquête qui aura lieu plus tard cette année. "Nous ne pouvons qu'espérer que les Soviétiques nous fourniront tous les détails" conclut le journal Ammenusastia dans un éditorial d'une page. "
Nous avions vu et entendu des choses qui ne devaient jamais être vues et entendus" raconte le Dr Azzacov. " Les responsables soviétiques ont refusé de commenter le rapport suite à l'étude de ces renseignements et à l'enquête qui aura lieu plus tard cette année. "Nous ne pouvons qu'espérer que les Soviétiques nous fourniront tous les détails" conclut le journal Ammenusastia dans un éditorial d'une page. "