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La mort brutale de Joseph Staline
Entre 1945 et 1953, Joseph Staline a transformé son pouvoir en un culte de la personnalité absolue. Il a éliminé des ennemis réels et imaginaires, a orchestré des purges secrètes, des déportations massives et des persécutions ethniques, tandis que sa santé se détériorait en silence. Sa folie des grandeurs s'est aggravée avec son isolement. Il a espionné ses ministres, craignant l'empoisonnement, allant jusqu'à emprisonner ses médecins. L'État soviétique est devenu le reflet de son esprit malade. Le 1er mars 1953, le dictateur s'est effondré seul chez lui. Pendant quatre jours, sa cour a hésité à agir. La médecine est arrivée trop tard, la politique aussi. Sa souffrance a révélé le vide laissé par un système basé sur la peur. Staline est mort, mais son ombre est restée : des funérailles majestueuses, une lutte violente pour le pouvoir, et une purge rétroactive qui a mis fin à sa vie. Huit ans plus tard, il sera enterré à nouveau. Pas avec de la terre, mais dans le silence. Qui a permis à Staline de mourir ? Comment son corps a-t-il été utilisé comme un outil politique ? Et pourquoi l'État qu'il avait lui-même créé a-t-il décidé de le rayer de son histoire ?
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