« Le Maroc se trouve désormais dans une situation de stress hydrique structurel et la seule construction d’équipements hydrauliques (…) ne suffit pas à régler tous les problèmes », a expliqué le souverain devant les membres des deux chambres réunis au grand complet.
« Nous appelons donc à un traitement diligent de la problématique de l’eau, et notamment à une rupture avec toutes les formes de gaspillage ou d’exploitation anarchique et irresponsable de cette ressource vitale », a-t-il ajouté.
Le Maroc, dont l’agriculture est le premier moteur de croissance, traverse son pire épisode de sécheresse depuis plus de trois décennies, avec un taux de remplissage des barrages atteignant seulement 25,3%.
« Il est impératif d’accorder une attention particulière à une exploitation rationnelle des eaux souterraines et à la préservation des nappes phréatiques », a plaidé Mohammed VI.
La rentrée parlementaire se déroule dans un climat de crise économique et sociale, marquée par une accélération de l’inflation (+8% sur un an) alimentée par la flambée des prix des matières premières au niveau mondial et une croissance atone (+0,8%).
Le Maroc, dont l’agriculture est le premier moteur de croissance, traverse son pire épisode de sécheresse depuis plus de trois décennies, avec un taux de remplissage des barrages atteignant seulement 25,3%.
« Il est impératif d’accorder une attention particulière à une exploitation rationnelle des eaux souterraines et à la préservation des nappes phréatiques », a plaidé Mohammed VI.
La rentrée parlementaire se déroule dans un climat de crise économique et sociale, marquée par une accélération de l’inflation (+8% sur un an) alimentée par la flambée des prix des matières premières au niveau mondial et une croissance atone (+0,8%).
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