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Qui est Julian Assange ?

C'est en 2006 que Julian Assange a créé le site WikiLeaks

Julian Assange quittant un commissariat de police, à Londres le 11 avril 2019.
Julian Assange quittant un commissariat de police,
 à Londres le 11 avril 2019.

Julian Assange, le fondateur du site WikiLeaks a été arrêté par la police britannique ce jeudi 11 avril. Retour sur le parcours d’un lanceur d’alerte qui ne fait pas l’unanimité.
Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange, arrêté jeudi 11 avril par la police britannique à l’ambassade d’Équateur à Londres, est passé en quelques années du statut de héros de l’information libre à celui d’hôte indésirable.
Julian Assange a été présenté en début d’après-midi devant un tribunal londonien. Les États-Unis ont annoncé qu’il était officiellement inculpé de « piratage informatique ». D’après une source officielle, il encourt 5 ans de prison maximum selon son inculpation.
C’est dans ce bâtiment diplomatique d’un quartier chic de la capitale britannique que l’Australien aux cheveux argentés avait trouvé asile le 19 juin 2012, déguisé en coursier, pour échapper à un mandat d’arrêt pour des accusations de viol et d’agression sexuelle en Suède qu’il a toujours rejetées, défendant la théorie d’un complot.
La justice suédoise a fini par classer l’affaire, mais Julian Assange, 47 ans, refusait de sortir, craignant d’être arrêté par les autorités britanniques puis extradé et jugé aux États-Unis. En 2010, il avait diffusé plus de 700 000 documents sur les activités militaires et diplomatiques américaines.

Un hôte devenu gênant
En accordant sa protection au fondateur de WikiLeaks, l’Équateur, alors présidé par Rafael Correa, une figure de la gauche sud-américaine, avait trouvé une occasion en or de narguer Washington. Mais tout a changé en 2017, avec l’arrivée au pouvoir de Lenin Moreno, pour qui la présence de Julian Assange constitue un « problème ». Le chef de l’État équatorien a accusé l’Australien de « violations répétées » des règles régissant son hébergement.
Depuis octobre, Quito appliquait un protocole régissant notamment ses visites et ses communications dans l’ambassade, en réaction à ce qu’il considérait comme de constantes ingérences d’Assange dans les affaires intérieures de l’Équateur et d’autres pays.
Le changement de ligne de Quito coïncide aussi avec le déclin de la popularité du « cyber-warrior ». Son image s’est particulièrement brouillée avec la diffusion par sa plateforme, en 2016, à un moment clé de la campagne présidentielle américaine, de milliers de courriels piratés provenant du Parti démocrate et de l’équipe d’Hillary Clinton, qui ont contribué à discréditer la candidate.

Hacker doué, il s’attaque à la Nasa et au Pentagone
Ces révélations suscitent alors des éloges appuyés du candidat Donald Trump. « J’adore WikiLeaks », affirme-t-il au cours d’un meeting. D’après la CIA, ces documents ont été obtenus par WikiLeaks auprès d’agents russes, ce que nie la plateforme.
Personnage difficile à suivre, Julian Assange a été ballotté de gauche à droite dès son plus jeune âge par sa mère, Christine Ann Assange, une artiste de théâtre qui s’était séparée de son père avant même sa naissance.Il compare son enfance à celle de Tom Sawyer, entre construction de radeau et explorations diverses de son environnement.
Jusqu’à l’âge de 15 ans, il vivra dans plus de trente villes australiennes différentes et fréquentera de nombreuses écoles avant de se poser à Melbourne où il étudiera les mathématiques, la physique et l’informatique. Doué, travailleur, il est happé par la communauté des hackers et commence à pirater les sites internet de la Nasa ou du Pentagone en utilisant le pseudo de « Mendax ».
C’est à cette époque qu’il a un fils, Daniel, dont il se disputera la garde avec la mère. Lorsqu’il lance WikiLeaks dans le but de « libérer la presse » et de « démasquer les secrets et abus d’État », il devient, selon un de ses biographes, « l’homme le plus dangereux du monde ».

Les méthodes controversées de WikiLeaks
Il se fait connaître du grand public en 2010 avec la publication des centaines de milliers de documents américains. Un coup d’éclat qui vaut à cet homme grand et mince au teint diaphane d’être présenté comme un champion de la liberté d’informer. Mais en même temps que sa notoriété grandit, les critiques s’accumulent.
En 2011, les cinq journaux (dont The New York Times, The Guardian et Le Monde) associés à WikiLeaks condamnent la méthode de la plateforme, qui rend publics des télégrammes du département d’État américain non expurgés. Ils estiment que les documents sont susceptibles de « mettre certaines sources en danger ». La critique sera également formulée par le lanceur d’alertes Edward Snowden.
Chargé de rédiger l’autobiographie de Julian Assange, Andrew O’Hagan finit par jeter l’éponge avec ce verdict définitif : « L’homme qui se targue de dévoiler les secrets de ce monde ne supporte pas les siens ».

Une tornade de feu embrase le ciel au Royaume Uni


A Woodville, au Royaume-Uni, une tornade de feu a jailli d’un incendie qui a dévasté une usine de plastique, mardi 7 août. Venus pour maîtriser le sinistre, les pompiers de la région sont parvenus à filmer le phénomène. Leur vidéo est devenue virale. Les tornades de feu sont dangereuses car il est difficile de prévoir leurs oscillations et leurs déplacements. Bien que spectaculaires, elles sont plutôt rares.




Budget militaire : avec moins d’argent, la Russie fait mieux que le Royaume-Uni


Budget militaire Russie Royaume Uni


Les deux pays ont sensiblement le même budget militaire. Mais curieusement, la taille et l’échelle des armées de la Russie et du Royaume-Uni diffèrent fortement : cinq fois et demi plus de soldats russes, dix fois plus de chars de combat… Cette petite analyse du Telegraph est fort intéressante en ce qu’elle montre qu’il faut placer les chiffres, donnés par les gouvernements, dans le contexte du pays auquel ils se rapportent.

Certains en sont bien conscients, tel le chef de l’armée britannique, le général sir Nick Carter, qui a très récemment plaidé pour un plus gros financement militaire, arguant que la Grande-Bretagne avait du mal à suivre, précisément, les progrès de l’armée russe…

Le Royaume-Uni dépense plus que la Russie
Les chiffres prouveraient pourtant l’inverse. Selon l’Institut international d’études stratégiques, le budget de la défense de la Russie était d’environ 46,6 milliards de dollars en 2016 et celui de la Grande-Bretagne d’environ 52,5 milliards de dollars.
Mais, nous dit le Telegraph, bien que la Grande-Bretagne dépense apparemment plus, la Russie comptait en 2017, 831 000 militaires actifs contre 152 000 au Royaume-Uni et cet écart se retrouve dans le volume d’équipement : 2 700 chars russes contre 227 chars britanniques, 4 900 véhicules d’infanterie de combat russes contre 623 britanniques, etc…
Certes, les commandants du Royaume-Uni affirment que la qualité d’une grande partie de l’équipement russe n’est pas comparable à la leur et que le pays s’est concentré sur des capacités de premier ordre plutôt que sur de simples chiffres. Mais ils disent aussi que le volume des forces russes peut donner un avantage.

Le Kremlin modernise ses forces
Sans compter que leur équipement s’améliore, car le Kremlin est en mesure d’utiliser son budget de défense pour mener à bien une vaste modernisation de ses forces. Pour le général sir Nick Carter, la Russie dispose même de capacités de combat que le Royaume-Uni aurait du mal à égaler.
Un ancien haut général britannique avait déjà déclaré aux députés, à la fin de l’année dernière, que l’armée britannique était maintenant dépassée depuis 20 ans…
Aujourd’hui, sir Nick Carter souligne la menace des missiles russes à longue portée, qu’on a vu à l’œuvre en Ukraine ou en Syrie, ou celle d’une force expéditionnaire de plus en plus agressive. Mais selon d’autres sources de l’armée les généraux s’inquiètent également de la domination russe dans des domaines tels que l’artillerie, la cyber-guerre, la guerre électronique et les opérations de drones (comme ceux qui avaient détruit deux bataillons d’infanterie mécanisés ukrainiens en l’espace de 15 minutes…).

Ce que cachent les chiffres
Comment les chiffres peuvent-ils autant être trompeurs ? Comment la Russie peut-elle manifestement tirer beaucoup plus de son budget de défense que la Grande-Bretagne et ses alliés occidentaux alors qu’il est actuellement quasiment le même… ?
Tout d’abord, explique dans le Telegraph le Dr Igor Sutyagin, expert sur la Russie au Royal United Services Institute, les chiffres du budget de la défense russe sont en partie faussés. La machine militaire russe est largement financée par des départements gouvernementaux autres que la défense : des domaines comme la défense civile, les retraites et les vétérans sont financés par des ministères civils. Ainsi, l’ampleur réelle des dépenses militaires russes pourrait être de 30 à 50 % plus élevée que celle du budget de la défense.
D’autre part, il faut prendre en compte le faible coût de la main d’œuvre et de la fabrication : les soldats et les ouvriers sont payés seulement quelques centaines d’euros par mois. Car l’approvisionnement de la défense reste quasi exclusivement entre les mains de l’Etat, qui veut travailler le moins possible dans ce secteur avec des compagnies privées, dites « irresponsables et peu fiables ». Par conséquent, la Russie ne paie pas les prix du marché, mais fixe les siens.
Ce qui lui permet, par ailleurs, de dépenser davantage pour l’équipement. L’analyste principale des budgets de la défense chez Jane’s (entreprise majeure de renseignement de sources ouvertes sur les thèmes de la défense, la sécurité, les transports et la police) a analysé qu’« en moyenne, la Russie consacre près de 30 % de l’ensemble de son budget de la défense à l’achat, tandis qu’au Royaume-Uni, la proportion est proche de 17 % ».
Le Royaume-Uni dépense généralement plus pour le personnel, les opérations et la maintenance, tandis que la Russie, avec des coûts de main-d’œuvre et de fabrication moins élevés, est capable de consacrer davantage de fonds à l’investissement et à la modernisation.

Des budgets militaires en baisse


Rien d’étonnant à ce qu’outre-manche, on s’inquiète. Et pourtant, il semble que le plan de modernisation de l’armée britannique et de son équipement ne soit pas pour demain. Tous les budgets sont réduits et Gavin Williamson, le secrétaire à la Défense, lutte actuellement avec le Trésor pour éviter de nouvelles coupes dans les forces armées.

Du côté russe, si le budget militaire sera aussi réduit en 2018, comme l’a annoncé Poutine, (en partie à cause de la crise économique et des sanctions toujours pesantes) le rythme du réarmement restera le même. Et la majeure partie du budget du ministère de la Défense sera consacrée aux systèmes militaires de nouvelle génération (entre autres, le missile balistique intercontinental RS-28 Sarmat, surnommé « Satan-2 »).

Petite réflexion soudaine : si la Grande-Bretagne s’inquiète d’une Russie qui arrive à mieux avec un budget inférieur, que penser de la Chine, avec ses 191 milliards de dollars de budget, et un système communiste qui lui permet de payer une misère ses soldats ? L’ampleur réelle des dépenses militaires chinoises doit bien aussi prendre 30 à 50 % supplémentaires…