La politique de l’enfant unique pour les couples, aujourd’hui terminée mais imposée par le gouvernement durant des décennies et qui a créé un déséquilibre de population homme/femme, les exigences de la réussite professionnelle, pour les jeunes filles notamment qui semblent tout miser là dessus, ont transformé les mentalités.
Le confort, la recherche de l’aisance et de l’épanouissement personnel, et la réussite professionnelle semblent constituer pour les jeunes chinois les seuls objectifs à atteindre.
Les traditions s’oublient et les évènements, jadis très courus par les familles ayant encore des jeunes non mariés, comme le” Marché au mariage” de Shanghaï, n’attirent plus grand monde.
Il s’agit là d’un véritable séisme sociologique, dans un pays où la tradition confucianiste, représentée en tout premier lieu par la nécessité du mariage et la création de la famille, cellule de base d’une société structurée, avait toujours été respectée.
Le gouvernement s’inquiète d’ailleurs de cette situation, qui bride la natalité, et a autorisé trois enfants par famille. Mais cette consigne ne semble guère respectée et c’est l’individualisme qui triomphe.
Cette jeune génération chinoise, si elle se montre ainsi terriblement égocentrique, a dû aussi très tôt accepter une concurrence féroce tout au long de son parcours scolaire et certains jeunes chinois interrogés reconnaissent “ne jamais avoir eu le temps d’être des enfants.”
Révélation terrible qui fait dire à une analyste “qu’une fois adultes, ces jeunes se réapproprient leur enfance non vécue en acquérant compulsivement des produits ludiques, colorés et fun.”
Il s’agit là d’un véritable séisme sociologique, dans un pays où la tradition confucianiste, représentée en tout premier lieu par la nécessité du mariage et la création de la famille, cellule de base d’une société structurée, avait toujours été respectée.
Le gouvernement s’inquiète d’ailleurs de cette situation, qui bride la natalité, et a autorisé trois enfants par famille. Mais cette consigne ne semble guère respectée et c’est l’individualisme qui triomphe.
Cette jeune génération chinoise, si elle se montre ainsi terriblement égocentrique, a dû aussi très tôt accepter une concurrence féroce tout au long de son parcours scolaire et certains jeunes chinois interrogés reconnaissent “ne jamais avoir eu le temps d’être des enfants.”
Révélation terrible qui fait dire à une analyste “qu’une fois adultes, ces jeunes se réapproprient leur enfance non vécue en acquérant compulsivement des produits ludiques, colorés et fun.”
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